Allez un petite perle pour faire rire les gens : il y a quelque temps, j’ai créé un site pour les chambres d’hôtes d’amis de mes parents. Le lendemain, le site n’était pas indexé (ce qui, donc, ne m’affolait pas, d’autant que ça a finalement été fait en moins de 48h).
Après avoir passé des mois ou peut-être même des années à travailler sur votre nouveau chef-d’œuvre musical, il serait dommage que son impact ne soit pas à la hauteur de vos attentes. Quelques téléchargements, quelques centaines de vues et d’écoutes… Bref, pas de quoi vous aider dans votre carrière musicale. Si vous voulez éviter cela, vous avez besoin d’un vrai plan marketing visant à créer de l’anticipation chez vos fans et réussir votre promo. Avec des centaines de nouveaux albums et EPs sortant chaque jour, la compétition est rude pour ce qui est de capter l’attention de votre fanbase, aussi fidèle qu’elle soit. Par conséquent, dans cet article nous allons voir plusieurs tactiques à implémenter afin de bien faire la promotion pour la sortie de votre nouvel album ou EP. Cela servira à intéresser vos fans, à attirer les curieux et à vous assurer que votre album continuera à se vendre sur la durée. 1. Préparer la sortie de votre album ou EP1. Planifier la sortie2. Tout documenter3. Se fixer des objectifs4. Mettre à jour votre projet5. Teaser6. Demander à vos fans7. Mettre en place une précommande2. Avant, pendant et après la sortie1. Contacter des blogs musicaux et des radios2. Répondre à des interviews3. Faire un maximum de vidéos4. Utiliser votre newsletter5. “Release PARTYYY !”6. Engager vos fans sur les réseaux sociaux7. Toujours plus de musiqueConclusion 1. Préparer la sortie de votre album ou EP 1. Planifier la sortie Avant toute chose, créez un plan à suivre pour la durée totale de votre campagne de lancement. Ce plan tourne autour de la date de sortie et doit inclure vos concerts, vos annonces, la sortie de vos contenus de promo teasing, pochette, single, clip, reprise, interview, etc. et tout ce qui semble pertinent newsletter, prises de contact, mises à jour, etc.. Prenez aussi en compte les autres aspects comme la protection de vos œuvres, la distribution en ligne et éventuellement physique, la création de merchandising, etc. C’est évident que vous avez hâte de sortir votre nouvel album, mais ne bâclez pas la chose et prenez plusieurs mois pour préparer la sortie. Vous allez en avoir besoin. 2. Tout documenter Une majeure partie de la promotion de votre nouvel album consiste à documenter minutieusement toute cette aventure, de la composition au studio, puis du studio à la scène. Prenez des photos et des vidéos à chaque étape et écrivez des articles ou des publications pour décrire tout le processus. Vous aurez là un excellent contenu à partager sur les réseaux sociaux, sur votre site et avec votre newsletter. Par exemple, n’hésitez pas à dégainer votre téléphone pour capturer l’écoute d’un de vos nouveaux titres en studio avec Instagram ou Snapchat. Vous pouvez même aller jusqu’à créer un mini documentaire ou une série de vidéos afin de faire monter le buzz. 3. Se fixer des objectifs Durant toute la campagne de lancement de votre album ou EP, vous devez analyser les statistiques à votre disposition. Combien de followers avez-vous ? Quel est leur niveau d’engagement ? Combien de personnes consultent votre site web actuellement ? Combien y a-t-il eu de téléchargements, de vues et d’écoutes avant le lancement ? Une fois que vous avez ces données, vous pouvez établir des objectifs SMART afin de mesurer le succès de votre campagne. À partir de quel seuil pourrez-vous dire qu’il s’agit d’une réussite ? 4. Mettre à jour votre projet Avant de promouvoir votre nouvelle sortie, il faut que tous vos éléments de communication aillent dans la même direction. En effet, il faut que tous les documents et aspects de votre branding qui sont liés de près ou de loin à votre projet n’aient qu’un seul et même but la promo de votre nouvel album ou EP. Il s’agit donc de Vos photos pros Votre biographie Vos dossiers de presse électroniques ou non Vos profils sur les réseaux sociaux Votre site web Tous les autres outils de communication Ce sont ces documents que prendront en compte les pros et les fans potentiels durant leur découverte de votre projet musical. Ils doivent donc être totalement à jour et répondre à toutes les questions courantes. Préparez également votre communiqué de presse afin d’informer les médias de la sortie de votre album, mais aussi de la date de votre release party voir plus bas. Ce n’est pas si compliqué à écrire et vous permettra d’obtenir plus de traction dans les médias. 5. Teaser Pour votre lancement, vous voulez vraiment créer de l’anticipation. Pour cela il y a plusieurs manières de procéder. Une chose que vous pouvez faire c’est par exemple de faire un décompte environ 10 jours avant la sortie. Chaque jour qui se rapproche, publiez sur vos réseaux sociaux un nouveau visuel informant vos fans du nombre restant de jours. Une autre idée est de ne diffuser qu’un court extrait d’un titre ou d’un clip, voire de ne dévoiler qu’une partie de la pochette d’album. Faites preuve de créativité et planifiez ces actions dans le temps, afin d’en révéler un peu plus chaque semaine. 6. Demander à vos fans En tant qu’artiste ou groupe indépendant, vous n’êtes pas du tout obligé de tout faire tout seul. En effet, si vous regardez mieux, vous vous rendrez compte que vous avez toute une équipe de personnes prêtes à vous aider. Il s’agit de vos fans ! Votre stratégie de lancement peut comporter une campagne de financement participatif, un concours exclusif pour vos fans ou encore une demande de participation pour votre prochain clip, ou bien une création de reprise ou de remix que vous partagerez par la suite. Mis à part cela, n’ayez pas peur de demander à vos fans de l’aide concrète, tout en récompensant leurs efforts de façon proportionnée. Impliquez-les davantage dans votre communication et dans votre street marketing pour faire grandir le buzz localement ou en ligne. 7. Mettre en place une précommande Afin de réaliser des ventes supplémentaires, envisagez de mettre en place un système de précommande soit via iTunes soit sur votre site Internet. Cela encouragera votre communauté à acheter votre album en avance, surtout si vous décidez d’inclure un ou plusieurs bonus exclusifs ticket de concert, t-shirt, sticker, etc.. 2. Avant, pendant et après la sortie 1. Contacter des blogs musicaux et des radios Dès que votre projet est mixé et masterisé, commencez à démarcher des influenceurs dans votre style musical, comme des blogs musicaux, des radios locales, la presse locale, etc. Voyez s’ils seraient intéressés par écouter votre musique et éventuellement par vous inclure dans une chronique. Toutefois, gardez bien en tête que la plupart des pros veulent avoir votre musique avant même qu’elle ne soit officiellement sortie. Pour aller encore plus loin dans ce sens et augmenter vos chances, vous pouvez leur proposer de partager des exclus singles, clips, reprises, annonces, etc. via leur média. Cela prend du temps, surtout que pour avoir des résultats il faut viser au moins une centaine de médias. Alors, préparez bien votre pitch, votre planning et vos relances. 2. Répondre à des interviews Essayer d’obtenir un maximum d’interviews, si possible filmées, de la part des médias que vous contactez. Cela vous permet de partager des détails plus personnels par rapport à la création de votre album et de montrer que vous attirez l’attention grâce à ce projet. Ne rejetez pas la moindre opportunité, puisque même le plus petit média vous permettra de gagner en authenticité auprès de vos fans et de matérialiser l’identité et le potentiel de votre marque. Si vous n’arrivez pas à joindre qui que ce soit, envisagez de faire ça vous-même en créant par exemple une série de vidéos sur YouTube. 3. Faire un maximum de vidéos La vidéo est aujourd’hui le format de référence pour ce qui est de faire passer une information ou de divertir, notamment grâce à Youtube. En créant plus de contenu vidéo, vous vous assurez que votre musique et vos annonces atteignent toujours un maximum de monde. C’est particulièrement le cas pour vos clips officiels qui attireront bien plus d’attention que vous ne pouvez l’imaginer. Par conséquent, produisez autant de vidéo que possible. Votre album possède 12 titres ? Pourquoi ne pas en faire 12 clips ? Utilisez la vidéo pour raconter votre processus créatif, votre travail en studio ou bien pour teaser. Si vous souhaitez avoir plus d’idées de contenu vidéo à partager, je vous invite à cliquer ici. Cela vous permettra en plus d’attirer du monde au-delà de votre communauté actuelle. 4. Utiliser votre newsletter Au fur et à mesure du lancement, partagez vos singles, vos passages médias ou encore la pochette d’album grâce à votre newsletter et demandez à votre communauté de fans de partager l’information. Envoyez un email annonçant la date de sortie et demandez à vos fans de répondre à votre message, s’il souhaite écouter un extrait exclusif. En règle générale, les abonnés à votre newsletter devraient être les premiers informés et vous devriez constamment vous efforcer de collecter les adresses de nouveaux fans. Il n’y a à ce jour aucun moyen plus fiable et plus puissant sur le web que l’email pour communiquer directement avec ses fans. 5. “Release PARTYYY !” Pensez à organiser un concert exceptionnel pour célébrer la sortie de votre nouveau chef-d’œuvre. Cela contribuera fortement à booster sa promotion, à vendre du merch et à informer le plus grand nombre. Vous pouvez soit faire un concert unique dans votre ville le jour de la sortie, soit planifier toute une tournée dans votre région. Vous n’avez pas besoin d’être reconnu internationalement ou d’être signé en major pour prétendre vouloir vous connecter directement à vos fans durant des lives. Faites cela à votre échelle, même si votre fanbase est limitée. Dans tous les cas, assurez-vous de monter autant que possible sur scène autour de la date de sortie de votre disque. C’est d’ailleurs le bon moment pour tester de nouveaux morceaux en situation réelle ! 6. Engager vos fans sur les réseaux sociaux Les musiciens sont de plus en plus conscients du pouvoir des réseaux sociaux par rapport à leur carrière musicale. Cependant, il ne suffit pas de partager un lien iTunes ou de créer un événement Facebook pour promouvoir efficacement la sortie de votre album. Vous avez besoin de trouver des idées originales pour vous connecter à vos fans de façon plaisante et engageante. Si vous pouvez créer une vraie relation amicale et chaleureuse, plutôt que de spammer des “ACHETEZ MON ALBUM“, vous fidéliserez vos fans et instaurerez une relation bien plus sincère et censée. Ce qui boostera énormément vos ventes sur la durée. 7. Toujours plus de musique Ce n’est pas parce que vous venez de sortir votre album ou EP que vous pouvez ranger vos instruments. De nos jours, l’artiste moderne doit régulièrement fournir à sa fanbase de nouveaux sons. En sortant de nouveaux singles, vous maintiendrez le buzz sur la durée ainsi que l’engagement que vous avez créé auprès de vos fans. Mais ce n’est pas la seule solution. Vous pouvez aussi proposer Des remixs de vos titres par d’autres DJs Des versions acoustiques de vos titres Des versions alternatives de vos titres Des reprises de chansons d’autres artistes ou groupes par vous En bref, pensez également à l’après afin de ne pas perdre le momentum que vous avez bâti. Conclusion La sortie d’un album est un évènement pour votre carrière que vous devez préparer dans les moindres détails afin d’en profiter pleinement. Prenez votre temps, soyez créatif, écoutez vos fans et célébrez la concrétisation de tant de mois de travail comme il se doit ! Pour plus de conseils sur la promotion et le marketing pour les musiciens et groupes indépendants, je vous invite à recevoir vos 3 guides gratuits et exclusifs en laissant votre adresse email en-dessous de cet article.
Lessites Internet à prix élevé. Nous appellerons ici prix élevé un tarif supérieur à 3000 euros. C’est là que se cachent parfois, des choses relativement incompréhensibles. Pour un
La vitesse de votre connexion Internet à la maison joue un rôle important sur la qualité de votre expérience en ligne et de celle de votre famille. En effet, la frustration est bien réelle lorsque la page Web que l’on veut consulter prend longtemps à s’afficher à l’écran, ou que la vidéo que l’on regarde s’arrête continuellement. On peut alors se poser les questions suivantes Quelle sont mes vitesses de connexion réelles? Qu’est-ce qui influence les vitesses de ma connexion? Comment puis-je augmenter les vitesses de ma connexion Internet? Existe-t-il une norme de vitesse de connexion minimale au Canada? Quelle sont mes vitesses de connexion réelles? Pour le téléchargement et le téléversement de données, les vitesses de connexion Internet sont établies en mégabits par seconde Mb/s votre connexion descendante téléchargement, soit la vitesse, mesurée en mégabits par seconde ou Mbits/s, du transfert des données entre Internet et votre appareil, qu’il s’agisse de fichiers, de sites Web, de photos, de pièces musicales ou de films; votre connexion ascendante téléversement, soit la vitesse, toujours mesurée en Mbits/s, du transfert des données entre votre appareil et Internet. Les fournisseurs de services Internet FSI proposent différentes vitesses de connexion Internet à différents prix. En règle générale, vous pouvez choisir parmi plusieurs forfaits, mais vous devez débourser davantage pour profiter d’une connexion plus rapide. Il existe des outils en ligne pour mesurer les vitesses de la connexion Internet. Votre fournisseur en propose sûrement un sur son site Web pour que vous puissiez évaluer les vitesses de votre connexion. Vous êtes-vous déjà demandé si votre forfait Internet est bien celui pour lequel vous payez? Le CRTC a mis sur pied un projet d’évaluation de la performance des services Internet à large bande offerts dans les foyers canadiens afin d’en mesurer les vitesses et d’en évaluer les autres caractéristiques. Qu’est-ce qui influence les vitesses de ma connexion? Les vitesses de téléchargement et de téléversement associées à votre forfait sont autant de facteurs déterminants pour évaluer les vitesses réelles de votre connexion Internet. Mais il y en a d’autres. Facteurs à l’intérieur du domicile Le forfait commandé à votre fournisseur précise les vitesses du service Internet depuis ses installations jusqu’à votre porte. La documentation publicitaire annonce souvent des vitesses pouvant atteindre » un nombre quelconque de Mbits/s, mais plusieurs facteurs peuvent réduire la vitesse de la connexion. En voici quelques-uns L’ordinateur. Avez-vous un ordinateur récent et rapide, ou s’agit-il d’une vieille machine qui peine à fournir les ressources nécessaires aux nouvelles applications? Le modem. Ce périphérique, qui convertit les données transmises par le téléphone, le câble ou la fibre optique dans un format exploitable par l’ordinateur, peut-il accepter les vitesses de connexion élevées qui sont la norme aujourd’hui? Il se peut que les modèles plus anciens ne les acceptent pas. Le routeur sans fil. De plus en plus de consommateurs installent chez eux un réseau sans fil pour profiter des services Internet avec plusieurs appareils. Les vitesses de connexion peuvent varier avec la distance entre le routeur et ces appareils. Le nombre d’appareils utilisés. Utilisez-vous un seul appareil ou partagez-vous la connexion Internet avec l’ordinateur, la tablette ou le téléphone intelligent d’autres personnes? La vitesse de la connexion Internet est directement proportionnelle au nombre d’appareils connectés au réseau de la maison. Facteurs à l’extérieur du domicile Divers facteurs peuvent réduire les vitesses de la connexion à l’extérieur de votre domicile l’achalandage du site Web – si des milliers d’autres personnes essaient de visiter le même site Web que vous, les autres internautes retarderont d’autant la vitesse à laquelle vous y accédez; les facteurs d’ordre technique – la latence, c’est-à-dire le temps que prennent les données à voyager d’une source à une destination, et les paquets de données perdus, c’est-à-dire les éléments d’information que vous avez envoyés ou que vous attendez de recevoir par Internet et qui ne parviennent pas à destination, peuvent également réduire les vitesses de connexion; la connexion – votre domicile est-il doté d’une connexion en bon état ou faut-il la réparer? Comment puis-je augmenter les vitesses de ma connexion Internet? Si vos vitesses de connexion actuelles vous déçoivent, vous êtes libre de changer de fournisseur de services Internet FSI. Ils sont responsables de l’équipement qu’ils fournissent, de leurs méthodes de facturation et de commercialisation, de la qualité du service et des relations avec les clients. Si vous avez des problèmes avec votre fournisseur, vous devriez communiquer avec son service à la clientèle et faire part de vos préoccupations directement au gestionnaire si nécessaire. Sinon, nous vous suggérons de communiquer avec la Commission des plaintes relatives aux services de télécom-télévision CPRST. Existe-t-il une norme de vitesse de connexion minimale au Canada? Le CRTC reconnaît qu’une infrastructure à large bande bien développée est essentielle pour favoriser la participation des Canadiens à l’économie numérique. C’est pourquoi il a établi de nouvelles cibles pour les vitesses de connexion Internet. Le Conseil veut que tous les ménages et toutes les entreprises du Canada aient accès à une connexion Internet à large bande d’au moins 50 Mbits/s en téléchargement et d’au moins 10 Mbits/s en téléversement. Bien qu’une majorité de Canadiens profitent de tels niveaux de services à l’heure actuelle, cet avantage fait défaut dans les secteurs ruraux et les régions éloignées. Dans le cadre de ses efforts déployés pour soutenir une telle infrastructure, le CRTC a établi un fonds destiné à s’assurer que des niveaux minimaux de services d’accès Internet à large bande soient offerts partout au Canada. Il prévoit qu’à la fin de 2021, 90 % des foyers et des entreprises du pays profiteront de vitesses de connexion d’au moins 50 Mbits/s en téléchargement et d’au moins 10 Mbits/s en téléversement. Ces objectifs devraient être atteints au moyen du mécanisme de financement du CRTC auquel viennent s’ajouter des investissements du secteur privé, d’autres programmes de financement gouvernementaux et des partenariats public-privé. Pour plus d'informations sur le plan, veuillez consulter la Politique réglementaire de télécom CRTC 2016-496 et Politique réglementaire de télécom CRTC 2018-377. Pour en savoir plus… Rapports sur le marché des communications Tenez-vous au courant des dernières données et tendances dans les secteurs canadiens de la radiodiffusion et des télécommunications incluant un survol du secteur des services Internet de détail et de la disponibilité de l’accès à Internet à large bande au Canada. Date de modification 2022-07-06
Ilfaut combien de temps pour apprendre a faire des sites internet quand on y connait rien du tout. IL faut obligatoirement passer par une ecole ou c'est possible par correspondance? En sachant
L’annonce faite par Nicolas Sarkozy de sanctionner pénalement les visites de sites internet promouvant une idéologie terroriste ou appelant à la haine ou à la violence, n’est pas totalement inédite en droit français. Il existe déjà dans la loi une telle pénalisation des visites de sites pédopornographiques. Mais Numerama a remonté l’historique de cette loi, introduite en 2007 par Valérie Pecresse, pour comprendre pourquoi elle n’avait pas suscité d’opposition particulière à l’époque, et pourquoi il n’est pas opportun de mettre les deux textes sur un même pied. Le président Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi, en réaction aux attentats menés par Mohamed Merah, la création d’un nouveau délit de consultation de sites internet, particulièrement dangereux pour la liberté d’expression et de communication en France. Toute personne qui consultera de manière habituelle des sites internet qui font l’apologie du terrorisme, ou véhiculant des appels à la haine ou à la violence, sera puni pénalement , a annoncé le chef de l’Etat. Comme nous l’expliquions hier dans une mise à jour, il existe déjà dans la loi un délit similaire, qui concerne la consultation d’images pédopornographiques. L’article 227-23 du code pénal dispose en effet que le fait de consulter habituellement un service de communication au public en ligne mettant à disposition une telle image ou représentation … est puni de deux ans d’emprisonnement et 30000 euros d’amende . Certains ont donc vu dans ce précédent une justification de l’annonce présidentielle ; mais le contexte était très différent et explique qu’à l’époque, la disposition n’avait pas soulevé la même indignation. Nous sommes en effet remontés à ses origines pour tenter de comprendre. La disposition fait la première fois son apparition en novembre 2006 dans un amendement n°566 déposé par Valérie Pecresse, alors députée UMP, dans le cadre du débat parlementaire sur la loi sur la prévention de la délinquance présenté par… Nicolas Sarkozy. Mais l’amendent apparaît à la discussion tard dans la soirée, dans un hémicycle désert, à un moment où Valérie Pecresse est absente des bancs de l’Assemblée Nationale. Personne ne reprend l’amendement parmi les députés présents, et le texte n’est donc pas débattu. Frustrée, Valérie Pecresse profite du fait que trois mois plus tard, en janvier 2007, la loi sur la réforme de la protection de l’enfance arrive en première lecture à l’Assemblée Nationale. Le texte a été examiné depuis l’été 2006 par le Sénat, et la future ministre est nommée rapporteur du projet de loi à la chambre des députés, au nom de la commission des affaires culturelles. C’est alors qu’elle dépose le 9 janvier 2007 son amendement n°302, strictement identique à celui qu’elle avait oubliée de défendre. L’amendement, qui apparaît subitement donc dans les débats, est présenté à la discussion parlementaire dès le lendemain, le 10 janvier 2007. En séance, la ministre explique les raisons qui la poussent à présenter une telle réforme du code pénal. Ses arguments font mouche Notre code pénal n’est plus adapté à la répression de la pédopornographie sur Internet et aux nouveaux comportements qui s’y développent. Le code pénal prévoit que seul le fait de détenir une image à caractère pornographique est puni par la loi. Cela suppose de la détenir sur le disque dur de l’ordinateur ou sur tout autre support. Cette disposition du code pénal date du temps de la vidéo, où les pédophiles détenaient des images pédopornographiques sur un support vidéo. Aujourd’hui, le pédophile est suffisamment avisé pour se rendre compte qu’il n’a pas intérêt à télécharger les images qu’il consulte sur Internet sur son disque dur d’ordinateur, pour apporter la preuve aux services judiciaires qui le poursuivront un jour qu’il détient des images pornographiques. En revanche, le fait de consulter un service de communication en ligne d’images pédopornographiques n’est pas, en tant que tel, un délit pénal. Que font donc les pédophiles ? Ils prennent leur carte bleue ou un système de compte bancaire sur Internet et paient en ligne la consultation d’images. Comme les sites se multiplient, ils consultent et ils ne détiennent pas. Ils ne sont donc pas, actuellement, passibles de poursuites. Je propose donc de modifier l’incrimination prévue à l’article 227-3 du code pénal, en prévoyant qu’il ne s’agit pas seulement de détenir des images pornographiques, mais aussi de consulter un service de communication en ligne, mettant à disposition une telle image ou représentation. Le texte sera adopté sans difficulté, avec pour seule modification d’ajouter qu’il faut consulter habituellement » ces sites internet pour être condamnable. Le fait de tomber une fois sur un site et d’encourir une peine de deux ans d’emprisonnement est trop important. Je propose donc d’ajouter le mot » habituellement » après les mots » Le fait de consulter . Il est facile de vérifier, car une trace est laissée par la consultation et permet de voir si elle est habituelle ou non , avait défendu Philippe Bas, le ministre de la famille. La députée UMP Henriette Martinez tente bien d’introduire au texte une précaution, en proposant d’exonérer les associations de protection de l’enfance, dûment habilitées, qui travaillent sur ce sujet en lien avec la police, la gendarmerie et les brigades de recherche, et ont conçu, pour certaines, des moteurs de recherche permettant de débusquer les sites pédophiles . Mais la proposition n’est même pas débattue tant chacun sent bien que le texte ne sera pas appliqué pour débusquer les pédophiles, mais simplement pour avoir un motif de condamnation après perquisitions, si aucun contenu n’est matériellement trouvé au domicile du prévenu. La deuxième lecture du Sénat n’apporte aucune discussion sur la disposition, qui est largement admise. Pas de contrôle du Conseil Constitutionnel Surtout, la loi sur la réforme de la protection de l’enfance, et ce premier délit de consultation de sites internet, n’est pas déféré devant le Conseil constitutionnel. Il n’a donc fait l’objet à ce jour d’aucun examen de conformité à la Constitution. Il est impossible de présager que parce qu’une loi similaire pré-existe dans le droit pénal, la disposition annoncée par Nicolas Sarkozy sera acceptée. Elle pourra être censurée à plusieurs titres. En plus de la violation évidente des libertés d’expression et de communication, et de la vie privée, elle pourra être rejetée parce qu’elle méconnaîtra certainement le principe de légalité des délits et des peines, qui veut que les lois pénales soient écrites de façon suffisamment précises pour permettre aux justiciables de savoir quand ils sont en infraction. Pour les images pédopornographiques, la qualification est relativement objective. Mais comme l’explique parfaitement Le Monde dans un article sur la mise en application de la proposition de Nicolas Sarkozy, il sera très compliqué de définir un délit de consultation de sites à idéologie terroriste Où se situe la limite entre organisation terroriste et parti politique ? Les indépendantistes basques de Batasuna, par exemple, étaient considérés jusqu’en 2009 comme faisant partie d’une organisation terroriste » par l’Union européenne ; Batasuna reste interdite en Espagne, mais pas en France. La consultation de son site depuis la France pourrait-elle être pénalement condamnable ? Surtout, une telle disposition créerait une législation d’exception, s’appliquant à Internet mais pas aux livres, par exemple. En France, la possession, la vente et a fortiori la lecture de Mein Kampf sont légales depuis 1979, mais la proposition énoncée par M. Sarkozy rendrait, en théorie, la lecture de l’autobiographie d’Adolf Hitler illégale en ligne. Surtout, on sent bien que l’idée de Nicolas Sarkozy n’est plus, comme l’avait exprimé Valérie Pecresse au sujet de la pédopornographie, de trouver un artifice juridique permettant de déclarer coupables des suspects qui prennent le soin de contourner la loi en ne possédant pas eux-mêmes les contenus répréhensibles. Cette fois, le président-candidat veut interdire à la population de consulter certains types de sites, pour leur éviter un endoctrinement via la menace de sanctions pénales. Cette fois, la surveillance générale de la population est sous-entendue. Elle est en tout cas nécessaire pour mettre la loi en application. Et ce qui la rend totalement inacceptable. illustration CC Perfecto Insecto
Faitesune analyse. Fixez vos objectifs et élaborez un plan. Définissez votre langage visuel. Reprenez l'arborescence de votre site. Suivez les tendances de web design. Actualisez vos textes. Pensez au référencement. Optimisez la Nous avons récemment réalisé une étude au sujet des difficultés rencontrées par les entreprises lors de la mise en place d’un projet de création de site Internet. Pour ce faire, nous avons interrogé un panel de chefs d’entreprises, responsables marketing / communication ou chefs de projet en agence afin de connaître leurs aspirations, difficultés et objectifs. Or, alors que nous attendions d’autres réponses à nos interrogations en réalisant ce sondage, un élément clé est ressorti des réponses le problème de temps ! Les étapes pour créer un site Internet La création d’un site Internet est une histoire de temps et de délais … Analyser les attentes de vos cibles, récolter les besoins de vos collègues et / ou dirigeants, rédiger le cahier des charges, envoyer les demandes de devis, obtenir ces derniers, choisir l’agence qui sera votre partenaire sur le projet, créer le site Internet, assurer le recettage avant sa mise en ligne, … Autant d’étapes et encore la liste n’est pas exhaustive qui peuvent être chronophages et générer un stress inutile. Voici donc quelques conseils pour réduire les délais, et mieux encore, gagner du temps. Commencez par réunir tout le monde ! Première étape du projet réunissez toutes les personnes de l’entreprise qui seront parties prenantes et / ou décisionnaires sur le projet. Elles doivent être présentes lors de cette réunion de démarrage. N’avancez aucune date de livraison tant que ce mini événement n’aura pas eu lieu ! Pourquoi faire une réunion collective ? Tout simplement parce que vous devez valider, avec l’ensemble des interlocuteurs, les objectifs de ce projet. Tous doivent comprendre, partager et s’approprier des objectifs communs. Un site Internet est un projet d’entreprise, ce n’est pas que le problème du service marketing ou du patron ! Ils doivent prendre conscience que l’efficacité du projet, l’atteinte des objectifs, la croissance de l’entreprise, et indirectement, leur réussite individuelle, passeront par un succès du collectif. Obtenir les réponses dans les délais imposés Par la suite, la mission la plus chronophage et la plus ingrate sera de récupérer les informations dont vous avez besoin et ce, dans les temps impartis. Imposez des délais raisonnables à chacune des étapes, et n’hésitez pas à faire des relances avant même la date butoir. Exemple si vous accordez un mois à vos interlocuteurs. Relancez-les chaque semaine, de préférence les mardi ou les jeudi le lundi, retour de weekend, le mercredi, de nombreuses absences, le vendredi, veille de weekend, .... Si vous craignez de ne pas pouvoir récupérer les éléments avant l’heure fatidique, alors, là encore, anticipez ! Les 4 derniers jours avant celle-ci, entamez un processus de relance cordiale et quotidienne. Ce n’est pas à vous de stresser pour rattraper le retard des autres. Rédiger et valider le cahier des charges Pour rédiger votre cahier des charges vous devez collecter un maximum d’informations auprès de vos collègues et équipes Analyse de l’existant Nouveaux besoins Benchmark de la concurrence Besoins techniques Puis, vous devez valider ou faire valider la synthèse de ces informations par le biais de votre cahier des charges. Là encore, ne perdez pas de temps en tergiversation pour modifier une virgule ou changer un mot. Concentrez-vous sur le fond ! Devis & délais Le cahier des charges est rédigé, reste à le diffuser aux différentes agences web pour obtenir les tarifs et faire le meilleur choix de prestataire. Laissez un minimum de 15 jours à vos contacts pour vous faire une proposition en bonne et due forme. Passé le délai imposé... Passez votre chemin ! Une agence de communication qui n’est pas en mesure de répondre à une demande de devis dans un timing raisonnable, ne sera pas des plus rassurante pour garantir une livraison de votre site Internet dans les temps impartis. Récupérer les contenus Validez le rétroplanning du développement avec l’agence qui travaillera sur votre site. Celle-ci aura besoin des contenus textes, images, vidéos & cie pour pouvoir commencer à créer vos différentes pages. Alors, vous devez les leur fournir assez rapidement afin de ne pas leur imposer des temps de développement et d’intégration trop courts. Priorisez les contenus indispensables au lancement du site avant de vous concentrer sur les pages moins importantes. La personne en charge du projet ne doit pas être la seule à créer les contenus. Comme évoqué précédemment, l’ensemble des parties prenantes sont concernées par les objectifs, et donc par les moyens à mettre en oeuvre pour les atteindre. La création des contenus en fait partie ! Pour parvenir à les obtenir et les fournir au bon moment à l’agence, on repart de l’exemple évoqué plus tôt Délais raisonnables → Relances hebdomadaires → Relances quotidiennes → Livraison Du cahier des charges à la mise en ligne, combien de temps faut-il pour créer un site Internet ? Il existe différentes approches pour créer un site Internet la technique classique et le Growth Driven Design. La méthode présentée dans cet article correspond plus à la seconde, mais peut très bien s’adapter à la version traditionnelle. Site Classique La méthode la plus utilisée consiste à concevoir un site de A à Z pour que, lors de son lancement, il réponde à 100% des objectifs fixés. Généralement, on estime qu’un tel projet prend, en moyenne, un peu plus de 100 jours. Le principal avantage de cette façon de faire est, qu’une fois en ligne, le site intègre toutes les fonctionnalités, options et contenus souhaités. On est presque tenté de ne plus y toucher et c’est d’ailleurs ce qu’il se passe ! Or, un site doit vivre et évoluer régulièrement. Site Growth Driven Design L’approche GDD elle, consiste à mettre en ligne un site Internet abouti et finalisé qui réponde à 80% des objectifs fixés avec 20% des contenus les plus efficaces. Puis, dans les mois qui suivent, on procède à son amélioration continue en se basant sur les statistiques d’utilisation et de visites afin de prioriser, encore une fois, les actions à forte valeur ajoutée pour atteindre les objectifs initialement validés. Deux avantages à cette méthode le site est mis en ligne bien plus rapidement, puisqu’en moyenne, il ne faut que 60 jours pour diffuser sa première version, et le site reste à jour.
Combiende temps d'Internet peut-on avoir avec 10Go de data ? Avec 10Go d'Internet, vous pouvez surfer sur le web pendant un total de 820 heures environ. Vous avez ainsi de quoi rester connecté toute la journée. Mais attention, ce chiffre correspond seulement à la consultation de pages Internet.
Partager toutCOMMENT Technologie Internet Internet sur le téléphone Whatsapp Combien de données consomme un appel WhatsApp WhatsApp est en pleine évolution et offre désormais la possibilité, en plus de la messagerie instantanée sur Internet, de faire des appels en ligne gratuitement. Toutefois, ce n'est pas tout à fait vrai car, même si l'appel ne coûte rien, Whatsapp consomme des données mobiles. Selon le contrat que vous avez passé auprès de votre opérateur de téléphonie mobile, l'appel peut finalement coûter cet article de toutComment, nous voulons dévoilons combien de données consomme un appel WhatsApp, de sorte que vous pourrez évaluer si cela vaut la peine d'utiliser cette méthode d'appels en ligne. Étapes à suivre 1 Pour pouvoir déterminer les mégas que vous consommez en faisant un appel WhatsApp, vous devez d'abord examiner le réseau auquel vous êtes connectée. Vous ne pourrez pas prévoir votre consommation de données si vous ignorez les caractéristiques du réseau utilisé pour l'appel. Pourquoi ? Parce que selon le réseau que vous utilisez, la qualité de l'appel sera différente et donc la consommation de données qualité, on entend la manière dont vous percevez la voix de votre interlocuteur entrecoupée, en retard par rapport au moment de l'émission, très basse, etc.. Avec un réseau de qualité inférieure, votre consommation de données sera normalement plus faible que si vous utilisez une bonne connexion. 2 Par conséquent, compte tenu de cette information, la consommation de données d'un appel WhatsApp varie en fonction du type de réseau qu'utilisent les interlocuteurs. La consommation de données dépend de la plus mauvaise connexion des deux devez également garder à l'esprit que cette application mobile consommera toujours en fonction de la plus mauvaise connexion puisque celle-ci affecte la qualité de l'appel. Par exemple, si vous avez une connexion 4G mais que vous appelez quelqu'un qui a une connexion en 3G, la consommation sera à calculer par rapport au réseau 3G car la qualité de votre conversation dépendra de ce réseau. 3 Cela étant dit, il existe différents facteurs à analyser pour pouvoir déterminer la consommation de données d'un appel Whatsapp. En effet, selon le réseau utilisé 2G, 3G ou 4G, la consommation de données sera différente. Nous vous donnons, dans la suite de l'article, une table des valeurs approximatives qui pourra vous aider à calculer votre consommation en fonction de votre de données pour un appel de2 minutes En utilisant un réseau 2G, vous consommerez un total de 400 Ko 200 Ko/minuteAvec un réseau 3G, vous consommerez 600 Ko 300 Ko/minAvec un réseau 4G, vous consommerez 1 Mo 500 Ko/min 4 Pour pouvoir estimer cette consommation par Whatsapp, une comparaison a également été effectuée avec d'autres services qui offrent déjà la possibilité de passer des appels en ligne gratuitement. Ce sont les services de Facebook Messenger ou Google Hangouts qui, bien avant que WhatsApp ne propose cette option, occupaient le marché des appels en ligne un appel de deux minutes, voilà l'estimation de la consommation de données en fonction de l'application utilisée WhatsApp 400 KoFacebook Messenger 347 KoGoogle Hangouts 570 KoVous pouvez voir que Facebook reste le moins gourmand en données, mais que WhatsApp consomme moins de données que Google Hangouts. En outre, WhatsApp peut également être utilisé à partir d'un ordinateur. Dans cet article de toutComment, nous vous expliquons comment utiliser WhatsApp sur PC. Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Combien de données consomme un appel WhatsApp, nous vous recommandons de consulter la catégorie Internet. Écrire un commentaire Sirine merhej 17/01/2021 Réponse François 16/05/2019 Lors d'une communication appel et/ou vidéo, lequel des 2 interlocuteurs appelant ou appelé consommera ses données ? ou les 2 à la fois ? berbigier magali 30/12/2018 mon ami a watsapp et 2 giga il est en roumanie actuellement il essaye de m appeler en video ca coute contemment est ce le reseau ou bien pas assez de giga merci de votre reponse . Roux 22/08/2018 quelle application consomme moins - Whatsapp ou Viber? Merci Roux 22/08/2018 Pourriez-vous préciser combien va consommer le téléchargement de whatsapp? Merci par avance Vandevelde Svetlana 29/07/2018 Je désire contacter de Belgique ma fille qui vie en Russie , Omsk, en dehors d'une connexion wifi, mais j'ai acquis une carte internet de 10 €. Combien pourrait me contacter la communication ? Merci d' avance , avec mes meilleurs salutations, Svetlana Y. Vandevelde Vandevelde Svetlana 29/07/2018 Je désire contacter ma fille à Omsk, Oblast Omsk , Russie, par WhatsApp sans wifi mais avec une carte internet, combien cela pourrait me Estelle Corre Éditeur chez toutCOMMENT 30/07/2018 Que votre fille soit en Russie ou en France, Whatsapp consommera la même chose. En utilisant un réseau 2G, vous consommerez un total de 400 Ko 200 Ko/minute Avec un réseau 3G, vous consommerez 600 Ko 300 Ko/min Avec un réseau 4G, vous consommerez 1 Mo 500 Ko/min Ceci est valable pour les appels Whatsapp. Les messages consomment moins. En espérant vous avoir éclairée, Bastide 21/03/2017 Correspond très bien à l'info que je cherchais. Merci ! danielle 28/12/2015 Bonjour. Si je prends un forfait de 2h d'appelfrance maroc ou 3Go d'internet -pour le meme prix , quel sera le plus avantageux sachant que je vais utiliser Wattapp pour appeler.. dois je utiliser les 2h ou utiliser les 3Go ? aurais je plus de minutes avec les 3Go d'internet.? Merci de votre réponse. et qui a un tableau de conversion To,Go,Mo,Ko? danyluce Combien de données consomme un appel WhatsApp Combien de données consomme un appel WhatsApp toutCOMMENT Technologie Internet Internet sur le téléphone Whatsapp Combien de données consomme un appel WhatsApp Retour en haut
Vouspouvez compter environ un mois pour la création d’un site vitrine basique. Pour la création d’un site e-commerce classique (100 – 500 pages) il faudra partir sur une base de 100 jours. Vous voulez créer votre

1. Contactez le service clientèle En cas de litige, la première chose à faire est de contacter le service clientèle en exposant votre problème. Ce premier contact peut être fait par téléphone. Si ce premier contact n’a pas été satisfaisant, il est alors conseillé d’envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception. La lettre recommandée doit comporter l’objet de votre demande vos coordonnées votre numéro de client et le numéro de commande. À savoir Lors de vos achats sur internet, si le produit ne vous convient pas, vous pouvez le renvoyer sous 14 jours, grâce au délai de rétractation. Le produit reçu dispose de la garantie légale de conformité. Pour votre livraison, le commerçant est obligé de vous indiquer le délai. S’il ne l’indique pas, il dispose d’un délai de 30 jours pour vous livrer. 2. Rapprochez-vous d'une association de consommateurs Les associations de consommateurs permettent de faire valoir vos droits auprès du commerçant avec lequel vous avez un litige. 3. Sollicitez l'aide de la médiation de la consommation La médiation de la consommation est un service gratuit pour le consommateur. Le médiateur de la consommation intervient toujours avant de saisir la justice. 4. Signalez votre situation à la DGCCRF Vous pouvez vous adresser à la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes DGCCRF et signaler les difficultés rencontrées avec le commerçant. Pour ce faire, vous pouvez utiliser la plateforme en ligne SignalConso, qui permet notamment de signaler un problème rencontré dans le cadre d'un achat sur Internet. Signalez un problème sur la plateforme SignalConso Selon la nature du litige, SignalConso vous permet, une fois votre situation renseignée, de bénéficier de conseils concernant les démarches à entreprendre et d'obtenir des informations relatives à vos droits en tant que consommateur. 5. Saisissez la justice Si après toutes vos démarches, le litige n’est pas résolu, il est alors possible de saisir la justice civile, c’est-à-dire le juge des contentieux de la protection ex juge du tribunal d'instance ou le tribunal judiciaire fusion du tribunal d’instance et du tribunal de grande instance selon le montant du litige. Suivez les conseils de la DGCCRF afin de connaître vos recours en cas de litige à la suite d'un achat en ligne Lire aussi Avis en ligne quelles sont les règles ? Assurance, banque, commerce... 160 modèles de lettres pour régler vos litiges

Priseen main de la conception (1 à 3 semaines) : Une fois que vous avez établi un plan d'action, il est temps de commencer la conception de votre site internet. Dans la plupart des cas, le

Les belles histoires ne se font pas en un jour, y compris celles qui commencent sur les sites de rencontres. Etape après étape, comment se construisent-elles dans le temps ? Explications de Marie Bergström, chargée de recherche en sociologie du couple et de la sexualité à l’Ined Institut national d’études démographiques, fondées sur des sources Meetic France 2019. iStock De l’appli à la réalitéEntre les premiers clics et la rencontre en vrai, il faut compter en moyenneneuf jours, le temps de lier connaissance et de partager une intimité virtuelle. Un délai relativement court mais tout à fait naturel selon la sociologue. Et dans l’air du temps, puisque 70 % des célibataires entre 25 et 34 ans trouvent plus facile de rencontrer quelqu’un grâce à une appli que dans la vraie vie. Aujourd’hui, explique-t-elle, Internet ne donne plus lieu à de longs échanges épistolaires. Il facilite la mise en relation certes, mais on a vite envie et besoin de vérifier à quelle personne on a affaire, de l’entendre, de la regarder bouger, de la voir en chair et en os simplement ».A découvrir également Sites de rencontre ces 3 mensonges les plus pratiqués par leurs utilisateurs… jusqu’à la couetteAlors, lorsque les premières entrevues sont prometteuses, il n’y a qu’un pas qu’ils franchissent allègrement au bout de vingt jourspour se retrouver sous la couette. Ils passent plus rapidement à l’acte, car les données sont claires. Chacun sait pourquoi il est là, où il va, et sait que l’on se plaît mutuellement. Dans ces conditions, on se pose moins de questions », précise-t-elle. Et, de fil en aiguille, les sentiments plus si affinitésAu bout de cinq mois, les premiers je t’aime » sont alors murmurés. Prononcer ces mots est une vraie preuve d’engagement, insiste la sociologue. Avant, il a fallu que cela soit vécu, prouvé dans les faits au quotidien. Attendre a plus de signification. On se donne et c’est lourd de sens ». Un avis appuyé par un chiffre près de 30 % de ces célibataires souhaitent s’engager dans une relation une suite logique, les premières vacances en duo s’imposent quinze jours après. Encore une preuve d’engagement, souligne-t-elle. Les congés sont une pratique conjugale. Une forme de partage, d’échanges, pour signifier la relation et ainsi officialiser le couple. »Les prémices d’une vie à deux ? Sans doute, car sept mois, c’est le temps de réflexion avant de présenter l’élu de son cœur à ses parents. Soumise autrefois à des normes sociales, la présentation officielle est aujourd’hui plus naturelle, moins sacralisée, et n’est plus vécue comme un test. Elle est plus discrète car les couples ont le pouvoir de choisir de le dire et de se présenter comme tels, alors qu’avant ils commençaient souvent leur histoire en public, sous les feux des projecteurs », relate la découvrir également Comment rendre son homme amoureuxLes rites obligésMais la cohabitation H24 » va devoir encore attendre et passer par quelques rites obligés. En premier, au bout de huit mois, ils se laissent un peu de place dans leurs armoires et se confient leurs clefs quinze jours un moment de couple, chacun chez soi, pour se donner un peu de temps, ne pas être dans la précipitation, avec de nouvelles normes qui vont aller crescendo. Je te laisse d’abord investir un peu mon territoire, puis je te donne mes clefs, la porte ouverte à mon intimité. Tu peux entrer sans frapper, ni demander l’autorisation. Symboliquement, l’engagement est fort », explique Marie plus anecdotique, ce clin d’œil à une époque révolue la brosse à dents partageant le même gobelet va patienter neuf mois et demi. Le dentifrice n’a qu’à bien se tenir !Les grandes décisionsLes grandes et ultimes décisions, à commencer par la maison en commun, puis l’arrivée d’un enfant, s’imposent respectivement au bout de deux à trois ans. S’installer ensemble, surtout chez les jeunes gens, c’est, bien sûr, décider de s’engager pour de bon, avec à l’appui un projet familial ». Quant àla reconnaissance officielle devant Monsieur le maire, elle est actée cinq ans après les premiers clics. Selon les données, pour 65 % des femmes et 55 % des hommes, le mariage n’est plus aussi important d’un point de vue sociétal. Il a toujours une symbolique forte, conclut la sociologue. Mais il n’est plus obligatoire pour être en couple et fonder une famille. De plus, se marier représente un investissement financier et exige du temps pour le préparer. Alors nombreux sont ceux qui préfèrent attendre, optent pour un Pacs, quitte à passer la bague au doigt plus tard. Histoire, le moment venu, d’avoir une fête digne de ce nom. »

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Aujourd’hui, je vous retrouve avec un nouvel article dans lequel je vais tenter de vous aider à rédiger votre premier devis en illustration. Je tiens à préciser que dans cet article je vais parler de ce que je connais c’est à dire l’illustration qui englobe plusieurs types de commande éditoriale, corporative, commerciale, etc… mais qui n’a rien à voir avec la bande dessinée ou le livre pour envie d’écrire sur ce sujet depuis longtemps car je trouve que c’est un thème très tabou sur lequel il est difficile de trouver des informations sur le net ou ailleurs. Je me souviens parfaitement, qu’à mes débuts avant d’avoir un agent qui rédige mes devis pour moi, je pataugeais totalement dans la finalement, lorsque que j’ai enfin su comment rédiger un devis et pris connaissance des tarifs appliqués sur le marché, j’ai eu l’impression qu’un tout nouveau monde s’ouvrait à moi !Je me revois il y a 7 ans lorsque j’ai fait signer mon tout premier devis Hourra ! J’avais enfin trouvé mon tout premier client, et dans ma tête, cela faisait de moi officiellement une ILLUSTRATRICE ! Champagne !Je venais de quitter mon travail dans le dessin animé 3d quelques mois plus tôt, et depuis je passais énormément de temps à dessiner dans le but de trouver mon style et de mettre en ligne mon tout premier portfolio. Tous ces efforts allaient enfin être récompensés par l’aboutissement d’une première commande dont le montant s’élevait à… Tadam ! 97,50 ce moment là, je n’avais aucune idée des prix du marché ni des différentes charges que j’allais bientôt devoir payer en tant que freelance et qui allaient vite faire fondre mes 97,50 euros comme neige au soleil. Je ne connaissais rien des tarifs en vigueur et je me sentais complètement démunie. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir tenté de trouver des informations à ce sujet sur le net et même acheté des livres en espérant y trouver des réponses claires et surtout simples à appliquer. Mais tout ce que j’y trouvais me semblait vague, compliqué et surtout pas adapté à l’illustration. La plupart du temps on trouvait des formules du type Taux horaire × Nombre d’heures + cession de droits = Tarif de la prestationD’accord… Mais comment je peux appliquer ce calcul si ma technique d’illustration est fastidieuse et qu’elle me prend beaucoup de temps ? Parce qu’en gros le problème avec cette formule, c’est qu’elle récompense la lenteur…Tenez, par exemple prenez deux illustrateurs qui ont deux styles totalement opposés et un même taux horaire de 80 euros/heure. Ces deux illustrateurs reçoivent la même commande d’illustration pour un portrait sur 1/2 page dans magazine – Le premier illustrateur qui est plutôt rapide passe 4h soit 80 x 4 = 320 euros– Le deuxième illustrateur passe 12 h soit 960 eurosBien entendu, ce n’est pas parce que le deuxième illustrateur est plus lent qu’il est moins bon que le premier, il a juste un style différent qui lui demande plus de temps d’éxécution. Mais est-ce que vous pensez que le magazine en question serait prêt à dépenser 960 euros pour une illustration soit le triple du tarif du premier illustrateur pour la même commande ? dans cet exemple je ne parle pas des droits d’utilisation car pour les illustrations éditoriales, les droits sont souvent inclus dans le prix total. La réponse est non bien sûr car les magazines ont un budget à respecter et qu’ils ont dans 90% des cas une idée précise du prix qu’ils sont prêts à investir pour une mes débuts, je dessinais en pointillé alors autant vous dire que je ne comptais pas mes heures et que je me trouvais plutôt dans la situation du deuxième illustrateur. Et malgré mon manque d’expérience, je voyais bien que dans mon cas, la formule citée plus haut ne pouvait pas s’appliquer. Ceci dit, je ne la critique pas, mais je la pense plus adaptée aux graphistes et aux webdesigners. Mais pour les illustrateurs, les choses fonctionnent comment rédiger un devis adapté aux prix du marché ? Combien vendre ses illustrations ?Dans cet article je vais tenter de répondre à ces questions mais en plus, je vais vous donner une série de 5 étapes faciles à suivre qui vous guidera lors de la rédaction de votre devis, du début de la discussion avec votre client jusqu’à la signature de votre devis. Mais avant de commencer, vous devez savoir que le prix d’une illustration est fixée comme ceci Le coût de la production est assez facile à estimer car il est évalué en fonction du format à l’étape 4 de cet article, je vous donne quelques exemples. En ce qui concerne les droits d’utilisation, le tout est de comprendre que vous ne vendez pas une œuvre d’art ou un objet quelconque, par conséquent ce n’est pas la qualité de votre illustration qui est évaluée, mais le droit de la reproduire et de la diffuser selon des conditions pré-établies dans votre devis. De ce fait, plus le client exige de droits et d’utilisation, plus votre estimation sera élevée. C’est aussi simple que cela. Et ce sont justement ces droits qui sont les plus difficiles à y voir un peu plus clair, il faut savoir que l’illustration de mode se divise en 4 types de licence selon lesquels les droits d’utilisation seront plus ou moins Illustration éditoriale Magazines, journaux, etc… droits d’utilisation souvent inclus dans le prix global2. Illustrations corporatives Présentation de projet en interne, pas d’usage commercial droits d’utilisation variables3. Illustration d’image de marque Logo, illustration pour un packaging, etc…4. Illustration publicitaire Campagne publicitaire les droits d’utilisation peuvent exploser, il n’y a pas de limite !C’est important dans un premier temps de bien identifier le type de licence auquel vous avez à faire, et vous verrez qu’avec le temps et l’habitude, cela vous donnera rapidement une fourchette globale de tarifs pour les droits d’utilisation à appliquer pour votre voyons les deux cas de figure que vous pouvez rencontrer lorsqu’un client fait appel à vous A – Le client est venu vers vous avec une idée très précise du prix qu’il est prêt à mettre et vous l’annonce directement. Dans ce cas là, le plus gros du travail est fait, et même si vous pouvez essayer de négocier un peu, le prix final ne devrait pas être beaucoup plus élevé que le montant proposé initialement. L’avantage c’est que vous allez gagner du temps, et qu’en plus à la longue, ce genre de demande vous permettra d’évaluer les prix du marché et de savoir si un client essaie de vous flouer ou – Le client vous demande de lui donner une estimation de prix Dans ce cas, c’est plus compliqué car vous n’êtes pas en position de force. Votre client a forcément une petite idée du prix qu’il est prêt à mettre, mais il veut le garder pour lui dans le cas où vous lui proposeriez une offre plus basse. Imaginez qu’un client vous contacte pour une illustration qu’il estime à 2000 euros et que vous lui proposiez un devis d’un montant de 300 euros seulement, il aurait gagné 1700 euros donc ça ne lui coûte rien d’essayer, c’est humain… Mais pour vous c’est de l’argent perdu que vous auriez pû gagner. Et c’est pour cela qu’il est important de poser les bonnes questions à votre client afin d’avoir toutes les cartes en votre possession pour faire votre commencez à y voir un peu plus clair ? j’espère ! 🙂 Maintenant nous allons voir ensemble les étapes à suivre pour évaluer votre projet et rédiger votre premier devis. Vous trouverez également le guide qui vous aidera à suivre chacune de ces étapes + un devis type + 4 exemples de devis vous êtes déjà abonnée à la librairie, cliquez-ici pour y accéder et télécharger votre guide, sinon cliquez sur la bannière 1 le briefAvant de commencer toute discussion, vous devez récolter le maximum d’informations sur le travail demandé auprès de votre client. C’est important afin de ne pas avoir de mauvaises surprises et d’être obligée de revenir plusieurs fois poser des questions, ça ne fait pas très pro 🙂 . Le but est d’obtenir tous les renseignements nécessaires pour rédiger votre devis et d’éviter d’oublier des détails importants que vous ne pourrez plus facturer une fois le devis établi et signé. Donc n’hésitez pas à poser le maximum de questions et de relire plusieurs fois ce que votre client vous Il y a quelques jours, une cliente m’a commandé une illustration pour son lookbook de robes. Elle m’a expliquait qu’elle souhaitait seulement les droits pour une utilisation numérique pour une future campagne de crowdfunding. À priori je pensais qu’elle comptait uniquement diffuser mon illustration sur le web, seulement, en la questionnant davantage, j’ai compris qu’elle souhaitait également les droits pour imprimer mon illustration sur des cartes postales toujours pour sa campagne de crowdfunding.Vous vous souvenez de mon kit pratique de l’illustratrice organisée dont je vous parlais ici, il contient une fiche Gestion de commandes’ qui pourrait vous être utile pour noter les informations de votre Description du projet . Brief global Dans quel but votre client a besoin de votre illustration ? ex pour un catalogue, une campagne publicitaire, un magazine, etc…. Brief plus détaillé Contenu détaillé de l’illustration, ajoutez le plus de précisions possibles. Style Demandez à votre client de vous envoyer des références de votre portfolio qui lui ont plû. Cela vous aidera à déterminer la complexité de l’illustration à produire et le temps que vous allez y Spécificités techniques . Format maximum d’utilisation A4, A3, 1/4 page, etc…. Résolution 300 dpi, 72 dpi, etc…3. Matériel fourni par votre client Photos, références etc… demandez lui tout ce qui peut vous être utile pour votre illustration4. Date butoire Si votre client s’avère être pressé et qu’il exige de vous beaucoup de travail en peu de temps, vous devrez envisager sérieusement d’augmenter vos Budget Comme vu plus haut, parfois votre client vous annoncera de but en blanc son budget, et parfois non. Avant de vous lancer dans la rédaction fastidieuse d’un devis, essayez de le sonder au mieux pour connaître ses attentes de prix à la louche. Peut-être qu’il ne saura pas vous répondre mais au moins vous aurez 2 – la notoriété de votre clientEt oui, on n’applique pas les même tarifs pour une jeune créatrice qui vient de se lancer qu’à Dior ou Ladurée. Je vous vois venir Mais alors il faut fixer les prix à la tête du client ?’ Pas vraiment, mais le principe veut que si vous travaillez pour une plus grande entreprise, vous devriez la facturer à l’inverse, il est plus complaisant d’annoncer des prix plus doux à une petite entreprise. Je ne vous dis pas de pratiquer un grand écart de prix, mais d’envisager de moduler judicieusement vos 3 – l’utilisation de votre illustrationC’est l’étape la plus importante ! Comme vu plus haut, les droits d’utilisation peuvent faire exploser votre devis. N’hésitez pas à demander le maximum de détails à ce sujet à votre client et à bien les noter dans votre devis. Ils varient en fonction de la diffusion de votre illustration et il doivent avoir une date de aspect m’était très difficile à comprendre au départ, et du coup j’avais du mal à l’expliquer à mes clients qu’ils ne pouvaient pas se servir de mon illustration comme bon leur semblait. Le plus simple pour bien comprendre, c’est d’imaginer ces droits d’utilisation comme une location Le client loue’ votre illustration selon des critères établis dans votre devis, et lorsque ces droits sont terminés, vous avez parfaitement le droit de ré-utiliser cette illustration pour un autre client !Critères pour évaluer les droits de votre illustration 1. Licence corporative, commerciale, éditoriale je vous parle des différentes licences un peu plus haut2. Supports magazine, application, web, catalogue etc…3. Territoire France, Europe, Monde pour le net, essayez de déterminer l’audience du site internet, est-elle française, mondiale ?….4. Durée 1 mois, 1 an, etc… si votre client exige des droits infinis, faites-lui comprendre que la note sera plus saléeÉtape 4 – évaluation rapide des coûtsÀ ce stade, vous devriez avoir pas mal d’informations pour commencer à rédiger votre devis. Mais avant de le mettre en page et afin d’éviter d’y passer trop de temps inutilement, je vous conseille d’envoyer votre estimation en 3 lignes à votre client, du style Production 1 illustration A4 / 450 €2 x illustrations A3 1000 € l’illustration / 2000 €Droits d’utilisation Support A Site web / 1 an / 1000 €Support B catalogue / 1 mois / 300 €Total 3750 €Si votre client vous a donné son budget dès le départ et qu’il vous parait raisonnable, vous pourrez établir votre devis en fonction en répartissant équitablement les de demande Un client vous contacte pour une illustration A3 de promotion pour la Saint Valentin. Cette illustration sera diffusée sur son site internet, réseaux sociaux, packaging et dossier de presse pour une durée d’un an dans le monde entier. Il vous annonce que pour tout cela il a un budget total de 10000 euros à prendre ou à laisser. Voici un exemple d’estimation rapide Production 1 illustration A3 / 1500 €Droits d’utilisation Support A Web / 1 an / Monde / 2000 €Support B Packaging / 1 an / Monde / 5000 €Support C Dossier de presse / 1 an / Monde / 1500 €Total 10000 €Dans le cas où vous n’avez aucune indication de budget même après avoir essayé de soutirer des informations à votre client !, c’est plus compliqué, car rien ne vous permet de savoir si le client connait les prix du marché. Peut-être s’attend-t-il à ce que vous dessiniez 10 illustrations pour lui pour un budget de 150 euros ça m’est déjà arrivé. Dans ce cas la petite estimation rapide en 3 lignes par mail prend tout son sens et vous et votre client gagneront un temps précieux ! Si le client a passé tous les tests je rigole vous allez pouvoir sérieusement commencer votre estimation. En ce qui concerne le prix de production, pour vous guider voici quelques exemples rééls de prix que j’ai pû constater Exemples prix de production Illustration A3 1000 eurosIllustration 2000 px x 2000 px 400 eurosIllustration A4 400 eurosIllustration A4 300 eurosIllustration A4 430 eurosIllustration A4 750 eurosIllustration A4 pour une commande de 15 illustrations 250 eurosIllustration 1/2 page 325 eurosIllustration 1/4 page pour une commande de 40 illustrations 120 eurosIllustration 10 x 12 cm 350 eurosIllustration pleine page 600 eurosSi pour la production les prix sont plus ou moins constants, en revanche, pour les droits d’utilisation, chaque projet est différent et il n’y a pas de recette magique malheureusement. Ce n’est qu’avec le temps que vous vous arriverez à vous familiariser avec ces tarifs en vous basant sur vos anciens projets. Dans mon petit guide, je vous donne quelques exemples réels de devis incluant les droits d’utilisation qui pourront vous aider à rédiger vos propres 5 – négociation et rédaction du devis finalLe plus gros du travail est fait ! Maintenant votre client va peut-être revenir vers vous pour vous demander de baisser votre prix, c’est le moment d’entrer dans la phase des négociations. Si votre client vous demande de baisser votre prix, la clef est de proposer vos conditions 10 illustrations au lieu de 15, droits d’utilisation d’1 an au lieu de 2, etc… À vous de voir en fonction de la baisse de prix demandée par votre client et de ce qui vous semble raisonnable. Surtout, restez aimable, flexible et courtoise, le client est roi ne l’oubliez pas. Envisagez également de baisser votre prix de production par illustration si le client vous fait une grosse commande, mais gardez à l’esprit qu’en dessous de 150 euros / illustration, le jeu n’en vaut plus la chandelle et vous travaillerez à allez maintenant pouvoir rédiger au propre votre devis dans le logiciel de votre choix. Personnellement j’utilise Illustrator, mais je ne suis pas un bon exemple 🙂 . Je vous conseille Indesign beaucoup plus simple pour la mise en page pour créer de jolis devis qui enverront une image professionnelle et créative à vos clients. Commencez par reprendre toutes les informations obtenues à l’étape 1 1. Description du projet, 2. Spécificités techniques, 3. Matériel fourni, etc…. Ne lésinez pas sur les détails, vous pouvez même faire directement des copié-collé à partir des mails de votre client pour reprendre exactement ses mots et ne pas risquer de faire une mauvaise interprétation. Essayez d’être le plus transparent possible afin de mettre en confiance votre client et que celui-ci comprenne au mieux et accepte vos n’oubliez pas d’y rajouter ces précisions importantes Votre processus Expliquez en 2 lignes comment va se dérouler le projet ex envoi du 1er sketch + 1 à 2 modications incluses + envoi illustrations finale.Modifications Indiquez le nombre de modifications incluses dans votre tarif et mentionnez le fait que que toute modification supplémentaire sera Mentionnez que toute utilisation sur tout autre support fera l’objet d’un nouveau devis est prêt ? Bien. Enregistrez-le en pdf non modifiable et demandez à votre client de vous le renvoyer signé. Dans votre mail, soyez aimable et montrez votre enthousiasme ! Et surtout, ne commencez jamais un projet tant que vous n’avez pas reçu votre devis signé ! Vous pouvez si vous le souhaitez demander un acompte de 50% de la somme à la réception du devis. Personnellement je n’en demande pas car je pars du principe que si l’échange avec mon client a été bon jusque là et qu’il n’a pas bondi lorsque je lui ai envoyé ma première estimation, alors je peux lui faire confiance. UPDATE Désormais je demande systématiquement un acompte de 50% à la signature du devis pour me protéger des mauvais mot sur les projets annulés Il se peut que lors du processus, votre client abandonne le projet ou ne vous donne tout simplement plus aucune nouvelle. Ne vous découragez pas, même si ce n’est pas facile et très frustrant, essayez de ne pas prendre les choses trop à coeur. Dans ce métier, il ne faut pas être trop susceptible car ce genre de choses arrivent très souvent malheureusement alors il vaut mieux s’y habituer. Personnellement j’ai pour habitude de ne jamais parler de projet même les plus fous à mes proches tant que le devis n’est pas signé ! C’est ma manière de ne pas trop m’investir émotionnellement et de ne pas être trop déçue dans le cas ou le projet n’aboutirait pas. Et c’est aussi un peu par superstition j’avoue. 🙂Et les royalties alors ? Si vous travailliez pour l’édition livre ou papeterie, vous serez la plupart du temps payée en royalties. C’est à dire que vous toucherez un pourcentage sur les ventes. L’éditeur vous envoie alors tous les trimestres un récapitulatif sous forme de tableau de vos ventes, et vous demande de lui envoyer votre facture. Personnellement avec le temps je me suis rendue compte que c’était quelque chose de très compliqué à gérer et surtout à suivre. À moins d’être super assidue, vous pouvez vite perdre le fil. C’est pourquoi je vous conseille d’essayer d’obtenir une avance sur les royalties’ non remboursable même si le tirage n’atteint jamais le seuil requis pour le pourcentage sur les finir, je souhaitais vous dire un mot sur le travail gratuit Il n’est pas rare que les marques fassent appel à plusieurs illustrateurs en même temps pour faire ce qu’ils appellent un test’ gratuit. Ou pire, il peut arriver qu’un client se présente à vous avec un budget ridicule ou même pas du tout de budget ! avec pour seul argument que travailler pour lui vous fera de la pub et que vous pourrez le mettre dans votre portfolio. Refusez catégoriquement !L’illustration est un boulot comme un autre et devrait être considéré comme tel. Personnellement, j’ai toujours refuser de travailler gratuitement par principe même pour de très grandes marques et je vous conseille fortement d’en faire que tout travail mérite salaire et qu’accepter ce genre de requête ne fait qu’encourager les marques à continuer dans ce sens. De plus, le fait d’accepter de travailler pour 3 fois rien peut sérieusement affecter à la longue vos tarifs et votre réputation, mais également ceux des autres illustrateurs !Je ne m’étendrai pas sur ce sujet ici car sinon cet article n’aura jamais de fin ! 🙂, mais si vous ne connaissez pas, je vous conseille d’aller jeter un œil au site Mon maçon était illustrateur’ qui met en images de façon humoristiques les déboires des illustrateurs face aux voilà, j’espère que ces étapes vous aideront à rédiger judicieusement votre premier devis ! Et désolée si cet article n’en fini plus, je voulais vraiment tout vous expliquer sans rien oublier ! Laissez un commentaire ci-dessous pour me dire à quelle étape vous êtes ou pour poser vos questions. C’est à vous de jouer maintenant !Pour continuer la lecture, je vous conseille de jeter un œil à cet article Comment débuter dans l’illustration de mode ?Ma formation en ligne à destination des illustrateurs, Illustration, l’Atelier ré-ouvrira bientôt ses portes. Pour rejoindre la liste d’attente, rendez-vous ici.

Bonjourjai fait ma demande auprès de la CAF pour toucher le RSA le 29 novembre 2018 je viens de recevoir mon mot de passe de la CAF mais pas encore de courrier de la CAF pour mon numéro d'allocataire je voudrais savoir combien de temps ça prend avant de le recevoirmerci à
Ok, mais combien ça coûte ? ». Quand on parle de refonte de site web, la question du coût est la question structurante. Disons-le tout de suite la réponse n’est pas simple, car non seulement il y a beaucoup de variables qui entrent en jeu dans un projet de refonte, mais en plus le coût des technologies ne cesse de changer. Dans ce guide ultra-complet, nous allons aborder tous les éléments à prendre en compte si vous avez un projet de refonte de votre site web. Si vous voulez savoir quels sont les facteurs qui influencent le coût d’une refonte, si le jeu en vaut la chandelle, nous sommes sûrs que cet articles vous intéressera ! Sommaire Par où vous devez commencer votre activité, vos ambitions, votre budget S’agit-il vraiment d’une refonte au sens précis du terme ? Calculer la rentabilité / le ROI de votre projet de refonte avant de vous lancer Pourquoi réaliser la refonte d’un site web ? Quels bénéfices ? 4 défis associés à la refonte d’un site web 3 éléments qui conduisent à rater la refonte de son site web 3 options réaliser la refonte de son site web soi-même, avec un freelance ou avec une agence web Les principaux éléments contenus dans un devis de refonte de site web Par où vous devez commencer votre activité, vos ambitions, votre budget Les coûts associés à la refonte d’un site web dépendent de la nature de votre activité et du rôle joué par votre site internet dans la réussite de celle-ci. Si vous êtes une société de services qui conquiert ses clients et délivre ses clients principalement offline, votre site web ne joue pas un rôle central, il s’agit probablement d’un site vitrine qui présente votre activité et vos savoir-faire. Son objectif est limité et consiste surtout à proposer à vos clients potentiels un formulaire de contact. Les besoins en matière de personnalisation du design sont minimaux. Une solution clé-en-main » qui propose quelques options de personnalisation fera amplement l’affaire. Dans ce cas précis, le coût de la refonte sera assez faible. En revanche, si le site web joue un rôle très important dans la conquête client et la fourniture de vos services, si par exemple vous vendez des produits dessus e-commerce ou des services SaaS par exemple, si vos besoins en matière de design et de fonctionnalités sont complexes, le projet de refonte de votre site web aura une toute autre ampleur. 4 défis associés à la refonte d’un site web Vous devez intégrer ces 4 défis dans votre business case. Cela vous permettra de construire un projet plus réaliste, plus solide et d’anticiper les risques associés à la refonte d’un site web. 1 Changer de webmaster ? Le webmaster est la personne qui gère la maintenance d’un site web. Elle peut être internalisé intégré dans l’entreprise ou externalisé agence ou freelance. Parfois, le webmaster est la personne qui a développé le site web. Si c’est la cas, est-ce qu’elle est en mesure de s’occuper de la refonte du site web ? Prenez le temps d’étudier cette question et de formuler une réponse objective. 2 La question du coût Globalement, les coûts ont beaucoup baissé au cours de ces dernières années, mais cela ne veut pas dire pour autant qu’une refonte ne coûte pas cher. Si votre ancien site web était complexe d’un point de vue technique, il y aura surement pas mal de boulot au niveau du codage. Ce n’est pas parce qu’il y a eu de gros progrès sur le terrain des technologies que tout est devenu facile. Le choix et l’implémentation des nouvelles technologies, plus puissantes et complexes que par le passé, réclament du temps. 3 La migration des données existantes Si vous avez une boutique en ligne ou une base de données avec des produits, des documents, des membres, des clients, etc. l’un des enjeux majeurs est de réussir la migrations de vos données sur votre nouveau site web. Même s’il existe plusieurs méthodes pour migrer proprement les données d’un système à l’autre, anticipez cette étape et préparez-vous à réaliser quelques actions manuelles au niveau du nettoyage des données notamment. Si vous externalisez la refonte de votre site web, assurez-vous que votre agence ou que votre freelance a bien intégré cet enjeu clé avant de commencer le travail. 4 Le maintien des positions SEO Acquérir de bonnes positions dans les résultats de recherche est un travail de très longue haleine, qui prend beaucoup de temps et sollicite beaucoup d’énergie. Avec le temps, votre ancien site a acquis une certaines autorité » aux yeux des moteurs de recherche. Vous avez obtenu de nombreux backlinks. Il serait dommage de perdre vos positions SEO laborieusement acquises à cause de la refonte du site. Ce qui suppose de bien anticiper cet aspect des choses et de bien faire les redirections 301 nécessaires pour associer les pages de votre nouveau site aux pages de votre ancien site. Découvrez 5 conseils pour optimiser la refonte de votre site internet. 3 éléments qui conduisent à rater la refonte de son site web Pour alimenter votre réflexion, il faut insister sur ce point la refonte d’un site web peut être ratée. C’est en particulier le cas si Votre nouveau site web ne reflète pas correctement votre image de marque. On pense ici particulièrement aux éléments de design. Le rôle d’un site web est de crédibiliser une activité. Si vous hésitez à donner l’URL de votre site web aux personnes qui vous demandent le nom de votre site web, c’est que vous estimez que votre site ne représente pas fidèlement votre marque…et donc qu’il ne remplit pas son rôle. Si c’est le cas, mieux vaudrait ne pas avoir de site web tout court. Vous devez créer un site dont vous êtes fier. Votre nouveau site web doit être mobile responsive ». Aujourd’hui, plus de la moitié des navigations s’effectuent via un smartphone ou une tablette. Il est absolument indispensable que les pages de votre site web s’affichent correctement sur ces supports. Ce qui suppose d’opter pour un template de site responsive design ». Si vous ne prenez pas en compte cet élément, il y a des chances que la refonte de votre site web se transforme en échec. Vous devez prêter une grande attention aux éléments jouant un rôle dans la génération de leads formulaire de contact, tchat, qualité des contenus articles de blog, etc.. Ces éléments jouent un rôle important dans la performance de votre site web, dans sa capacité à transformer les visiteurs en leads ou en clients. Si vous ne prenez pas le temps d’optimiser vos outils de Lead Generation, il y a des chances que le ROI de la refonte du site ne soit pas au rendez-vous… Découvrez notre guide des méthodologies de création d’un site web. 3 options réaliser la refonte de son site web soi-même, avec un freelance ou avec une agence web Le coût de la refonte d’un site web dépend beaucoup de l’option choisie, c’est-à-dire de la réponse à la question Qui s’en occupe ? ». Il y a essentiellement 3 réponses possibles vous-même, un freelance ou une agence web. Réaliser la refonte de son site web soi-même à partir de 70 € par mois C’est évidemment l’option la plus abordable financièrement. Mais c’est une option très coûteuse en temps, très chronophage. Elle suppose un gros investissement personnel. D’ailleurs, on peut énoncer une règle plus générale moins vous dépenserez d’argent, plus vous devrez consacrer de temps et d’énergie de votre côté. Aujourd’hui, des solutions comme Weebly, Wix ou Shopify permettent à n’importe qui de créer son site web tout seul et sans compétences techniques. Ces outils ont contribué à démocratiser la création de sites web. Ils proposent des tutoriels souvent très bien fichus et un support globalement correct tout dépend de la formule que vous choisissez. Aujourd’hui, on peut le dire sans vraiment exagérer, créer un site web est devenu un jeu d’enfant. Le point négatif de ces solutions réside dans les possibilités assez limitées en matière de personnalisation. Vous devez être prêt à faire quelques sacrifices. Si vous avez des exigences très pointues et inflexibles concernant le design et les fonctionnalités de votre site web, cette option n’est pas la mieux adaptée. Si cette option vous intéresse, nous vous invitons à découvrir notre comparatif des logiciels de création de sites web plus de 55 logiciels référencés. Découvrez 50 outils à connaitre autour de la création de site web. Réaliser la refonte de son site web avec un freelance entre 2 000 et 7 000 euros Les freelances disposent d’une expertise et de savoir-faire qui permettront de vous offrir un site web avec un haut niveau de design et de personnalisation. En général, les freelances partent d’un template et le perssonnalisent en fonction de vos besoins et de vos attentes. Ils apportent aussi un regard extérieur, peuvent faire des suggestions, discuter vos objectifs, vous aider dans la formalisation de votre projet. Ils utilisent des éditeurs de site CMS simples d’utilisation pour que vous puissiez derrière gérer vous-même votre site par exemple WordPress. Mais quand on fait appel à un freelance, on fait appel à un freelance, à une seule personne. Une personne ne peut pas tout savoir, même si elle est très douée. Les champs de compétences d’un freelance sont limités. Pour réussir la refonte d’un site web, pas mal de compétences sont requises, en matière de programmation, de SEO, de design et d’UX, etc. Les freelances recrutés pour créer un site ou réaliser une refonte sont surtout des webdesigners, pas toujours experts en SEO… Autre inconvénient si vous avez recours à un freelance, vous devez déjà avoir une idée précise de ce que vous voulez, de votre stratégie marketing notamment. Le freelance ne vous sera pas d’un grand-secours la plupart du temps si vous voulez être accompagné dans la mise en oeuvre des bonnes pratiques de Lead Generation…Si vous voulez opter pour cette solution, nous vous conseillons d’utiliser les plateformes de freelances pour trouver le bon professionnel, en particulier Malt ex-Hopwork, qui est l’une des références en France. Réaliser la refonte de son site web avec une agence web entre 4 000 et 30 000 euros Les agences web est la meilleure solution si vous souhaitez un site web ultra-personnalisé sur le plan du design et des fonctionnalités. Une agence est formée d’une équipe qui réunit tous les savoir-faire nécessaires pour la refonte d’un site web, elle emploie des experts dans chaque domaine de compétences UX design, content marketing, SEO, programmation, AdWords, etc. En faisant appel à une agence web, plusieurs professionnels vont être impliqués dans la refonte de votre site web, ce qui démultiplie la créativité. Comme chacun sait, on est plus intelligent à plusieurs que tout seul. Une agence, contrairement à un freelance, répond à TOUS les besoins. Les agences disposent par ailleurs d’une expérience souvent plus importante que les freelances. Pour la mesurer, nous vous conseillons d’ailleurs de jeter un œil aux références, voire aux case studies, présentés sur le site de l’agence. Les agences sont gages de sérieux et de professionnalisme même s’il existe quelques exceptions comme nous en parlions dans notre article Zoom sur les arnaques et pratiques douteuses de certaines agences web . Un autre point important c’est qu’en faisant appel à une agence, vous êtes accompagné dans la formalisation et la structuration de votre projet de refonte, et pas seulement au niveau de la réalisation. Faire appel à une agence web a un prix, certes, pouvant facilement se composer de 5 chiffres, mais si vous voulez une prestation de haute qualité et que vous avez un besoin complexe, c’est la solution la plus pertinente. Découvrez comment choisir son prestataire web [Guide complet]. Les principaux éléments contenus dans un devis de refonte de site web Dans cette section, nous allons décomposer les différents coûts d’un projet de refonte de site internet. Quels sont les principales lignes du devis ? Le nom de domaine – entre 15 et 200 euros par an Le nom de domaine, c’est l’adresse de votre site web. C’est le nom de votre site tel qu’il apparaît dans l’URL. Pour lire les articles de La Fabrique du Net par exemple, vous devez aller sur ». Le choix du nom de domaine est important pour crédibiliser votre entreprise. Si vous faites la refonte du site vous-même et que vous utilisez un CMS comme Wix, nous vous conseillons d’éviter les sous-domaines de type cela ne fait pas très pro. Un nom de domaine, ça s’achète, auprès d’un hébergeur ou d’un registrar. Vous payez un forfait annuel pour pouvoir l’utiliser. Le montant de ce forfait est variable, il dépend en particulier de la popularité du domaine. Découvrez comment choisir un nom de domaine efficace pour votre site web en 7 étapes. L’hébergement – entre 50 et 300 euros par an Votre site web doit être hébergé sur un serveur pour pouvoir être accessible par les internautes. Si le nom de domaine est l’adresse de votre site web, l’hébergement est en quelque sorte la maison, le lieu…d’hébergement de votre site. L’hébergement est un coût incompressible, sauf si vous utilisez une solution comme Wix ou Shopify. Dans ce cas, l’hébergement est offert, ou plutôt inclus dans votre abonnement mensuel. Le coût de l’hébergement dépend de plusieurs paramètres, comme la qualité de service, le type d’hébergement serveur mutualisé, dédié, virtuel…, de la qualité du support et de la maintenance… Ne cherchez pas à aller forcément au moins cher, un bon hébergement vous permettra d’avoir un site plus rapide. Or, on sait que la rapidité de chargement des pages a beaucoup d’influence sur l’expérience utilisateur et le référencement naturel. Découvrez notre comparatif complet des offres d’hébergement web. Un exemple d’hébergeur WP Engine Le contenu – entre 80 et 300 euros par page ou par article Un site, c’est principalement du contenu. Ce contenu, il faut le créer. La qualité des contenus peut faire la réussite ou l’échec d’un site web. La quantité mais aussi et surtout la qualité des contenus jouent un rôle de premier plan pour générer du trafic sur le site et convertir un maximum de visiteurs. Un site pauvre en contenus n’a aucune chance de présenter de bonnes performances. Vous devez réfléchir aux contenus de votre site web quel ton employer ? quels sujets traiter ? quels messages transmettre aux internautes ? Surtout, vous devez déterminer ce que vous voulez que vos visiteurs fassent à partir de votre site – cela déterminera une bonne partie de votre stratégie de contenus. Si vous avez besoin de beaucoup de contenus, il peut être pertinent d’externaliser la production à un professionnel. Comptez entre 80 euros et 300 euros par page ou article. Le coût dépend de la complexité des contenus à produire, du niveau de qualité, du nombre de mots, des compétences et de l’expérience du rédacteur, etc. Découvrez notre panorama et comparatif des tarifs moyens des rédacteurs web. En guise d’alternative, vous pouvez faire appel à une professionnel qui vous aidera à définir et qualifier les contenus à produire, puis confier la rédaction à vos équipes internes. Qui dit contenus dit SEO. Vous devez aussi, à cette étape, définir les mots-clés principaux de votre site web, ceux que vous voulez travailler » dans vos contenus. Si vous n’avez aucunes compétences en SEO, le recours à un professionnel est recommandé. Découvrez comment cibler les mots clés à utiliser sur son site web. Le SEO – entre 200 et +1 500 euros par mois Le SEO est essentiel pour que vos clients cibles vous trouvent facilement sur les moteurs de recherche comme Google. Le SEO est l’essentiel des techniques et pratiques permettant d’améliorer le référencement des pages de votre site web sur le web. Le SEO est l’instrument de votre visibilité sur internet. Comme nous le disions à l’instant, nous vous conseillons de faire appel à un professionnel freelance ou agence si vous n’avez pas les compétences en interne. Les prestations en SEO incluent beaucoup de choses la recherche de mots-clés, l’optimisation des contenus, la création de contenus, la génération de backlinks, les optimisations techniques CDN, amélioration de la vitesse du site…… Ce qui explique la très grande variabilité des prix. Le tarif d’un site vitrine étant différent de celui d’un site ecommerce. Si vos visiteurs proviennent principalement des moteurs de recherche, nous vous conseillons de vraiment investir au départ sur cet item. Mais n’oubliez pas que le SEO est un travail d’amélioration continue. Pour en savoir plus sur le sujet, découvrez tous nos articles sur le SEO. Le design du site ou la création du thème – entre 1 500 euros et 20 000 euros investissement initial On ne vous apprendra rien en vous disant que la refonte d’un site web, c’est aussi un travail de design. L’objectif de ce travail est de rendre votre site web esthétique, cohérent d’un point de vue visuel, mais aussi ergonomique, c’est-à-dire simple à comprendre et à utiliser. Le design, dans le web, n’est jamais séparable de l »UX ». Votre site doit être beau, mais aussi et surtout plaisant à utiliser. Le coût du design dépend de ce à quoi vous voulez que votre site web ressemble, de vos exigences. Plus le design sera sophistiqué et travaillé, plus cela coûtera cher. Logique. Pour certains sites, par exemple ceux créés sous WordPress, créer un design web est aussi simple que d’appliquer un nouveau thème à votre site web et de réaliser quelques personnalisations. Mais dans ce type de cas, votre site n’aura pas un design unique et manquera de certaines fonctionnalités. Le seul avantage de cette méthode le coût, beaucoup plus faible que de partir from scratch. Pour résumer si vous voulez un site web au design unique, cela a un coût. Découvrez 20+ exemples de chartes graphiques web très réussis. Les éléments animés ou multimedia – entre 500 et 15 000 euros Ces éléments de design permettent de donner plus de vie à votre site web, de le rendre plus interactif, plus engageant. Le prix de l’ajout de ce type d’éléments varie beaucoup et dépend de ce que vous voulez faire, des fonctionnalités à implémenter…Une petite animation vous coûtera quelques centaines d’euros. La transformation de votre site web en interface 100% interactive ou le développement d’outils avancés vous coûtera plus de 10 000 euros si vous partez de rien. Les fonctionnalités e-commerce – entre 800 et 8000 euros Vous devez envisager ce poste de coûts si vous souhaitez vendre des produits ou des services sur votre site. Les fonctionnalités e-commerce tunnel de paiement, options de paiement, options de livraison, relance de paniers… sont en général gratuites, mais elles doivent être configurées, implémentées, testées, ajustées…Et cela demande du travail. Comptez entre 800 et 8 000 euros pour l’investissement initial. Découvrez combien coûte la création d’un site e-commerce. Le système de gestion des contenus CMS – entre 0 et 15 000 euros Le CMS est le nom donné aux interfaces qui permettent de gérer, d’organiser et d’éditer le contenu de son site web sans avoir besoin de coder. WordPress est un exemple de CMS bien connu. Les CMS permettent d’avoir le contrôle de son site web même lorsqu’on ne maîtrise pas la programmation. Certains CMS sont complètement gratuits comme WordPress par exemple, ou Magento, d’autres sont payants modèle de l’abonnement mensuel, ou annuel. L’intégration de la base de données – entre 8 000 et 35 000 euros par intégration Si vous avez un site e-commerce, un annuaire en ligne ou un site dans la finance, votre site web est d’abord une gigantesque base de données. La base de données permet à vos visiteurs et clients d’accéder aux informations de votre site de manière simple et agréable votre catalogue produits par exemple. Dans le cadre de la refonte d’un site web, l’un des enjeux est de réussir à basculer votre base de données de votre ancien système à votre nouveau système. Cela est parfois complexe et peut s’avérer coûteux. C’est potentiellement, dans certains cas, le plus gros poste de coûts. La maintenance du site web – entre 600 et 1 500 euros par an La maintenance est un poste de coûts souvent négligé, voire oublié. Pourtant, elle est essentielle pour maintenir le site en état, maintenir ses fonctionnalités et ses performances, anticiper et corriger les bugs, etc. La maintenance inclut aussi les mises à jour techniques ou de sécurité. Pour en savoir plus sur le sujet, nous vous invitons à découvrir l’article que nous avons publié sur La Fabrique. Il s’applique aux sites e-commerce mais concerne aussi les autres sites. Découvrez comment anticiper les coûts de maintenance d’un site e-commerce. La gestion de projet et la collecte d’informations – entre 700 et 2 500 euros Les agences et les freelances veulent vous aider au mieux à réaliser votre projet pour en assurer la réussite. Pour y parvenir, le projet doit être correctement piloté, géré. La communication doit être fluide. La supervision et la gestion du projet comporte des coûts, qui intègrent notamment la réunion de cadrage initiale, les réunions téléphoniques et plus généralement tout le temps passé par l’agence ou le freelance à collecter des informations sur votre marque, sur votre site, sur vos objectifs. La formation – entre 1 000 et 4 500 euros Votre site internet sera très certainement construit à partir d’un CMS facile d’utilisation. Mais aussi intuitif qu’il soit, tout le monde dans votre entreprise ne saura pas l’utiliser. La formation est un poste de coûts qui intègre les temps passé passé par un expert de l’agence ou le freelance à expliquer comment le système fonctionne et à vous transmettre les rênes de la gestion et de la maintenance de votre nouveau site web. Bref, le temps passé à vous rendre autonome. Comme nous le disions au début de cet article, le coût de la refonte d’un site web est très variable. Pour vous donner quelques fourchettes, comptez Entre 2 500 et 8 000 euros pour un petit site vitrine site de petite PME Entre 12 000 et 30 000 euros pour un gros site vitrine site de grande entreprise. Entre 8 000 et 20 000+ pour un site e-commerce. Entre 10 000 et 40 000+ pour un site adossé à une grosse base de données ou une application web. Il s’agit des coûts initiaux, auxquels vous devez ajouter l’hébergement, le renouvellement du nom de domaine, la maintenance, le coût de vos efforts SEO, l’acquisition de nouvelles fonctionnalités ou outils payants. Nous espérons que ce guide vous aura aider à mieux comprendre les enjeux liés à la refonte d’un site web et les coûts associés à ce type de projet.
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