Unequinzaine d'Ă©lĂšves de 3e professionnelle peaufinent la rĂ©alisation d'une maquette. La fin d'un projet oĂč, aprĂšs conception Ă  partir d'un logiciel, il faut fabriquer en Ă©quipe la Expositions Neuf expositions au cƓur de l’évĂ©nement, pensĂ©es autour du lien entre terre et villes, ont rythmĂ© la Bap! 2022. Parmi les sujets dĂ©couverts un nouveau regard sur les sols et les ressources du terroir, de nouvelles pratiques pour une architecture et des paysages plus rĂ©silients. Exposition ÉlĂ©ment terre » Une comprĂ©hension nouvelle, sensible, des sols que nous façonnons et qui façonnent nos vies, nos villes, nos paysages. L’exposition ÉlĂ©ment terre » prĂ©sentait une maquette vivante et grand format de la rĂ©gion Île-de-France, fabriquĂ©e en terres franciliennes. À sa surface, poussaient des algues, des mousses et des lichens figurant nos forĂȘts, jardins et zones urbanisĂ©es. Une longue coupe gĂ©ologique du bassin parisien dĂ©voilait ce qui se passe sous nos pieds, accompagnĂ©e d’une carte expĂ©rimentale et dĂ©tonante rĂ©alisĂ©e par la SociĂ©tĂ© d’objets cartographiques. L’exposition donnait Ă  voir des Ă©chelles inusitĂ©es et des ressources invisibilisĂ©es sous des formats spectaculaires et poĂ©tiques, sensibles et scientifiques. Exposition portĂ©e par L’Institut Paris Region Nous avons grandement besoin d’opĂ©rations de re-sensibilisation, de rĂ©-imagination, de repeuplement de l’imagination », Ă©crit la philosophe Isabelle Stengers dans l’ouvrage Un sol commun, paru en 2019. L’exposition ÉlĂ©ment terre » entend rĂ©pondre Ă  cet appel. Elle rĂ©vĂ©lera les liens qui unissent le socle gĂ©ographique francilien, l’usage des sols et l’utilisation des terres pour mieux comprendre comment nous nous ancrons sur ce territoire. Les matĂ©riaux gĂ©ologiques ont modelĂ© les vallĂ©es et les paysages oĂč les implantations humaines se sont dĂ©ployĂ©es. Les qualitĂ©s des sols ont permis le dĂ©veloppement de certaines cultures, forĂȘts, architectures vernaculaires
 Ce socle constitue notre assise au quotidien. Mieux le comprendre permettra de mieux l’habiter et vivre avec lui. CĂ©cile Diguet Directrice du dĂ©partement Urbanisme, AmĂ©nagement et Territoires de l’Institut Paris Region, commissaire de l’exposition Exposition Visible, invisible » L’invention de nouveaux terroirs par une approche matĂ©rielle et Ă©nergĂ©tique des milieux. Face Ă  l’urgence Ă©cologique, de nouvelles approches de l’architecture sont en train d’émerger, considĂ©rant plus que jamais les ressources physiques comme point de dĂ©part de la conception spatiale. La biennale a proposĂ© un espace de dĂ©couvertes, d’échanges et de partage autour des mĂ©canismes de transformation du terroir, des matiĂšres et des Ă©nergies, visibles et invisibles, dans l’acte de bĂątir. DĂ©ployĂ©e Ă  travers l’école d’architecture et dans le site exceptionnel de la Petite Ecurie, l’exposition se structurait en trois temps une monumenta » des ressources matĂ©rielles et Ă©nergĂ©tiques constituant le terroir de ces inventions pierre, terre, bois, eau, soleil, vent
 ; un tĂ©moignage des pratiques ambitieuses Ă  l’Ɠuvre en Île-de-France et ailleurs ; une plateforme de partage et d’expĂ©rimentations pour poursuivre ensemble ces recherches. Exposition portĂ©e par l’Ecole nationale supĂ©rieure d’Architecture de Versailles La cabane ou le feu ? ». En 1969, le critique Reyner Banham dĂ©finit l’architecture comme une stratĂ©gie double liĂ©e Ă  un milieu, et l’illustre par l’histoire d’une tribu qui arriverait au soir dans un campement bien approvisionnĂ© en bois ». Pour satisfaire Ă  sa condition homĂ©otherme face Ă  la nuit, le potentiel de ce bois peut ĂȘtre exploitĂ© selon deux mĂ©thodes construire un abri — la solution structurelle —, ou alimenter un feu ou un foyer — la solution Ă©nergĂ©tique. Un demi-siĂšcle plus tard, et face aux enjeux environnementaux, nous vous proposons d’explorer cette redĂ©couverte de la rationalitĂ© matĂ©rielle et Ă©nergĂ©tique par les architectes pour inventer les formes adaptĂ©es de nos lieux de vie. A votre tour aussi de contribuer Ă  l’invention des esthĂ©tiques visible et invisible des nouveaux terroirs, riches et conscients de leurs ressources et de leurs milieux. Guillaume Ramillien Architecte, commissaire de l’exposition Nicolas Dorval-Bory Architecte, commissaire de l’exposition Exposition La PrĂ©sĂ©ance du vivant » Au cƓur du potager du Roi, une rĂ©flexion engagĂ©e, Ă  la fois joyeuse et profonde, sur nos rapports actuels Ă  la nature. Avec La PrĂ©sĂ©ance du vivant », le public a explorĂ© la production contemporaine du paysage, lĂ  oĂč les Ă©cosystĂšmes sont au centre des projets. Cette exposition-jardin proposait une rencontre, un tissage, entre les savoirs scientifiques et l’émerveillement poĂ©tique de nos relations aux autres. Elle mettait en lumiĂšre la diversitĂ© de nos rapports au vivant et la richesse des ĂȘtres qui habitent ensemble cette planĂšte. Ces rĂ©flexions ont Ă©tĂ© reprises dans un numĂ©ro des Carnets du paysage et le public a participĂ© au Potager du Roi Ă  la plantation d’un jardin collaboratif Le Potager des autres ». Le public a Ă©galement pu se mettre dans la peau d'un Ă©tudiant en paysage qui dĂ©couvre comment "prendre soin du sol" dans les projets de paysage avec l'exposition "ProjetsTerres", qui prĂ©sentait les rĂ©alisations des Ă©tudiants de l'Ă©cole. Ce fut ainsi une vĂ©ritable invitation Ă  articuler les enjeux du jardin aux enjeux planĂ©taires de protection des Ă©cosystĂšmes. Proposition portĂ©e par L’École nationale supĂ©rieure de paysage Cette exposition vous fera dĂ©couvrir les projets de paysage les plus Ă  la pointe sur les questions d’écologie et de relation au vivant. Au Potager du Roi, vous pourrez Ă©galement participer Ă  la plantation du Potager des autres ». Ce jardin, qui naĂźtra du travail de tous ceux qui souhaitent s’y impliquer, est une invitation Ă  l’Ɠuvre. Venez avec vos graines, nous vous fournirons outils, semences et jeunes plants pour exprimer votre crĂ©ativitĂ© Ă  nos cĂŽtĂ©s et construire ensemble une connaissance commune du vivant. Vous trouverez sur place des plats Ă©laborĂ©s Ă  partir des ingrĂ©dients rĂ©coltĂ©s dans le Potager du Roi. Vous remporterez avec vous un peu de la magie collective qui aura donnĂ© vie au jardin. Gilles ClĂ©ment Paysagiste, commissaire de l’exposition Miguel Georgieff Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Pablo Georgieff Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Nicolas Bonnenfant Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Exposition Terre! Land in sight! » Trois pavillons grand format pour un dialogue avec le Monde. Trois laurĂ©ats du Global Award for Sustainable Architecture, venus du Mexique, de Jordanie et de ThaĂŻlande, ont conçu trois pavillons grandeur nature, pour rĂ©pondre Ă  la question cruciale de notre Ă©poque comment rĂ©inventer notre habitat face Ă  l’urgence climatique et Ă  l’épuisement de nos ressources ? Ces pavillons prĂ©sentaient chacun une vision de l’architecture fondĂ©e sur la synergie entre les savoirs globaux et ceux propres Ă  des modes de vie locaux, enracinĂ©s dans des milieux culturels uniques mĂ©thodes d’auto-dĂ©veloppement et savoir-faire vernaculaires, green-tech et sciences locales du climat, circulation globalisĂ©e des biens et Ă©conomies circulaires. Face Ă  ces dĂ©fis complexes, les architectes ont dĂ©passĂ© le territoire traditionnel de leur discipline ‱ Rozana Montiel Mexique a affirmĂ© le rĂŽle de l’architecte comme catalyseur politique avec l’installation S’insurger pour les mers ! ». ‱ Ammar Khammash Jordanie a plaidĂ© pour un dialogue entre l’architecte et les synergies universelles avec l’installation À la recherche de l’horizon ». ‱ Boonserm Premthada ThaĂŻlande a explorĂ© les relations entre l’architecte et le vivant avec l’installation Le théùtre de l’élĂ©phant ». Exposition portĂ©e par la CitĂ© de l’architecture et du patrimoine Il y a cent ans, face au surgissement de l’ùre industrielle et Ă  l’émergence brutale de la grande ville, les architectes du Bauhaus se donnaient l’ambition extraordinaire de “civiliser le monde moderne, au rythme des sociĂ©tĂ©s en changement”, selon l’expression de Walter Gropius. Pourquoi les architectes du XXIe siĂšcle ne se donneraient-ils pas l’ambition extraordinaire de prĂ©server l’avenir du monde habitĂ©, au rythme des Ă©cosystĂšmes en changement ? À la fois dĂ©monstratifs et ludiques, ces trois pavillons permettent de mieux comprendre comment l’architecture, elle aussi, fait face aux grandes ruptures Ă©cologiques qui nous sĂ©parent du XXe siĂšcle. En nous invitant Ă  fabriquer le sens du monde dans lequel nous vivons, ces pavillons rĂ©inventent l’idĂ©e de progrĂšs et rĂ©veillent l’espoir d’une planĂšte habitable pour tous les ĂȘtres vivants. Jana Revedin architecte et urbaniste PhD, pprofesseure Ă  l’École SpĂ©ciale d’Architecture Paris, commissaire de l’exposition Exposition Le pavillon du Grand Paris Express » Une exposition immersive sur le plus grand projet urbain menĂ© en Europe. La SociĂ©tĂ© du Grand Paris et Dominique Perrault ont prĂ©sentĂ© une exposition immersive consacrĂ©e au nouveau mĂ©tro et Ă  son ambition urbaine, architecturale et environnementale. Cette exposition prenait la forme d’un pavillon Ă  l’intĂ©rieur duquel Ă©tait diffusĂ© un film retraçant cette aventure urbaine l’histoire du mĂ©tro de Paris, les chantiers, les tunnels, les nouvelles gares et les trains dĂ©filaient Ă  360 degrĂ©s. Cette exposition avait Ă©tĂ© imaginĂ©e pour participer au rayonnement du projet du Grand Paris, Ă  la fois vitrine d’un savoir-faire français et europĂ©en en matiĂšre d’architecture, de mobilitĂ©, d’urbanisme et de culture, et symbole des transformations en cours dans les grandes mĂ©tropoles. Tout autour du pavillon, l’exposition prĂ©sentait des cartographies historiques du Grand Paris et des quartiers des 68 futurs gares. Elle dĂ©taillait les mutations urbaines et les opportunitĂ©s Ă©cologiques engendrĂ©es par le mĂ©tro, comme la valorisation des terres excavĂ©es lors du creusement des tunnels, et les projets architecturaux des gares se dĂ©couvraient Ă  travers une sĂ©lection de maquettes et d’interviews des concepteurs du projet. Exposition portĂ©e par La SociĂ©tĂ© du Grand Paris À travers cette exposition, c’est le savoir-faire français en matiĂšre d’infrastructure, d’architecture et d’urbanisme qui est mis Ă  l’honneur mais c’est aussi, autour de l’ensemble des architectes, ingĂ©nieurs, designers et artistes internationaux mobilisĂ©s, un hommage Ă  l’Europe dans sa capacitĂ© Ă  produire des projets mĂ©tropolitains de grande Ă©chelle, aux ambitions environnementales affirmĂ©es. Le voyage immersif, au sein de ce pavillon, offre au visiteur une dĂ©couverte originale d’un projet en marche, de la construction d’une infrastructure complexe Ă  son influence sur la diversitĂ© des territoires qu’elle traverse. Alors que partout dans le monde la mobilitĂ© est devenue un enjeu essentiel pour l’avenir des mĂ©tropoles, ce projet part Ă  la rencontre de tous les publics, habitants de capitales rĂ©gionales ou mondiales. Au cƓur des enjeux contemporains, je souhaite que l’exposition que nous avons imaginĂ©e interroge et donne Ă  voir la synergie des compĂ©tences mises au service d’un modĂšle de dĂ©veloppement mĂ©tropolitain favorisant la construction d’une ville qui donne confiance Ă  sa population, Ă  la fois dense et agrĂ©able Ă  vivre, connectĂ©e, mixte, attractive et durable. Dominique Perrault Architecte, ur baniste, membre de l’Institut, commissaire et concepteur du pavillon Exposition Territoires en transformation » Le projet du Quartier de Gally une exploration du rĂŽle fondamental que joue la terre dans nos territoires en transformation. La reconversion d’emprises industrielles lĂ©guĂ©es par le XXe siĂšcle, la requalification des lisiĂšres agricoles et pĂ©ri-urbaines, engagent depuis quelques dĂ©cennies d’importantes mutations oĂč s’invente l’espace public de demain. Et de nouveaux enjeux s’annoncent dĂ©jĂ  avec les abords de nos villes, confrontĂ©s au dĂ©clin des zones commerciales et de leurs gigantesques parkings 
 qu’en faire ? Ces transformations sont Ă©troitement liĂ©es aux mouvements de terre, Ă  la dĂ©finition de sols, Ă  la gestion des eaux. Les processus qui les sous-tendent s'appuient sur des phĂ©nomĂšnes naturels, mais aussi des pratiques agricoles, et parfois des pratiques de gĂ©nie civil. De l’échelle du territoire Ă  celle des villes et de ses sols artificialisĂ©s, elles Ă©tablissent pour chacune des cohĂ©rences physiques spĂ©cifiques oĂč la vie s’installe. Exposition portĂ©e par Michel Desvigne et Icade Le paysage est souvent abordĂ© du seul point de vue de sa protection. Le transformer est considĂ©rĂ©, Ă  priori, comme suspect. Typiquement, lorsque les architectes paysagistes invoquent la terre » ou la gĂ©ographie », on pense gĂ©ographie naturelle alors qu'il s’agit surtout de gĂ©ographie humaine, puisque notre territoire est largement structurĂ© par l'activitĂ©, les pratiques et les relations humaines. L’observation des territoires, des interfĂ©rences entre phĂ©nomĂšnes naturels et artificiels permet justement d’envisager de nouvelles transformations. L’enjeu n’est pas d’embellir un hĂ©ritage difficile, mais de tirer profit de la particularitĂ© des configurations rencontrĂ©es pour rĂ©pondre aux enjeux contemporains. Michel Desvigne Paysagiste, commissaire de l’exposition Exposition district 2024, AU-DELA du village des athlĂštes » Une immersion du visiteur dans le processus d’élaboration du futur village des athlĂštes de Paris 2024. Au 1er Ă©tage de l’ancienne poste de Versailles, l’exposition District 2024 au-delĂ  du Village des AthlĂštes » plongeait le visiteur dans le processus d’élaboration de ce grand projet de quartier rĂ©versible, Ă  deux ans des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Le public a dĂ©couvert sa genĂšse, ses retrouvailles avec la Seine mais aussi les fictions et imaginaires dĂ©veloppĂ©s, les multiples chemins de recherche explorĂ©s, nourrissant jour aprĂšs jour les processus de fabrication de la ville de demain. Sur plus de 500 m2, l’exposition a Ă©tĂ© pensĂ©e comme un grand espace de rĂ©flexion mais aussi comme un lieu dĂ©changes et d’information. OrganisĂ©e autour d’un grand forum, le visiteur Ă©tait invitĂ© Ă  participer aux nombreuses confĂ©rences et dĂ©bats, animĂ©s par la quarantaine de concepteurs, architectes et paysagistes. Exposition portĂ©e par l’agence Dominique Perrault Architecture L’avenir du Village des AthlĂštes est au-delĂ  de lui-mĂȘme. Il s’agit bien sĂ»r de constituer un quartier exemplaire Ă  l’horizon 2025 et Ă  plus long terme en 2050, capable d’offrir temporairement un accueil d’exception aux athlĂštes et Ă  leurs dĂ©lĂ©gations. Mais c’est avant tout, une rĂ©flexion urbaine de long terme ayant pour objectif la constitution d’un nouveau quartier durable, un morceau de ville offert Ă  tous, profondĂ©ment connectĂ© au grand territoire, théùtre d’une densitĂ© de transformations urbaines sans prĂ©cĂ©dents. À travers cette exposition, je souhaite prĂ©senter au public cette dĂ©marche de conception inĂ©dite qui est un processus de rĂ©vĂ©lation de ce qui existe, de ce qui a existĂ© et de ce qui existera. C’est grĂące Ă  la mise en place de ce que nous avons appelĂ© des ateliers d’urbanisme », rĂ©unissant les Ă©quipes de maitrise d’Ɠuvre, les acteurs du territoire et les collectivitĂ©s, que nous avons rĂ©ussi Ă  dĂ©passer les limites strictes du pĂ©rimĂštre d’opĂ©ration du projet pour mieux l’ancrer au sein de sa gĂ©ographie et de son territoire. Cette inscription dĂ©passe la simple affaire de l’amĂ©nagement opĂ©rationnel ainsi que celle d’accueillir la famille olympique. Il s’agit de mettre en lumiĂšre un hĂ©ritage possible pour fonder une nouvelle habitabilitĂ© de notre planĂšte. Dominique Perrault Architecte, urbaniste, commissaire de l’exposition Exposition VĂ©gĂ©tal et Architecture » Un mur de pierres, habitĂ© par faune et flore Le mur biodiversitaire questionne notre rapport au vivant dans la ville. Conçu dans le cadre d’une recherche menĂ©e par l’agence ChartierDalix depuis plusieurs annĂ©es, cet ouvrage Ă©tait Ă  la fois un mur porteur massif et un sol vertical, habitĂ© par faune et flore. Tellurique, compact et enveloppant, il s’apparentait Ă  une fabrique de jardin ponctuant la promenade. Exposition portĂ©e par la MĂ©tropole du Grand Paris Deux ouvertures tournĂ©es vers le chĂąteau de Versailles offrent un enchainement de perspectives. Une toiture cintrĂ©e, comme en lĂ©vitation, couvre l’ouvrage en pierre sĂšche. Ce pavillon est Ă©galement un dĂ©monstrateur des ressources cachĂ©es de la ville il expose le potentiel liĂ© aux gisements de matĂ©riaux, les enjeux liĂ©s Ă  leur revalorisation et incite Ă  une rĂ©flexion sur la restauration des milieux Ă©cologiques en zones urbaines. Il tĂ©moigne du champ des possibles offert par le rĂ©emploi, le savoir-faire et l’imagination pour nos constructions de demain. Chartier Dalix Concepteurs et maitres d’Ɠuvre du mur biodiversitaire Exposition Voyage au centre de la Terre » La dĂ©couverte de chef d’Ɠuvres minĂ©raux, naturels, bruts Contrairement Ă  une apparente sĂ©rĂ©nitĂ©, notre planĂšte est en perpĂ©tuel mouvement depuis sa crĂ©ation il y a 5 milliards d’annĂ©es. De son cƓur bouillonnant Ă  jusqu’aux plaques continentales posĂ©es sur le manteau magmatique, ces dĂ©placements provoquent quelques sĂ©ismes et 60 Ă©ruptions volcaniques, enregistrĂ©s chaque annĂ©e. Ces Ă©vĂšnements gĂ©ologiques crĂ©ent des brassages de minĂ©raux multicolores et d’oxydes mĂ©talliques, donnant naissance Ă  des tableaux minĂ©raux naturels exclusifs, vĂ©ritables tĂ©moignages de la vie de notre planĂšte que les visiteurs ont pu dĂ©couvrir et admirer. Exposition portĂ©e par les Marbriers de Versailles - MDY ÉlĂ©ment essentiel des arts et de l’architecture, le marbre est considĂ©rĂ© par les grecs comme une matiĂšre vivante. Cette matiĂšre intemporelle Ă©merveille, par ses couleurs, ses nuances, pour parfois donner le sentiment de se trouver face Ă  une toile d’artiste, ou Ă  une photographie de la terre, vue du ciel ! Ces Ɠuvres d’art, exposĂ©es le long de l’avenue de Paris, dont vous trouverez un complĂ©ment au sein de l’École Nationale SupĂ©rieure de Paysage et du Potager du Roi, sont de vĂ©ritables chefs d’Ɠuvres naturels, bruts. Les 48 plaques prĂ©sentĂ©es sont issues de carriĂšres des 5 continents. Avec cette exposition, je vous invite Ă  dĂ©couvrir cette matiĂšre unique et admirable, Ă  vous Ă©merveiller devant ces brĂšches, granits, marbres, onyx, quartzites et autres pierres, qui, au-delĂ  de leur beautĂ©, nous transmettent leur Ă©nergie. Philippe Ledrans Marbrier
Lurbanisme de la ville s’articule autour de 3 axes linĂ©aires d’est en ouest permettant ainsi un maillage urbain dont l’essor et la dynamique se fera petit Ă  petit en expĂ©rimentant, par exemple, un POS qui sera le 1er Ă  ĂȘtre mis en Ɠuvre en Chine. Une politique en parallĂšle d’implantation d’espace verts sous la forme d’avenues fortement paysagĂ©es, de parcs dont l
Posez une question Pour pouvoir poser une question, vous devez souscrire Ă  un abonnement familial. DĂ©couvrir l'offre Toutes les questions de parents Pour pouvoir accĂ©der Ă  toutes les questions de parents, vous devez souscrire Ă  un abonnement familial. DĂ©couvrir l'offre GĂ©ographie Plus de la moitiĂ© de l’humanitĂ© vit en ville et le mode de vie urbain recouvre des rĂ©alitĂ©s trĂšs diffĂ©rentes. Dans le deuxiĂšme chapitre sur La ville de demain », le professeur entraĂźne ses Ă©lĂšves Ă  imaginer la ville du futur comment s’y dĂ©placer ? Quels types d’habitats ? Comment intĂ©grer le dĂ©veloppement durable pour amĂ©nager des villes durables » ? Comment faire cohabiter des populations diffĂ©rentes ? Les Ă©lĂšves doivent s’imaginer la mĂ©tropole la plus proche de chez eux dans 20 ans et la façon dont ils l’ professeur peut s’appuyer sur plusieurs exemples concrets comme les Ă©coquartiers Bedzed en Angleterre ou le Millenium Village au Royaume-Uni ou le projet Lilypad au large de Monaco. Vous trouverez ici d'autres projets de citĂ©s du futur et ici des rĂ©alisations d'Ă©lĂšves sous forme de cartographies imaginaires. Un travail magnifique. Ce chapitre peut aussi se prĂȘter Ă  une approche pluridisciplinaire avec la SVT ou la technologie par exemple
Retrouvez tout le programme de gĂ©ographie ici.
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Enclasse de gĂ©ographie de StĂ©phanie Richard, les Ă©lĂšves de 6 e ont travaillĂ© autour d’une problĂ©matique :. Comment pourrons-nous habiter la ville de demain et Ă  quels dĂ©fis nos villes devront-elles rĂ©pondre ?. Les Ă©lĂšves se sont mis par groupe et devaient inclure dans leurs maquettes ou affiches
Rio de Janeiro - L’architecte espagnol Santiago Pevsner Calatrava Vall a prĂ©sentĂ© pour la premiĂšre fois hier Ă  Rio sa maquette du Museu do AmanhĂ„ » MusĂ©e de demain en construction dans la zone portuaire de la ville en cours de rĂ©novation, un projet de conception Ă©cologique. On voulait pouvoir faire des jardins et une promenade architecturale autour du musĂ©e qui sera une leçon d’écologie, comme filtrer l’eau [de la baie] des bassins » sur les cĂŽtĂ©s, a dĂ©clarĂ© M. Calatrava en prĂ©sentant ce musĂ©e scientifique qui doit ĂȘtre inaugurĂ© en 2014. Le musĂ©e n’est pas seulement un objet, il est la ville. Le paysage devient un Ă©lĂ©ment fondamental. Il fallait que l’on voie le monastĂšre de Sao Bento [du xviie siĂšcle] ; il fallait que le bĂątiment soit horizontal », a soulignĂ© l’architecte. Sur le toit, de grandes structures en acier, qui bougent comme des ailes, serviront Ă  capter l’énergie solaire. Ce musĂ©e, le premier Ă  traiter des possibilitĂ©s de construction de l’avenir, conduira le public Ă  rĂ©flĂ©chir sur l’impact de ses actions sur la planĂšte, a expliquĂ© de son cĂŽtĂ© le physicien Luiz Alberto de Oliveira, responsable du contenu du MusĂ©e qui a comme partenaires celui de la Villette Paris ou les amĂ©ricains Smithsonian Institute et California Academy of Sciences. Le musĂ©e sera un outil Ă©ducatif sur nos actions d’aujourd’hui qui construiront le monde de demain, sur comment vivrons-nous en 2050 quand nous serons 9 milliards », a encore soulignĂ© M. de Oliveira. Le musĂ©e est construit sur une jetĂ©e, au milieu d’une grande zone verte de 30 000 m2 avec des jardins, des bassins, une piste cyclable et une aire de loisirs. Le bĂątiment fera 15 000 m2. L’eau de la baie de Rio sera utilisĂ©e Ă©galement pour la climatisation de l’intĂ©rieur du musĂ©e. La construction du musĂ©e fait partie d’un ensemble de grands travaux entrepris par la mairie en vue de la modernisation de la ville Ă  l’occasion du Mondial de football de 2014 et des Jeux olympiques de 2016. Les travaux de quelque 4,2 milliards de dollars sont financĂ©s par le plus important partenariat public-privĂ© du BrĂ©sil. Le coĂ»t du musĂ©e est estimĂ© Ă  215 millions de rĂ©aux 112 millions de dollars. À voir en vidĂ©o
10h00: Session 1 « Former » ModĂ©rateur : Jean-Claude Driant (École d’Urbanisme de Paris) Cette session du colloque insiste sur les formes de l’habitat et leur capacitĂ© Ă  renforcer ou recrĂ©er une ville cohĂ©sive et solidaire, mais aussi Ă  rĂ©pondre aux attentes sociĂ©tales et
Nous avons conçu cette sĂ©quence de trois heures avec ma collĂšgue d’histoire-gĂ©ographie en nous appuyant sur les techniques de crĂ©ativitĂ© dĂ©veloppĂ©es en formation pour adultes dans l’AcadĂ©mie de Toulouse par Anne Delannoy _AnneDelannoy et Florence Canet Canet_Flo notamment dans le cadre des Hackathons pĂ©dagogiques. Pour ce travail d’invention imaginer la ville de demain, la difficultĂ© Ă©tait en effet de guider la pensĂ©e crĂ©ative des Ă©lĂšves pour leur permettre dans un premier temps d’investir l’imaginaire par une pensĂ©e trĂšs ouverte dans un second temps de guider cette pensĂ©e dans un projet rĂ©aliste et qui rĂ©ponde Ă  des solutions par rapport aux problĂšmes actuels des grandes villes. Ce travail sur la ville de demain » est au programme de gĂ©ographie de sixiĂšme et fait suite au travail de ma collĂšgue sur les difficultĂ©s des villes actuelles. En cours de gĂ©ographie, nos Ă©lĂšves cinq classes, 150 Ă©lĂšves avaient Ă©tudiĂ© en dĂ©tail les cas de Paris et MumbaĂŻ. 1. Proposer une multitude d’idĂ©es Dans un premier temps, nous avons constituĂ© des groupes de quatre Ă©lĂšves. Nous sommes revenus collectivement sur les grands problĂšmes actuels des villes se loger, se dĂ©placer, la pollution. Puis nous avons demandĂ© aux Ă©lĂšves, en groupe, de proposer trois idĂ©es d’invention pour les villes de 2070. Nous avons notĂ© les idĂ©es au tableau sur une carte mentale organisĂ©e ainsi en quatre branches principales se loger se dĂ©placer produire des ressources s’informer, communiquer, se divertir AprĂšs cette sĂ©ance, nous avons construit une carte avec les idĂ©es de toutes les classes. Voici ce que cela donnait carte collective sur la ville de demain 2. Le choix d’une idĂ©e par groupe Nous avons proposĂ© Ă  chaque Ă©lĂšve la carte collective imprimĂ©e au format A3. Pour permettre aux groupes de choisir une idĂ©e sans que les Ă©lĂšves s’influencent entre eux, nous leur avons demandĂ© une lecture silencieuse et individuelle. Nous leur avons ensuite distribuĂ© deux gommettes, une verte et une noire. Sur une carte commune au groupe chaque Ă©lĂšve a pu coller une gommette verte idĂ©e prĂ©fĂ©rĂ©e, Ă©quivalent Ă  2 points et une gommette noire deuxiĂšme idĂ©e prĂ©fĂ©rĂ©e, Ă©quivalent Ă  1 point. Les Ă©lĂšves ont ensuite comptĂ© le nombre de points par idĂ©e pour dĂ©terminer leur idĂ©e prĂ©fĂ©rĂ©e. En cas d’égalitĂ© des points entre deux idĂ©es, nous leur avons proposĂ©, lorsque cela Ă©tait possible, de rapprocher les deux idĂ©es. 3. Premier dĂ©veloppement de l’idĂ©e Pour cette phase, nous avions besoin d’aider les Ă©lĂšves Ă  approfondir leur idĂ©e. Chaque groupe devait remplir une fiche pour son idĂ©e la formulation principale de l’idĂ©e les Ă©lĂšves Ă©taient autorisĂ©s Ă  transformer l’idĂ©e telle qu’ils l’avaient lue sur la carte collective la colonne consacrĂ©e aux aspects positifs de l’idĂ©e ce qui nous plaĂźt Ă  priori – trouver au moins trois raisons la fiche passait ensuite dans les mains d’un autre groupe qui devait se faire l’avocat du diable » ces Ă©lĂšves notaient dans la deuxiĂšme colonne les points potentiellement nĂ©gatifs, les problĂšmes ou les incomprĂ©hensions sur cette idĂ©e. Enfin, chaque groupe a repris sa fiche avec pour mission de trouver une solution Ă  chaque problĂšme posĂ© par le groupe correcteur et la noter dans la troisiĂšme colonne. Pour les aider lors de ce travail, nous leur avons donnĂ© Ă  lire une sĂ©lection d’articles sur le sujet. Voici le tableau que nous leur avons donnĂ© Cette mĂ©thode d’écriture s’est avĂ©rĂ©e trĂšs efficace pour permettre aux groupes d’approfondir leur idĂ©e. 4. Penser une utilisation intelligente et bĂ©nĂ©fique des outils numĂ©riques En dĂ©but de troisiĂšme sĂ©ance nous avons demandĂ© Ă  chaque groupe de prendre dix minutes pour rĂ©flĂ©chir Ă  la conception d’outils connectĂ©es ou d’applications qui pourraient servir leur idĂ©e. 5. Travail d’écriture final Pour ce travail d’écriture nous souhaitions que chaque Ă©lĂšve participe et s’implique. C’est pourquoi nous avons divisĂ© la tĂąche en quatre sous-tĂąches en donnant des rĂŽles Ă  chacun. Pour cela nous avons imaginĂ© un scĂ©nario les Ă©lĂšves devaient convaincre un tiers municipalitĂ©, gouvernent, entreprise de dĂ©velopper et adopter leur idĂ©e pour une ville. Pour prĂ©senter leur projet, chaque Ă©lĂšve avait un rĂŽle spĂ©cifique Le vendeur » devait prĂ©senter l’idĂ©e le plus clairement possible Le solutionneur » devait expliquer en quoi cette idĂ©e rĂ©solvait un problĂšme actuel des villes Le geeck » devait prĂ©senter une utilisation intelligente ou bĂ©nĂ©fique des outils connectĂ©s pour faire fonctionner le projet Le visionnaire » devait dĂ©crire un ou deux moments de la vie quotidienne du futur qui serait diffĂ©rent d’aujourd’hui Nous leur avons distribuĂ© la fiche suivante, prĂ©alablement dĂ©coupĂ©e en quatre parties. Chacun a rĂ©digĂ© deux Ă  trois phrases. Puis les Ă©lĂšves ont passĂ© leur travail Ă  leur voisin de gauche pour corrections Ă©ventuelles d’orthographe et de syntaxe. Enfin, nous avons redistribuĂ© les quatre parties pour un recopiage au propre. Pour terminer les Ă©lĂšves ont recollĂ© les quatre parties sur une feuille A4 blanche qu’ils nous ont rendue. Le dĂ©roulĂ© de ces trois heures fois cinq classes s’est avĂ©rĂ© trĂšs efficace pour permettre aux Ă©lĂšves d’entrer dans l’imagination d’un monde plus Ă©cologique et utilisant les nouvelles technologies dans un souci de bien ĂȘtre collectif. Je mĂ©tais heurtĂ©e Ă  plusieurs reprise dans ma carriĂšre Ă  cette difficultĂ© de faire imaginer les Ă©lĂšves ; les techniques d’invitation Ă  la crĂ©ativitĂ© et de travail en groupe utilisĂ©e dans ce dĂ©roulĂ© se sont avĂ©rĂ© trĂšs efficaces. Un seul Ă©lĂšve, sur les 150, n’est pas totalement entrĂ© dans l’activitĂ©, et pour des raisons indĂ©pendantes Ă  l’activitĂ© elle-mĂȘme. Les compĂ©tences travaillĂ©es dans ce projet sont l’explicitation d’un problĂšme actuel des villes et la capacitĂ© Ă  y apporter des solutions par un travail d’imagination l’engagement personnel dans ce travail d’anticipation ainsi que son articulation avec le travail de groupe acceptation des arguments des camarades, des critiques, prise en compte de ces critiques pour faire Ă©voluer le projet la capacitĂ© Ă  mener une rĂ©flexion sur la question de la connexion et des objets connectĂ©s comment pourrions-nous les utiliser Ă  l’avenir pour les mettre au service d’un bien ĂȘtre collectif ? Par lĂ  nous interrogeons la place idĂ©alisĂ©e ! de chacun dans une culture de la participation. des compĂ©tences d’écriture collectives pour que le projet soit correctement explicitĂ© dans la production finale. A la rĂ©flexion, avec ma collĂšgue, nous pensons que nous aurions pu travailler plutĂŽt en direction d’une production orale cela aurait permis Ă  chaque groupe de rendre compte Ă  la classe de son projet abouti. Pour continuer ce projet, les Ă©lĂšves vont rĂ©aliser des maquettes de villes en cours d’Arts Plastiques. Par ailleurs j’ai demandĂ© aux Ă©lĂšves volontaires de travailler avec moi sur le temps qu’ils ont de libre entre 13 heures et 14 heures. Nous allons publier nos propositions pour la ville de demain sur une interface un site avec wordpress ou un prezi mĂȘlant dessins, photographies des maquettes, textes explicatifs et vidĂ©os de prĂ©sentation. J’ai 32 volontaires pour ce travail-lĂ . Travailler sur l’imaginaire interroge sans doute aussi le rapport de chacun de nos Ă©lĂšves au pouvoir qu’il s’accorde sur sa vie, son avenir. Leur permettre, voir les obliger, Ă  se projeter ainsi a pour but de dĂ©velopper chez eux un "pouvoir d’action" sur le monde. Pour complĂ©ter cette approche, on peut lire la description de l’exposition toulousaine qui commencera la 7 fĂ©vrier au Quai des savoirs Inventez la Ville... dont vous ĂȘtes le hĂ©ros

Propositionde maquette pĂ©dagogique de l’École de Chaillot. Pour 4 modules complĂ©mentaires Ă  la carte . Formation des Chefs de projet Petites Villes de Demain « R. evitalisation d. es petites villes Patrimoniales » Certification École de Chaillot / Petites Villes de Demain - formation continue. Exemple de l’une des 100 villes du corpus Petites Villes de Demain Ă©tudiĂ©e par l

Le Monde Afrique L’Afrique en villes 28. Pour Mohamed Amine El Hajhouj, directeur de la SociĂ©tĂ© d’amĂ©nagement de Zenata, le projet dĂ©veloppĂ© prĂšs de Casablanca pourrait ĂȘtre exportĂ© dans d’autres pays. L’éco-citĂ© de Zenata va-t-elle faire oublier l’échec des villes nouvelles au Maroc ? Depuis dix ans, les citĂ©s flambant neuves construites Ă  travers le royaume peinent Ă  sĂ©duire les nouveaux habitants, pris au piĂšge dans des villes fantĂŽmes excentrĂ©es. Cette fois, le Maroc s’est lancĂ© dans la construction d’une ville qui se veut intelligente et respectueuse de l’environnement. InaugurĂ© en 2006 par le roi Mohammed VI, le projet d’éco-citĂ©, une expĂ©rience inĂ©dite en Afrique, devrait accueillir 300 000 habitants d’ici Ă  2030. Rien n’est laissĂ© au hasard. Zenata est assise sur un bien foncier d’une grande valeur financiĂšre appartenant Ă  l’Etat une rĂ©serve stratĂ©gique de 1 830 hectares avec une façade maritime de 5 km Ă  la frontiĂšre nord-est de Casablanca, capitale Ă©conomique oĂč se concentre plus de 30 % du PIB marocain. Et alors que les autres villes nouvelles ont Ă©tĂ© dĂ©lĂ©guĂ©es Ă  des maĂźtres d’ouvrage peu scrupuleux, la future Ă©co-citĂ© s’est dotĂ©e de sa propre structure, la SociĂ©tĂ© d’amĂ©nagement de Zenata SAZ. Celle-ci a fait appel au cabinet français Reichen & Robert et a bĂ©nĂ©ficiĂ© de l’appui financier de l’Agence française de dĂ©veloppement AFD, partenaire du Monde Afrique et de la Banque europĂ©enne d’investissement BEI. PrĂ©sentation de notre sĂ©rie L’Afrique en villes Reste que beaucoup sont sceptiques quant au rĂ©alisme d’une telle Ă©co-citĂ© », un concept qui a souvent Ă©chouĂ© dans le monde. Dans un entretien au Monde Afrique, Mohamed Amine El Hajhouj, directeur gĂ©nĂ©ral de la SAZ, dĂ©fend quant Ă  lui un modĂšle de ville durable pouvant rĂ©volutionner, selon lui, la construction des villes nouvelles au Maroc et en Afrique, oĂč le royaume a engagĂ© une vaste politique d’expansion Ă©conomique. Pourquoi crĂ©er une ville nouvelle aux portes de Casablanca, la plus grande ville du Maroc ? Mohamed Amine El Hajhouj Casablanca a besoin de crĂ©er de nouvelles centralitĂ©s urbaines. Depuis longtemps, le manque de centralitĂ©s oblige la population nombreuse Ă  se dĂ©placer, or le dĂ©placement est le principal vecteur de pollution urbaine. Par ailleurs, le projet a Ă©tĂ© initiĂ© pour rĂ©pondre Ă  un manque Ă  Casablanca, la classe moyenne n’arrive plus Ă  se loger. Les annĂ©es 2000 ont connu une explosion immobiliĂšre. On trouve essentiellement de l’habitat social ou des logements de haut standing, voire de trĂšs haut standing. Zenata est destinĂ©e Ă  la classe Ă©mergente. ConcrĂštement, comment se traduit la dĂ©marche d’éco-conception ? Il s’agit de construire une ville intelligente en termes de mobilitĂ©, d’accĂšs aux soins, d’équitĂ© sociale, d’exploitation de l’espace public, de sĂ©curitĂ©, de gestion des rĂ©seaux et de traitement des dĂ©chets. A Zenata, l’espace vert constitue 30 % du territoire, soit 15 m2 par habitant, sachant que l’Organisation mondiale de la santĂ© [OMS] en recommande 10. C’est une petite rĂ©volution au Maroc. Pour la premiĂšre fois, les parents avec une poussette, les seniors, les handicapĂ©s ou les non-voyants pourront accĂ©der aux espaces publics. Nous allons rendre la ville aux piĂ©tons. Episode 12 A LomĂ©, l’architecte SĂ©namĂ© Koffi veut transposer les vertus du village africain Ă  la ville Cette dĂ©marche correspond-elle Ă  la rĂ©alitĂ© sociale et culturelle des Marocains ? D’aprĂšs une enquĂȘte que nous avons menĂ©e sur le terrain, l’usager marocain prĂ©fĂšre investir dans des logements de plus petite taille mais de plus grande qualitĂ© environnementale. Il peut investir 5 Ă  10 % de plus pour un logement Ă©conome Ă  condition que sa facture Ă©nergĂ©tique se rĂ©duise et que l’espace public soit offert. Et Ă  la rĂ©alitĂ© Ă©conomique du pays ? Notre concept a Ă©tĂ© cristallisĂ© dans un rĂ©fĂ©rentiel d’éco-citĂ© que nous avons labellisĂ© Ă  l’occasion de la COP22 [ConfĂ©rence de Marrackech sur les changements climatiques, en 2016] avec Cerway, l’entitĂ© française qui certifie les projets HQE [haute qualitĂ© environnementale]. Ce label s’inspire de toutes les normes internationales mais il Ă©pouse en mĂȘme temps la rĂ©alitĂ© Ă©conomique des pays Ă©mergents. Au Maroc, le bĂątiment Ă©co-conçu est un bĂątiment Ă©conome qui n’a pas besoin d’atteindre les normes HQE mais rĂ©pond spĂ©cifiquement Ă  nos besoins Ă©conomiques. Episode 26 A Casablanca, la rue n’a pas dit son dernier mot MĂȘme s’ils ne sont pas labellisĂ©s HQE, les bĂątiments Ă©co-conçus coĂ»tent plus cher. Comment garantir l’éco-conception face Ă  des promoteurs soumis Ă  des exigences de rentabilitĂ© ? Nous avons Ă©tabli un cahier des charges dans lequel nous imposons dans certains cas, proposons dans d’autres, les concepts de dĂ©veloppement durable aux promoteurs. Nous avons Ă©galement travaillĂ© sur les business models des promoteurs pour voir si ce surcoĂ»t ne dĂ©passe pas 5 Ă  10 %. A Zenata, les prix du foncier sont infĂ©rieurs au marchĂ© car nous voulons offrir aux promoteurs une charge infĂ©rieure pour leur permettre de construire aux normes demandĂ©es. Vous souhaitez limiter l’usage de la voiture. Comment Ă©viter les dĂ©placements Ă  l’intĂ©rieur et Ă  l’extĂ©rieur de la ville, notamment pour les futurs habitants de Zenata qui travailleront Ă  Casablanca ? A Zenata, chaque quartier, que l’on appelle unitĂ© de vie », est conçu de maniĂšre semi-indĂ©pendante avec un espace public indĂ©pendant, des Ă©quipements publics indĂ©pendants, des Ă©coles privĂ©es et publiques, des dispensaires, des cabinets mĂ©dicaux, des commerces, etc. Les gens n’auront plus Ă  prendre leur voiture au quotidien. Pour les dĂ©placements Ă  l’extĂ©rieur, un projet de construction d’un RER reliant Mohammedia Ă  Casablanca, en passant par Zenata, est en cours. Tandis qu’une deuxiĂšme ligne de tramway est dĂ©jĂ  en construction. Episode 27 Mohammed El Bellaoui sur les murs ou en BD, suivez le guide Ă  Casablanca A qui appartient le foncier ? Qu’en est-il des habitants des bidonvilles qui vivaient sur le terrain ? Le foncier est partagĂ© entre le secteur privĂ© et l’Etat. Comme partout dans le monde, la crĂ©ation d’une ville nouvelle se base sur une dĂ©claration d’utilitĂ© publique, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© d’expropriation, rĂ©gie par une procĂ©dure juridique. Les habitants des bidonvilles ne sont pas sujets Ă  expropriation car ils Ă©taient installĂ©s sur des terrains qui ne leur appartiennent pas. Mais puisque nous sommes dans une approche inclusive, nous avons dĂ©cidĂ© de les inclure dans le projet. C’est ce que j’appelle le droit du premier habitant. A Zenata, environ 180 hectares sont rĂ©servĂ©s au relogement de ces habitants, soit 50 000 personnes. OĂč en est le projet aujourd’hui ? Le projet a dĂ©jĂ  franchi plusieurs Ă©tapes. L’alimentation en eau potable, l’électrification et les travaux d’assainissement sont achevĂ©s. L’échangeur autoroutier est prĂȘt. Tous les travaux d’infrastructures liĂ©s Ă  la partie cĂŽtiĂšre sont en cours de construction. Le pĂŽle commercial, le pĂŽle santĂ© et le pĂŽle Ă©ducation sont en route. Une ville ne se construit pas du jour au lendemain, c’est un projet sur une trentaine d’annĂ©es. Lire aussi Ville vivable, ville durable ? Tous les projets de villes nouvelles qui ont vu le jour au Maroc sont considĂ©rĂ©s comme un Ă©chec. En quoi Zenata est-elle diffĂ©rente ? Un indicateur Ă©loquent m’a laissĂ© perplexe quand j’ai commencĂ© Ă  travailler sur le projet de Zenata 75 % des villes nouvelles construites dans le monde sont considĂ©rĂ©es comme un Ă©chec. Pourquoi ? D’une part Ă  cause de l’accessibilitĂ©. Or notre premiĂšre trame de rĂ©flexion s’est concentrĂ©e sur les transports en commun et les infrastructures d’accĂšs. D’autre part Ă  cause la mono-spĂ©cialitĂ©. On condamne les villes nouvelles Ă  des villes-dortoirs ou, Ă  l’inverse, Ă  des villes industrielles. A Zenata, nous avons trouvĂ© le juste Ă©quilibre entre rĂ©sidentiel et activitĂ© un emploi pour trois habitants. C’est le bon ratio aujourd’hui pour assurer le succĂšs d’une ville nouvelle. En crĂ©ant votre propre label Ă©co-citĂ©, avez-vous l’ambition de construire d’autres villes sur le modĂšle de Zenata ? Zenata est un projet pilote qui a Ă©tĂ© initiĂ© sur instruction royale. L’idĂ©e, Ă  travers notre rĂ©fĂ©rentiel labellisĂ©, est de rĂ©pondre Ă  la politique du roi Mohammed VI de se tourner vers l’Afrique. Nous voulons exporter ce modĂšle sur le continent africain et peut-ĂȘtre dans d’autres pays du Sud. C’est pourquoi nous avons pris en compte la rĂ©alitĂ© Ă©conomique des pays Ă©mergents, pas seulement du Maroc. A travers cette dĂ©marche d’éco-conception, nous allons pouvoir certifier des territoires et concevoir des villes dans d’autres pays Ă©mergents. Nous tenons particuliĂšrement Ă  aider les pays africains, nos pays frĂšres, Ă  construire les villes durables de demain grĂące Ă  la valise Ă  outils urbaine que nous avons créée. Le sommaire de notre sĂ©rie L’Afrique en villes » Cet Ă©tĂ©, Le Monde Afrique propose une sĂ©rie de reportages dans seize villes, de Kinshasa jusqu’à Tanger. Episode 30 La nouvelle Tanger, grand Ɠuvre de Mohammed VI Episode 29 Tamesna, une ville pas smart » du tout aux portes de Rabat Episode 28 Avec l’éco-citĂ© de Zenata, le Maroc veut crĂ©er un modĂšle pour les villes africaines » Episode 27 Mohammed El Bellaoui sur les murs ou en BD, suivez le guide Ă  Casablanca Episode 26 A Casablanca, la rue n’a pas dit son dernier mot Episode 25 On essaie de vendre aux Africains un concept de ville Ă©laborĂ© dans les confĂ©rences internationales » Episode 24 TER et couloirs de bus les projets pour dĂ©sengorger Dakar Episode 23 Les cars rapides, une institution sĂ©nĂ©galaise en sursis Episode 22 Au SĂ©nĂ©gal, un reporter-GPS dans les embouteillages de Dakar Episode 21 Ouaga, c’est tout dans le centre et rien dans les autres quartiers, mais ça va changer » Episode 20 A Ouagadougou, la mairie veut dĂ©velopper des centres-villes secondaires Episode 19 Les Abidjanais victimes des particules fines Ă  qui la faute ? Episode 18 Une star de l’architecture veut redonner vie Ă  Jamestown, quartier historique dĂ©shĂ©ritĂ© d’Accra Episode 17 A dĂ©faut de noms de rue, une appli gĂ©nĂšre des codes pour se repĂ©rer Ă  Accra Episode 16 Une journĂ©e avec Janet Adu, prĂ©sidente des bidonvilles du Ghana Episode 15 Africa Global Recycling, la PME togolaise qui transforme les dĂ©chets en or Episode 14 LomĂ© la poubelle », bientĂŽt de l’histoire ancienne ? Episode 13 Tout s’invente dans le fab lab » de LomĂ©, mĂȘme la ville de demain Episode 12 A LomĂ©, SĂ©namĂ© Koffi Agbodjinou veut transposer les codes du village Ă  la ville Episode 11 A l’école d’architecture de LomĂ©, dĂ©fense de copier les villes occidentales Episode 10 A Cotonou, l’agriculture urbaine perd du terrain face au bĂ©ton Episode 9 GrĂące Ă  la tomate, la ville nigĂ©riane de Kano se voit dĂ©jĂ  en DubaĂŻ du Sahel » Episode 8 Au Nigeria, une radio lutte contre les bulldozers dans les bidonvilles de Port Harcourt Episode 7 BangangtĂ©, la ville la plus propre du Cameroun, manque cruellement d’eau Episode 6 A Douala, les parfums mortels » de la dĂ©charge du Bois des singes Episode 5 Pour continuer de rayonner, Douala contrainte de se rĂ©inventer Episode 4 CoupĂ©e de son arriĂšre-pays, Bangui vit dans sa bulle Episode 3 Une journĂ©e avec JosĂ©e Muamba, qui rĂȘve d’une Kinoise avec des ambitions » Episode 2 MĂ©gapole insaisissable, Kinshasa croĂźt hors de tout contrĂŽle Episode 1 Un milliard de citadins dans vingt ans l’Afrique est-elle prĂȘte ? PrĂ©sentation de la sĂ©rie L’Afrique en villes » 28 Ă©tapes, 15 reporters Ghalia KadiriCasablanca, correspondance Maquettes« Imagine ta ville en 2050 ». Les Ă©lĂšves ont travaillĂ© sur l’amĂ©nagement d’un Ă©co-quartier des Commards en 2050. Les maquettes de maisons du futur (2050) ont Ă©tĂ© construite par les Ă©lĂšves de la classe de CM1 / C’est certain, le paysage urbain se transforme au fur et Ă  mesure des annĂ©es ; mais le rĂŽle d’une ville est aussi de changer avec son temps et surtout, en accord son environnement. Nos grandes villes doivent dĂ©sormais s’adapter et adopter des alternatives durables, ou prendre des initiatives qui vont dans ce sens, afin de ne pas aggraver les choses. Que cela soit pour rĂ©gler les problĂšmes de pollution, recycler les dĂ©chets ou encore amĂ©nager l’espace pour plus de nature, les villes que nous allons vous prĂ©senter proposent des solutions crĂ©atives qui mĂ©ritent votre attention. Des initiatives et des inventions qui nous parviennent du monde entier et qui, en plus, redonnent le sourire ! Comme vous le savez, le sujet de l’environnement au sein des grands espaces urbains inquiĂšte les habitants. Alors, pour vous montrer que pleins d’alternatives positives et durables pour la planĂšte existent, nous vous avons fait une sĂ©lection de 8 idĂ©es, qu’on vous propose aujourd’hui en collaboration avec Business Insider France. DĂ©couvrez le premier baromĂštre de l’économie positive et durable du site mĂ©dia Business Insider France, qui a mesurĂ© l’impact des prĂ©occupations environnementales sur la consommation et les attentes concernant l’éco-responsabilitĂ© des entreprises. Article sponsorisĂ© par Business Insider France Initiative n°1Londres recycle l’énergie du mĂ©tro Utiliser la chaleur Ă©touffante des transports en commun londoniens pour chauffer les foyers alentours, il fallait y penser ! Comment ça marche ? Une pompe Ă  chaleur installĂ©e dans les tunnels de la Northern Line permet de collecter l’air chaud pour offrir un chauffage moins cher et plus vert aux habitants des quartiers Ă  proximitĂ© en hiver. Un systĂšme qui permet Ă©galement une meilleure ventilation du mĂ©tro en Ă©tĂ©, pour assurer un air plus respirable et moins polluĂ© aux usagers. CrĂ©dits Shutterstock CrĂ©dits Shutterstock Initiative n°2Utrecht fleurit ses abribus pour les abeilles Aux Pays-Bas, ces jolies fleurs et plantes sur le toit des abribus ont trois objectifs bien spĂ©cifiques d’abord offrir aux abeilles de quoi butiner, puis rafraĂźchir l’atmosphĂšre et enfin amĂ©liorer la qualitĂ© de l’air. Aujourd’hui, 316 abris de bus ont Ă©tĂ© vĂ©gĂ©talisĂ©s, une fiertĂ© pour la ville et ses habitants que de permettre la prĂ©servation de l’environnement Ă  leur Ă©chelle. Conjointement Ă  cette mesure, les bus d’Utrecht se mettent Ă©galement Ă  l’électrique. À terme, ils devraient tous rouler de maniĂšre plus Ă©cologique. La commune disposera de transports en commun neutres en carbone d’ici 2028. Une rĂ©solution qu’il serait judicieux d’appliquer dans le monde entier. CrĂ©dits BrightVibes CrĂ©dits BrightVibes CrĂ©dits uitdragerij Instagram Initiative n°3Recycler l’énergie des cyclistes Ă  Amsterdam Saviez-vous que chaque jour, les Amstellodamois pĂ©dalent plus de 2 millions de kilomĂštres ? Que sur cette mĂȘme pĂ©riode, ils produisent millions de kwh ? Des chiffres qui donnent le tournis et qui ont mis la puce Ă  l’oreille Ă  deux crĂ©atifs qui ont imaginĂ© S-Park. L’idĂ©e, qui est actuellement au stade de concept, repose avant tout sur les parkings Ă  vĂ©los, et sur l’installation de roues avant particuliĂšres, qui ont la capacitĂ© de stocker l’énergie produite par les coups de pĂ©dales dans une batterie. Une fois que vous avez fini de pĂ©daler, il vous suffit de glisser la roue du vĂ©lo dans le dispositif pour connecter la batterie. L’énergie va ainsi se libĂ©rer pour ĂȘtre utilisĂ©e par la ville ou au rĂ©seau de consommation du quartier pour la vie quotidienne. CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park Initiative n°4Mexique un arbre artificiel qui absorbe la pollution Nous le savons tous les grandes mĂ©tropoles sont gravement polluĂ©es. Un phĂ©nomĂšne alarmant, auquel une sociĂ©tĂ© mexicaine a dĂ©cidĂ© de s’attaquer en proposant une sorte d’arbre artificiel, capable de filtrer les gaz et autres particules contenus dans l’air urbain. La sociĂ©tĂ© BioMiTech a donc fait le choix de s’inspirer de la nature, en concevant cet arbre, capable de libĂ©rer une quantitĂ© d’oxygĂšne Ă©quivalente Ă  368 arbres ! Comment ça marche ? Le “BioUrban” va absorber la pollution, grĂące Ă  des algues situĂ©es Ă  l’intĂ©rieur, qui lui permettront de purifier l’air que nous respirons en s’inspirant du principe de la photosynthĂšse. CrĂ©dits BioMiTech CrĂ©dits BioMiTech CrĂ©dits BioMiTech Initiative n°5Australie un filet pour limiter la pollution des ocĂ©ans Cap sur l’Australie afin de dĂ©couvrir cette idĂ©e que l’on doit Ă  Kwinana, une ville de 40 000 habitants dans la banlieue de Perth. Pour faire face Ă  la pollution plastique et aux dĂ©chets flottants dans les ocĂ©ans, la ville de Kwinana a eu l’idĂ©e de mettre en place des filets de drainage qui agissent comme de vĂ©ritables piĂšges Ă  dĂ©chets. Ces filets ont Ă©tĂ© placĂ©s sur les sorties des systĂšmes de drainage et ont Ă©tĂ© conçus pour empĂȘcher les dĂ©chets plastiques et autres, transportĂ©s par les eaux pluviales, ou dĂ©libĂ©rĂ©ment jetĂ©s par des individus, de se dĂ©verser dans la nature et dans les ocĂ©ans. Faciles Ă  installer, il suffit de les ramasser avec une grue une fois pleins. Les dĂ©chets collectĂ©s sont ensuite rĂ©cupĂ©rĂ©s pour ĂȘtre triĂ©s afin de sĂ©parer les ordures recyclables de celles qui ne le sont pas. Comme quoi, les idĂ©es les plus simples sont souvent les meilleures ! CrĂ©dits Ville de Kwinana CrĂ©dits Ville de Kwinana CrĂ©dits Ville de Kwinana Initiative n°6Collioure sensibilise avec des messages sur les bouches d’évacuation La commune de Collioure, dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales, a eu l’idĂ©e de sceller une plaque Ă  cĂŽtĂ© de 23 grilles d’évacuation des eaux pluviales sur laquelle est inscrit “Ne rien jeter. Ne rien vider. La mer commence ICI”. Le message est clair et s’adresse aux passants qui confondent les bouches d’évacuation des eaux pluviales avec des poubelles en pensant que le principal est que le dĂ©tritus disparaisse. Car Ă  Collioure comme dans bien d’autres communes, les bouches d’évacuation des eaux pluviales servent Ă  rĂ©cupĂ©rer les eaux de pluie pour les faire circuler dans des canaux sous-terrains qui, finalement, se jettent Ă  la mer. Le mĂ©got de cigarette que vous allez donc jeter le matin Ă  travers les grilles, vous pourrez le retrouver lors de votre baignade l’aprĂšs-midi mĂȘme
 Et si jeter quelque chose dans les grilles d’évacuation ne choque personne Ă  premiĂšre vue, jeter un dĂ©tritus directement dans la mer est dĂ©jĂ  beaucoup plus Ă©vocateur. Une sensibilisation simple, efficace et trĂšs visuelle pour faire changer les mentalitĂ©s. CrĂ©dits France 3 Occitanie CrĂ©dits Initiative n°7SĂ©oul transforme une autoroute abandonnĂ©e en parc gĂ©ant En CorĂ©e du Sud, une parcelle d’autoroute Ă  l’abandon a Ă©tĂ© transformĂ©e en un espace de promenade, avec une vĂ©gĂ©tation luxuriante ! Un beau projet qui montre que la tendance est de plus en plus Ă  la rĂ©flexion sur une urbanisation qui intĂšgre la nature. Plus grande ville de CorĂ©e du Sud, avec plus de 10 millions d’habitants, SĂ©oul est un monstre d’urbanisation. La ville comporte de nombreuses autoroutes urbaines, construites dans les annĂ©es 60-80, qui ressemblent Ă  d’immenses viaducs. Ces axes sont de moins en moins utilisĂ©s ou trouvent d’autres alternatives, ce qui amĂšne la ville Ă  les transformer. Alors au lieu de les dĂ©truire, pourquoi ne pas imaginer une autre utilisation, qui pourrait plaire aux habitants ? Voici l’idĂ©e de la sociĂ©tĂ© d’architecture nĂ©erlandaise MVRDV qui a ainsi dĂ©voilĂ© un parc suspendu intĂ©grant plus de 24 000 plantes de 228 espĂšces et sous-espĂšces diffĂ©rentes ! CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV Initiative n°8Marseille responsabilise ses concitoyens LancĂ© par un citoyen d’origine britannique exaspĂ©rĂ© par les dĂ©chets qui envahissent la ville de Marseille, 1 DĂ©chet par Jour est un projet social et participatif qui vise Ă  responsabiliser tout le monde dans une dĂ©marche de nettoyage urbain. Le principe est extrĂȘmement simple les citoyens sont invitĂ©s Ă  ramasser un dĂ©chet, Ă  se photographier en train de le jeter dans une poubelle, et Ă  partager le clichĂ© sur les rĂ©seaux sociaux avec le hashtag 1pieceofrubbish. L’idĂ©e est ensuite d’inviter ses amis Ă  reproduire l’initiative pour crĂ©er une chaĂźne de “nettoyage social”. Les rĂ©seaux sociaux utilisĂ©s Ă  bon escient peuvent parfois ĂȘtre trĂšs efficaces ! CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour Laville de Bordeaux a ajoutĂ© une fonction de gĂ©orĂ©fĂ©rencement Ă  un logiciel BIM pour pouvoir l’utiliser dans le cadre de l’espace public. Le site projet sera reflĂ©tĂ© par le territoire du BelvĂšdere, premiĂšre phase de la future ZAC Garonne-Eiffel, dans les communes de Bordeaux et Floirac. Conception de la maquette numĂ©rique 3D ConsidĂ©rĂ© comme une vĂ©ritable rĂ©volution numĂ©rique, le BIM Building Information Modeling modifie en profondeur la maniĂšre dont sont conçus et construit les bĂątiments d’aujourd’hui. Sa dĂ©clinaison urbaine, le CIM, pourrait bien quant Ă  elle redĂ©finir les contours des villes de demain. Alors que les projets de smart cities se multiplient, le City Information Modeling » ouvre en effet de nouvelles perspectives pour l’organisation et la gestion des territoires, notamment en ce qui concerne le dĂ©veloppement durable urbain. Urbanisme Le CIM – City Information Modeling – est une maquette numĂ©rique Ă  l’échelle d’un quartier ou d’un territoire donnĂ©. LĂ  oĂč le BIM permettait de modĂ©liser un ouvrage de construction en 3D, le CIM offre quant Ă  lui la possibilitĂ© de modĂ©liser un espace urbain dans son entier, en intĂ©grant toutes les informations qui le composent voiries, eau, Ă©nergies, tĂ©lĂ©communications, Ă©clairages, bĂątiments, vĂ©gĂ©taux, mobilier, gestion des dĂ©chets, trames vertes et bleues, donnĂ©es de l’INSEE
 Il permet d’avoir une meilleure comprĂ©hension des projets d’urbanisme en facilitant leur visualisation et en simulant leur performance, aussi bien durant les phases de conception et de construction que pendant la phase d’exploitation. En d’autres termes, le CIM, aussi appelĂ© City-BIM ou BIM multi-Ă©chelle, permet de rĂ©unir l’ensemble des donnĂ©es nĂ©cessaires au bon dĂ©roulement d’un projet urbain, en tenant compte des caractĂ©ristiques et des contraintes inhĂ©rentes Ă  chaque mĂ©tier impliquĂ© et reprĂ©sentĂ©. De ce fait, il contribue Ă  simplifier grandement la prise de dĂ©cision, la collaboration et la communication entre acteurs architectes, paysagistes, ingĂ©nieurs, maĂźtres d’ouvrage
 et utilisateurs riverains, habitants
, notamment durant l’étape cruciale de concertation publique. En association avec l’Internet des objets Internet of Things – IoT, le CIM peut incontestablement modifier en profondeur la vie urbaine et apporter des Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse intĂ©ressants aux enjeux majeurs que reprĂ©sentent la concentration de la population dans les grandes villes et la maĂźtrise de la consommation Ă©nergĂ©tique. Alors que le concept de smart city – ou ville intelligente – a le vent en poupe, le CIM apparaĂźt comme une solution solide pour participer Ă  son essor. Le CIM, modalitĂ© de fabrication de la ville de demain » ? De nombreuses attentes pĂšsent sur le CIM, tant le potentiel de cet outil est grand. DĂ©ployer les projets en CIM » fait d’ailleurs partie des pistes d’actions suggĂ©rĂ©es par RĂ©ana TahĂ©raly dans son rapport intitulĂ© Pour une stratĂ©gie d’innovation urbaine de Grand Paris AmĂ©nagement – la ville de demain, maintenant ou jamais ? », remis au directeur gĂ©nĂ©ral de GPA, Thierry Lajoie, le 23 janvier 2019. La cheffe de cabinet, rappelant que le CIM peut ĂȘtre un rĂ©el outil de concertation avec les habitants d’un quartier, souligne l’importance de prendre des engagements Ă  5 ans qui toucheront les modalitĂ©s de la fabrication, les usages et le modĂšle de l’amĂ©nageur de la ville de demain ». Des dĂ©marches qui se multiplient Plusieurs dĂ©marches de CIM sont actuellement en cours de dĂ©ploiement en France. Le projet de renouvellement Charenton-Bercy vise Ă  crĂ©er un quartier alliant qualitĂ© de vie et rayonnement urbain. L’opĂ©ration Les Horizons Ă  Courcouronnes a quant Ă  elle une ambition claire dessiner un quartier au service du territoire et des usagers tout en Ă©tant exemplaire en termes de dĂ©veloppement durable. On peut citer Ă©galement le Triangle de l’Échat Ă  CrĂ©teil – une ZAC créée en juillet 2017 oĂč Grand Paris AmĂ©nagement rĂ©alise une opĂ©ration dans le cadre du plan de mobilisation pour le logement – ou encore le futur Ă©coquartier Les Fabriques » Ă  Marseille qui s’inscrit dans le cadre de l’OpĂ©ration d’IntĂ©rĂȘt National OIN portĂ©e par EuromĂ©diterranĂ©e. Les Fabriques – Marseille Enfin, il apparaĂźt indispensable de mentionner le cas d’un amĂ©nagement en BIM-CIM Ă  Paris La DĂ©fense. GrĂące Ă  un partenariat R&D avec le CSTB Centre Scientifique et Technique du BĂątiment, le confort des usagers a pu ĂȘtre restituĂ© et scĂ©narisĂ© virtuellement dans une approche globale et la performance de l’amĂ©nagement a pu ĂȘtre simulĂ©e selon plusieurs critĂšres aĂ©raulique, acoustique, Ă©clairage public, environnement, reflet solaire, Ă©blouissement. Si l’intĂ©rĂȘt du CIM dans les nouveaux projets d’amĂ©nagement urbain apparaĂźt incontestable, les regards commencent dĂ©jĂ  Ă  se tourner vers le TIM Town Information Modeling. Cette maquette numĂ©rique, dont le rĂŽle est de mettre en rĂ©seau diffĂ©rents CIM, pourrait en effet permettre l’accĂšs Ă  une dimension supplĂ©mentaire en matiĂšre d’innovation urbaine

Autourde la mĂȘme thĂ©matique de la ville du futur, nous avons participĂ© Ă  l’atelier de Design Fiction animĂ© par Olivier Wathelet, anthropologue, expert en innovation et co-auteur de Jouer avec les futurs.RegroupĂ©s en Ă©quipe de 7 Ă  8 personnes, nous avons imaginĂ© de maniĂšre ludique les tendances de la ville de demain et dĂ©couvert l’outil de Design Fiction – technique
Dans le cadre de la rĂ©forme 2016, il est demandĂ© aux professeurs de travailler avec les Ă©lĂšves la gĂ©ographie prospective. Il s’agit dans ce cas prĂ©cis d’une activitĂ© de crĂ©ation qui consiste Ă  imaginer plusieurs Ă©volutions possibles au sein d’un territoire. L’affichage des travaux d’élĂšves a Ă©tĂ© possible grĂące Ă  l’autorisation des parents, je les en remercie sincĂšrement. Les citĂ©s de demain ne sont pas celles forcĂ©ment dont on rĂȘvait hier. Jamais nos mĂ©tropoles n’ont autant changĂ© qu’au cours des derniĂšres dĂ©cennies Ă  cause de l’urbanisation massive. La population mondiale augmente et il y a de plus en plus de citadins ! La maquette d'Alice, AnaĂŻs, ÉloĂŻse 6Ăšme7 La Padlet. La grille d’évaluation des maquettes est lĂ  ! La mĂ©thode du Quels seront les modes de transport que vous utiliserez dans la citĂ© de l’avenir ? ThĂšme 2 = la ville miroir – Comment sera l’architecture de nos mĂ©tropoles ? ThĂšme 3= la ville ventre – Comment nourrir les habitants de nos villes demain ? ThĂšme 4 = la smart city – Comment communiquer dans la ville de demain ? ThĂšme 5 = la ville intĂ©gratrice – Comment mieux vivre ensemble dans la ville de demain ? ThĂšme 6 = Comment faire vivre une ville durable ? La maquette d'InĂšs C. 6Ăšme4. Dans le cadre de la liaison Écoles / collĂšge, des visites d’élĂšves volontaires sont proposĂ©es dans leurs anciennes Ă©coles primaires. L’affiche utilisĂ©e au sein de l’établissement a permis de mobiliser les Ă©lĂšves pour le concours de la maquette de la ville de demain. Des liens utiles, ici. Ou ici ! La maquette de Sara, Lucie, SalomĂ©, Lola 6Ăšme5. Pour publier des travaux d’élĂšves, des rĂšgles Ă  respecter !

CommentĂ©valuer une maquette ? Le travail peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© en Accompagnement personnalisĂ© (AP) ou en Enseignement Pratique Interdisciplinaire (EPI). Il est le fruit d’un travail de groupe et a pour but

En sortant de l’institut Image, l’école d’ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers de Chalon-sur-SaĂŽne SaĂŽne-et-Loire, avec une spĂ©cialitĂ© rĂ©alitĂ© virtuelle et rĂ©alitĂ© augmentĂ©e en 2018, Louis Jeannin et Nicolas Caligiuri se sont lancĂ©s sur le projet Foxar. "Nous voulions un projet utile pour la sociĂ©tĂ© qui ait aussi du sens pour nous. Nous avons donc imaginĂ© une bibliothĂšque d’illustrations pĂ©dagogiques en rĂ©alitĂ© augmentĂ©e pour que les domaines scolaires trop abstraits deviennent plus concrets", explique Louis Jeannin. Co-dĂ©veloppĂ© avec des enseignants L’entreprise Foxar a vu le jour en juillet 2020. Disponible sur tablette IOS et bientĂŽt AndroĂŻd, l’application utilise les outils de rĂ©alitĂ© augmentĂ©e ARKit d’Apple et ARCore de google pour que ses maquettes pĂ©dagogiques 3D facilite la comprĂ©hension de certaines matiĂšres. "Nous mettons notre version bĂȘta Ă  disposition de tous les enseignants qui le souhaitent pour faire encore Ă©voluer nos modules", poursuit l'ingĂ©nieur. Des planĂštes Ă  l’échelle Ă  l’agencement des molĂ©cules d’eau en physique, des cartes en gĂ©ographie, mais aussi les fractions et la conversion des volumes en mathĂ©matiques se veulent ainsi plus fidĂšles que des outils en deux dimensions. "La majoritĂ© des Ă©lĂšves peine Ă  transposer les illustrations classiques en 3D. Cette visualisation plus facile et ludique permet aux Ă©lĂšves en difficultĂ©s de rattraper leur retard." Co-construite avec une cinquantaine d’enseignants de tous horizons qui ont testĂ© et validĂ© les contenus existants, l’application se destine Ă  tous les niveaux scolaires, de la primaire au lycĂ©e. En parallĂšle de leurs compĂ©tences, Foxar a engagĂ© une doctorante en ergonomie cognitive et psychologue dont le rĂŽle est d’amĂ©liorer l’ergonomie et l’efficacitĂ© des maquettes pĂ©dagogiques. Au service de la formation professionnelle RĂ©compensĂ©e par le programme d’open innovation du Groupe La Poste dans les services connectĂ©s, French IoT, ainsi que du concours organisĂ© par le village francophone parmi les startups EdTech, Foxar prĂ©voit de lancer une levĂ©e de fonds en fin d’annĂ©e et de recruter plusieurs collaborateurs. Pour l’heure, afin de financer le dĂ©veloppement de son application destinĂ©e Ă  l’Education Nationale, Foxar s’est mise au service de la formation professionnelle. "Nous avons par exemple créé une maquette pĂ©dagogique pour l’UIMM de Dijon / Chalon-sur-SaĂŽne sur l’usinage et une autre pour Enedis qui vise Ă  former les techniciens sur les systĂšmes et tableaux Ă©lectriques qu’ils doivent utiliser", dĂ©taille Louis Jeannin. La start-up travaille actuellement sur une maquette destinĂ©e Ă  la MutualitĂ© Française autour des risques en matiĂšre de santĂ© environnementale.

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