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RandonnĂ©e pĂ©destre. En boucle depuis Vagney. Hautes-Vosges. RandonnĂ©e Boucle Vosges Montagne NatureDistance 8,6 Km - DĂ©nivelĂ© positif 264 m - Altitude maximum 874 m - Temps total 1 h 48 m - Date 23/03/2011 - CoordonnĂ©es La Croix des HĂȘtres, Vagney, Ăpinal, Vosges, Grand Est, France mĂ©tropolitaine, 88120, France Route de la Croix des HĂȘtres, Moyemont, Vagney, Ăpinal, Vosges, Grand Est, France mĂ©tropolitaine, 88120, France Surla page montre le schma du passage et de l'emplacement de Square de Coetlogon, sur le plan de la ville de Rennes. Le image satellite permet de voir Ă quoi ressemble le bĂątiment et la rĂ©gion environnante. Une photo 3D de Square de Coetlogon Ă partir de l'altitude du vol d'un oiseau aidera Ă mettre une image plus prĂ©cise dans la tĂȘteStreetdirectory and street map of Quartiers Nord-Est. Directory of services in Quartiers Nord-Est: shops, restaurants, leisure and sports facilities, hospitals, gas stations and other places of interest. 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Le 13 mars 1999, FrĂ©dĂ©ric Pradier, pharmacien Ă lâAssistance publique des HĂŽpitaux de Paris AP-HP dĂ©cĂšde dâune gangrĂšne gazeuse intracĂ©rĂ©brale Ă lâhĂŽpital de la PitiĂ©-SalpĂȘtriĂšre Paris.Rappel des faits l'homme est admis aux urgences de lâĂ©tablissement le 8 mars. Il est opĂ©rĂ© dâune rupture dâanĂ©vrisme cĂ©rĂ©bral. Dans les jours suivants lâintervention, il prĂ©sente de la fiĂšvre, signe dâune infection nosocomiale. Aucun traitement antibiotique ne lui est administrĂ©. Il dĂ©cĂšde. Quand je demandais Ă un mĂ©decin, une infirmiĂšre, un interne de prescrire des antibiotiques Ă mon compagnon fĂ©brile. Sans rĂ©ponse, personne ne mâĂ©coutaitâ, a expliquĂ© la compagne de la victime et pharmacienne au quotidien Le Point Plusieurs dĂ©faillances ont Ă©tĂ© notifiĂ©es dans lâexpertise menĂ©e quelques mois plus tard. Elles portaient notamment sur la dĂ©sinfection cutanĂ©e du malade, Ă lâopĂ©ration, Ă la prĂ©vention, Ă la stĂ©rilisation et au suivi le Pr Jacques Philippon, le Dr StĂ©phane Clemenceau, le Pr Pierre Coriat et les Drs Chantal Colonne, Sabine Gallais et Sabine Roche ainsi que l'Assistance publique des hĂŽpitaux de Paris ont comparus pour homicide involontaire. Ils risquaient 3 ans de prison et 45 000 euros dâamende. Aujourdâhui, soit 12 ans plus tard, aucune sanction nâest encore tombĂ©e. En 2009, la juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geffroy a demandĂ© le renvoi de lâaffaire en une bactĂ©rie lui ronge les os pubiensIl aura fallu deux ans pour que StĂ©phanie Parsini obtienne gain de cause contre l'hĂŽpital de Neuilly-Courbevoie Hauts-de-Seine.Rappel des faits en 2004, la jeune femme accouche dans l'Ă©tablissement. Trois jours aprĂšs lâintervention -qui sâest pourtant trĂšs bien dĂ©roulĂ©e- elle ne peut plus marcher. Elle multiplie les allers-retours Ă lâhĂŽpital car elle souffre terriblement. On m'a dit que ce devait ĂȘtre un lumbagoâ, explique la victime au Parisien Face Ă lâaggravation de son Ă©tat, elle se rend Ă lâhĂŽpital LariboisiĂšre Paris oĂč elle subit plusieurs examens. Une biopsie rĂ©vĂšle la prĂ©sence dâune bactĂ©rie Propionibacterium acnesâ qui lui ronge les os pubiens. AprĂšs plusieurs mois de traitements, elle est enfin le tribunal administratif de Versailles Yvelines a condamnĂ© le centre hospitalier Ă verser 11 000 euros de dommages et intĂ©rĂȘts Ă la jeune un enfant meurt de dĂ©shydratationAdmis pour une gastro-entĂ©rite, un enfant de 19 mois dĂ©cĂšde Ă lâhĂŽpital Armand-Trousseau Paris.Rappel des faits l'enfant a Ă©tĂ© hospitalisĂ© le 1er fĂ©vrier 1999 au service de pneumologie de l'hĂŽpital pour une gastro-entĂ©rite aiguĂ«. Il meurt le 10 fĂ©vrier suite Ă une dĂ©shydratation. En cause, des mĂ©decins pas assez prĂ©sents, un manque de surveillance et des tĂąches confiĂ©es Ă un personnel moins qualifiĂ© ont Ă©tĂ© invoquĂ©es, selon La huit personnes de lâhĂŽpital et lâAssistance publique ont Ă©tĂ© condamnĂ©s pour homicide involontaire et mise en danger d'autrui. Les peines sont allĂ©es de 4 Ă 6 mois de prison avec sursis et de 1 000 Ă 6 000 euros d'amende pour le personnel. LâAP-HP sâest vu contrainte de payer une amende de 10 000 des brĂ»lures mortelles Ă cause dâun matelas dĂ©fectueuxA cause dâun matelas chauffant dĂ©fectueux, une femme dĂ©cĂšde Ă la polyclinique d'Orgemont situĂ©e Ă Argenteuil Val d'Oise.Rappel des faits en mai 1993, Fatoumata M'Baye ĂągĂ©e de 30 ans est hospitalisĂ©e pour une opĂ©ration bĂ©nigne. En la relevant aprĂšs son rĂ©veil, le personnel sâaperçoit quâelle est brĂ»lĂ©e au troisiĂšme degrĂ©. Le matelas sur lequel elle reposait Ă©tait dĂ©fectueux. Il nâavait pas de kit de sĂ©curitĂ© obligatoire. La victime est envoyĂ©e Ă lâhĂŽpital Cochin Paris au service des grands brulĂ©s. Elle y dĂ©cĂšde aprĂšs trois semaines de le tribunal correctionnel de Pontoise a condamnĂ© le PDG de l'Ă©tablissement Ă 9 mois de prison avec sursis. Le mĂ©decin anesthĂ©siste a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă 3 mois avec sursis. Le fabriquant du matelas Gamida a Ă©copĂ© de 6 mois avec sursis. Il est le seul Ă avoir acceptĂ© sa responsabilitĂ© pĂ©nale en ne faisant pas appel de la dĂ©cision, rappelle Le Parisien. Tous trois ont du verser environ 40 000 euros dâindemnisation Ă la une cĂ©sarienne rĂ©alisĂ©e sans anesthĂ©sieEvĂšnement heureux, lâaccouchement peut parfois tourner au cauchemar. Ce fut le cas Ă lâhĂŽpital de Vitry-le-François Marne en des faits le 10 novembre 2005, une jeune femme arrive dans l'Ă©tablissement pour accoucher. AprĂšs avoir dĂ©tectĂ© un trouble du rythme cardiaque du bĂ©bĂ©, lâĂ©quipe soignante dĂ©cide de procĂ©der Ă une cĂ©sarienne en urgence. MalgrĂ© lâinjection dâun produit anesthĂ©siant en dĂ©but dâintervention, la patiente ressent tout. J'ai hurlĂ© de douleur, une douleur que je ne peux pas oublier. J'entends dire alors de l'anesthĂ©siste que je suis douillette. Je lui rĂ©explique que je sens tout,â a-t-elle expliquĂ© au journal L'Union. Une anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale est immĂ©diatement pratiquĂ©e. TraumatisĂ©e, la patiente est tombĂ©e en dĂ©pression pendant plusieurs le tribunal administratif de ChĂąlons-en-Champagne a condamnĂ© l'hĂŽpital Ă verser 3 000 euros Ă la victime, ainsi que 700 et 1 200 euros pour les frais d'expertise et de justice engagĂ©s. En mars 2011, l'anesthĂ©siste mis en cause pratiquait toujours Ă l'hĂŽpital de noter en avril 2005, une jeune femme a Ă©tĂ© brĂ»lĂ©e aux cuisses avec un bistouri Ă©lectrique, lors de son accouchement Ă l'hĂŽpital de Saint-Nazaire Loire-Atlantique. LâĂ©tablissement a dĂ» lâindemniser Ă hauteur de 4 000 ils diagnostiquent une fracture, elle meurt dâune gangrĂšneLe centre hospitalier de Blois Loir-et-Cher a connu de lourdes affaires ces derniĂšres annĂ©es qui ont entachĂ© son des faits en 2006, une adolescente est admise aux Urgences aprĂšs un trĂšs grave accident de la route. Un scanner dĂ©tecte une fracture du bassin, sans danger,â selon les mĂ©decins. AprĂšs avoir souffert de douleurs Ă lâabdomen les jours suivants, la patiente dĂ©cĂšde dâune gangrĂšne de lâ en 2006, un homme arrive Ă lâhĂŽpital aprĂšs avoir avalĂ© son dentier. On lui administre un laxatif et il rentre chez lui au bout de quelques jours toujours avec son dentier dans le corps. Souffrant de douleurs, le patient revient. Un nouveau scanner diagnostique un abcĂšs du colon et il est opĂ©rĂ© en urgence pour une pĂ©ritonite gĂ©nĂ©ralisĂ©e. Il sâen sort de en 1997, un accouchement dans lâĂ©tablissement tourne au drame. A cause dâun dĂ©faut d'examen de surveillance et dâune erreur de diagnostic, une jeune femme en bonne santĂ© et ayant eu une grossesse normal se retrouve dans un Ă©tat vĂ©gĂ©tatif et dans un coma pour la premiĂšre affaire, les deux mĂ©decins ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă des peines de prison avec sursis de 8 mois et 4 mois. Pour la deuxiĂšme affaire, l'hĂŽpital de Blois a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă verser 129 000 euros au couple. Enfin, pour la jeune femme plongĂ©e dans le coma, lâĂ©tablissement doit verser 921 000 Ă©tablissements condamnĂ©s pour homicideLe centre hospitalier de MontbĂ©liard Doubs, la clinique de lâIsle Crosne, Essonne et la clinique des Bleuets Reims font partis des Ă©tablissements de santĂ© condamnĂ©s pour homicide des faits le CH de MontbĂ©liard a Ă©tĂ© condamnĂ© en septembre 2011 pour homicide involontaire suite Ă la chute mortelle dâune de ses femmes de mĂ©nage dans un la clinique des Bleuets, le Dr Jean-Pierre Giolitto est condamnĂ© le 29 juillet 2011 pour homicide involontaire suite au dĂ©cĂšs dâun lycĂ©en venu se faire opĂ©rer en aoĂ»t 2006 d'une dilatation veineuse au testicule, une pathologie bĂ©nigne. AprĂšs lâintroduction dâun trocart, il perfore une artĂšre et une veine, entraĂźnant une forte hĂ©morragie. Le praticien tente alors de la stopper avec ses mains, au lieu dâutiliser des pinces spĂ©ciales et dâappeler un confrĂšre opĂ©rant Ă clinique de lâIsle est, elle, reconnue coupable de graves nĂ©gligences suite au dĂ©cĂšs dâune patiente de 29 ans en 2009. Elle parvient Ă mettre fin Ă ses jours en absorbant mĂ©dicaments et alcool alors quâelle Ă©tait hospitalisĂ©e pour un sevrage en plus dâĂȘtre condamnĂ© pour homicide involontaire, le CH de MontbĂ©liard doit sâacquitter dâune amende de 10 000 euros. Le Dr Giolitto a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă 18 mois de prison avec sursis et 130 000 euros de dommages et intĂ©rĂȘts Ă verser aux proches de la victime. Il a Ă©galement Ă©copĂ© de 6 mois d'interdiction d'exercer dont quatre avec sursis. Il a fait appel de la dĂ©cision. La clinique de lâIsle a dĂ» verser 6 000 euros dâamende, 7 000 euros au titre de prĂ©judice moral au concubin de la victime et 17 000 euros Ă chacun des deux enfants du Meaux Ă©pidĂ©mies mortelles de lĂ©gionelloseEn 2002, la lĂ©gionellose se dĂ©veloppe dans deux Ă©tablissements de santĂ© Ă Sarlat Dordogne et Ă Meaux Seine-et-Marne.Rappel des faits en juillet 2002, la lĂ©gionellose se dĂ©clare au centre hospitalier Jean-Leclaire de Sarlat et au centre hospitalier de Meaux. En cause, la prolifĂ©ration dâune bactĂ©rie la legionella dans des tours rĂ©frigĂ©rantes. Un homme de 68 ans dĂ©cĂšde et une vingtaine de personnes sont atteintes Ă Sarlat. 22 personnes sont contaminĂ©es Ă Meaux, quatre Jacques Romon, directeur de lâĂ©tablissement de Sarlat au moment des faits, a Ă©copĂ© de 3 mois de prison avec sursis et de 2 000 euros d'amende. Le centre hospitalier a, lui, Ă©tĂ© condamnĂ© Ă 12 000 euros d'amende. A Meaux, Henri Genty, ancien directeur de lâhĂŽpital, a Ă©galement Ă©tĂ© condamnĂ© Ă trois mois de prison avec sursis. LâhĂŽpital a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă verser une amende de 100 000 euros avec Bullion un surdosage mĂ©dicamenteux tue deux personnesUn surdosage mĂ©dicamenteux a coĂ»tĂ© la mort de deux personnes dans les hĂŽpitaux de VendĂŽme Loir-et-Cher et de Bullion Yvelines, dont un des faits le 5 mai 2006, un homme de 83 ans est hospitalisĂ© Ă lâhĂŽpital de VendĂŽme pour une suspicion dâAVC. LâĂ©quipe mĂ©dicale lui prescrit un mĂ©dicament de façon journaliĂšre, alors quâil doit lâĂȘtre de façon hebdomadaire. AprĂšs de multiples complications forte fiĂšvre, trouble de lâalimentation, anomalie sanguineâŠ, il dĂ©cĂšde le 26 juin 2006. Cette prescription Ă©tait inadaptĂ©e [âŠ]. Ce surdosage mĂ©dicamenteux a provoquĂ© un syndrome infectieux et des complications cutanĂ©o-muqueusesâ, ont expliquĂ© les mĂ©decins experts selon de Blois. A lâhĂŽpital de pĂ©diatrie et de rééducation de Bullion, les faits remontent Ă 2009. Suite Ă une erreur de dosage dâune perfusion, un bĂ©bĂ© de 6 mois en attente dâune greffe de lâintestin dĂ©cĂšde. Il fallait rĂ©guliĂšrement perfuser l'enfant qui disposait d'un cathĂ©ter. Les deux membres du personnel devaient rĂ©gler la vitesse du dosage mais ont commis une erreur en validant une vitesse trop importante d'Ă©coulement du substitut alimentaire', a expliquĂ© Yannick Gouriou, directeur de lâĂ©tablissement au quotidien le CH de VendĂŽme a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă verser 26 000 euros aux enfants et Ă la veuve et 29 250 euros Ă la CPAM du Loir-et-Cher. Pour le nourrisson dĂ©cĂ©dĂ© Ă Bullion, lâenquĂȘte a Ă©tĂ© ouverte en 2009. Aucune condamnation nâa Ă©tĂ© rendue publique Ă ce psychiatrique de Marseille il sâenfuit et tue Ă la hache un homme de 80 ansEn 2009, un hĂŽpital psychiatrique de Marseille est condamnĂ© dans une affaire de des faits le 9 mars 2004, JoĂ«l Gaillard, schizophrĂšne tue Ă la hache Germain Trabuc, un le compagnon de sa grand-mĂšre ĂągĂ© de 83 ans. Lâhomme internĂ© Ă lâhĂŽpital Edouard-Toulouse de Marseille depuis 2001 aprĂšs une sĂ©rie d'actes de violence dont une tentative d'assassinat, Ă©tait en fuite depuis le 20 Michel Trabuc, un des fils de la victime, a rĂ©ussi Ă faire condamner l'hĂŽpital Ă lui verser 15 000 euros de dommages et hospitalisĂ© pour une angine, un enfant dĂ©cĂšdeHospitalisĂ© pour une angine, un enfant de trois ans dĂ©cĂšde Ă lâhĂŽpital Saint-Vincent-de-Paul Paris en 2008. Lâaffaire fait la Une des des faits en dĂ©cembre 2008, une infirmiĂšre administre par erreur du chlorure de magnĂ©sium Ă un enfant admis en pĂ©diatrie. Il dĂ©cĂšde. DĂšs les premiers moments, l'infirmiĂšre est venue dire Ă son chef de service qu'il s'agissait d'une erreur,â avait dĂ©clarĂ© Roselyne Bachelot, alors ministre de la SantĂ© au quotidien A l'origine du drame la confusion entre des flacons de B46, un sĂ©rum glucosĂ©, et des flacons de chlorure de magnĂ©sium, un produit pouvant ĂȘtre lâinfirmiĂšre responsable du drame a Ă©tĂ© immĂ©diatement mise en examen pour homicide involontaire. LâAP-HP a Ă©tĂ© mise en examen pour homicide involontaire en novembre le Samu laisse mourir un hommeUn problĂšme d'organisation des services de secours de Bourges Cher coĂ»te la vie d'un homme en des faits le 18 fĂ©vrier 2002, un homme de 40 ans meurt d'une attaque cardiaque Ă Sancerre Cher. Son fils, ĂągĂ© de 10 ans, a pourtant appelĂ© le Samu du centre hospitalier de Bourges devant le malaise de son pĂšre. Au tĂ©lĂ©phone, le mĂ©decin l'oriente vers un autre praticien de garde dans le secteur. Ce dernier ne rĂ©pond pas. Lâhomme les deux mĂ©decins ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă trois mois de prison avec sursis pour homicide involontaire par violation manifestement dĂ©libĂ©rĂ©e d'une obligation de prudence ou de sĂ©curitĂ©â. LâhĂŽpital a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă verser 32 500 elle dĂ©cĂšde dâune hĂ©morragie non diagnostiquĂ©eA Aubergenville Yvelines, une jeune femme dĂ©cĂšde en 2000 d'une hĂ©morragie non des faits en aoĂ»t 2000, Sylvie HoudĂ©, 33 ans, dĂ©cĂšde Ă la clinique du MontgardĂ© Aubergenville six heures aprĂšs avoir accouchĂ©. 'J'ai assistĂ© le matin Ă un entretien entre mon Ă©pouse et un mĂ©decin aprĂšs l'accouchement. Elle lui expliquait qu'elle voyait trouble. Ce dernier lui a rĂ©pondu que c'Ă©tait normal,' avait dĂ©clarĂ© le mari de la victime, selon Le Parisien. La jeune femme Ă©tait en train de faire une hĂ©morragie. L'enquĂȘte a rĂ©vĂ©lĂ© quâil a fallu attendre 1h40 pour trouver une poche de sang. Un dĂ©lai l'anesthĂ©siste et le gynĂ©cologue-obstĂ©tricien obtiennent un non-lieu en 2006. En 2008, la clinique est condamnĂ©e Ă verser 500 000 euros Ă la famille de la une erreur de diagnostic fataleAprĂšs un mauvais diagnostic, une patiente dĂ©cĂšde Ă la clinique de la MisĂ©ricorde de Caen Calvados.Rappel des faits en 2004, une femme souffrant de douleurs au bras gauche et dans la cage thoracique se rend aux Urgences de l'Ă©tablissement. Le mĂ©decin juge lâĂ©lectrocardiogramme normal et pense Ă un torticolis. La patiente rentre chez elle avec antalgique et anti-inflammatoire. Elle meurt dans la en 2008, les juges ont estimĂ© qu'il n'y avait pas de lien certain entre la faute du mĂ©decin et le dĂ©cĂšs. En 2009, le mari de la victime a rĂ©clamĂ© une indemnisation du prĂ©judice Ă©conomique et moral. Le tribunal de Paris a conclu que le mĂ©decin urgentiste recevant la femme Ă la clinique ne lui avait pas procurĂ© les soins conformes aux donnĂ©es de la science qu'il devait dispenser. Il lui a reprochĂ© [âŠ] d'avoir considĂ©rĂ© comme normal un Ă©lectrocardiogramme qui ne l'Ă©tait pas totalement', rappelle Ouest-France. La clinique et son assureur ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă verser environ 125 000 euros Ă la du sport 58 patients contaminĂ©s par une tuberculose osseuseLâaffaire de la Clinique du sport Paris est le premier gros scandale des maladies des faits en mars 2010, les Drs Pierre Sagnet, Didier Bornert et Patrick BĂ©raud sont reconnus responsables de la contamination de 58 patients opĂ©rĂ©s des lombaires ou des cervicales entre janvier 1988 et mai 1993. Tous ont dĂ©veloppĂ© une maladie grave sâapparentant Ă une tuberculose osseuse. En cause, une mauvaise stĂ©rilisation des instruments chirurgicaux et un mauvais rinçage de ces le Dr Sagnet est condamnĂ© Ă 4 ans de prison, dont 18 mois ferme, et 50 000 euros d'amende. Le Dr Bornert a Ă©copĂ© de 2 ans d'emprisonnement, dont 6 mois ferme et 25 000 euros d'amende. Le Dr BĂ©raud est lui condamnĂ© Ă 8 mois de prison avec sursis et 2 000 euros d' noter la Clinique du sport sâappelle dĂ©sormais Centre MĂ©dico Chirurgical Paris de suivi des malades opĂ©rĂ©s 162 hĂŽpitaux Ă©pinglĂ©sLe quotidien LâExpress a dressĂ© la liste des Ă©tablissements de santĂ© qui ne suivent pas leurs malades aprĂšs lâopĂ©ration. Une grosse erreur quand on sait que tous les ans, des gens meurent dâinfections nosocomiales infections contractĂ©es dans un Ă©tablissement de santĂ©.Voici la liste publiĂ©e en 2009 10 centres hospitaliers de plus de 300 lits Rodez Centre hospitalier 12, Dinan Centre hospitalier 22, PĂ©rigueux Centre hospitalier 24, Auch Centre hospitalier 32, Saint-Malo Centre hospitalier 35, Mont-St-Martin Centre hosp. 54, Bar-le-Duc Centre hospitalier 55, FĂ©camp C. hosp. intercommunal 76, Meulan-Les Mureaux Centre hosp 78, Niort Centre hospitalier G. Renon 79.34 centres hospitaliers de moins de 300 lits Annonay Centre hospitalier et Saint-AgrĂšve HĂŽpital de Moze 07, Castelnaudary C. hosp. Cassabel 11, Vire C. hosp. 14, Mauriac C. hosp. 15, Cognac C. hosp. et Confolens C. hosp. La Bajouderie 16, ChĂątillon-Montbard Centre hosp. 21, Pontarlier Centre hospitalier 25, Gisors C. hosp. 27, Douarnenez C. hosp. et QuimperlĂ© Centre hospitalier 29, Blaye C. hosp. Saint-Nicolas 33, Le Pont-de-Beauvoisin C. hosp. 38, Pithiviers C. hosp. 45, Sarrebourg C. hosp. Saint-Nicolas 57, Clamecy C. hosp. 58, Valenciennes Clinique Teissier 59, L'Aigle C. hosp. 61, Orthez C. hosp. 64, Obernai HĂŽpital civil 67, Paris 11 HĂŽpital des MĂ©tallurgistes 75, Provins Centre hospitalier L. Binet 77, Maisons-Laffitte C. hosp. des Courses 78, Loudun C. hosp. Renaudot 86, Epinal C. hosp. J. Monnet 88, Fresnes Etab. public national de santĂ© 94, Basse-Terre C. hosp. et Grand-Bourg C. hosp. Sainte-Marie Guadeloupe, Saint-Martin C. hosp. de Marigot Saint-Martin, Kourou C. mĂ©dico-chirurgical et St-Laurent C. hosp. ouest Guyane, Mamoudzou C. hosp. Mayotte.44 cliniques de plus de 100 lits St-Quentin Polyclinique Saint-Claude 02, Marseille 10 Clin. RĂ©sidence du Parc 13, Deauville Polyclinique de Deauville 14, L'Isle d'Espagnac Clinique Ste-Marie et Soyaux Centre Clinical 16, Dijon Clinique Sainte-Marthe, Fontaine-lĂšs-Dijon Clinique et Talant Clinique mutualiste B. Joly 21, Brest Clinique Pasteur Saint-Esprit 29, Boujan/Libron Polycl. Saint-Privat et Castelnau-le-Lez Clinique du Parc 34, Cesson-SĂ©vignĂ© Polyclinique SĂ©vignĂ© et Rennes Polyclinique Saint-Laurent 35, St-Jean-de-Braye Polycl. Longues allĂ©es 45, Chaumont Centre mĂ©dico-chirurgical 52, Nancy Polyclinique Majorelle 54, Cosne-Cours/Loire Clin. du Nohain et Nevers Polyclinique du Val de Loire 58, Coudekerque-B. Polyclinique de Flandre, Dunkerque Polyclinique Villette et Villeneuve-d'Ascq Polyclinique 59, Clermont-Ferrand PĂŽle SantĂ©-RĂ©publique 63, Mulhouse Clinique Saint-Sauveur et Saint-Louis Polycl. des Trois frontiĂšres 68, VĂ©nissieux Clinique mutu. La Roseraie 69, Le Mans Clinique du PrĂ©, Le Mans Clinique Sainte-Croix et Le Mans Clin. Les Sources St-CĂŽme 72, Paris 13 Centre Croix-Rouge Peupliers 75, Auxerre Polyclin. Ste-Marguerite 89, Belfort Clinique de la Miotte 90, Athis-Mons HĂŽpital privĂ© site Caron et Evry Centre MCO 91, Bagnolet Clinique de la Dhuys, Bagnolet CMC FlorĂ©al, Livry-Gargan Polyclinique Vauban et Rosny-sous-Bois Clinique Hoffmann 93, Thiais HĂŽpital privĂ© 94, Cormeilles-en-P. Clinique du Parisis et Ermont Clinique C. Bernard 95, Les Abymes Polycl. de Guadeloupe Guadeloupe, Le Port Clinique Jeanne d'Arc, Ste-Clotilde Clin. de Ste-Clotilde et Le Tampon Clinique Durieux RĂ©union.68 cliniques de moins de 100 lits Villers-Semeuse Clinique du Dr Lhoste 08, Lisieux Polyclinique de Lisieux 14, AngoulĂȘme Clinique Saint-Joseph 16, Puilboreau CMC de l'Atlantique, Rochefort Clinique chir. Du Dr Pujos, Saintes Clinique Richelieu, St-Georges-de-Didonne Polyclinique 17, Guingamp Polyclinique Argor-Argoa et Lannion Polyclinique du TrĂ©gor 22, PĂ©rigueux Clinique du Parc 24, MontbĂ©liard Polycl. des Portes du Jura 25, Brest Clinique de Lanroze et Morlaix CMC de la baie de Morlaix 29, Toulouse Clinique du Cours Dillon 31, Bordeaux Clin. St-Antoine-de-Padoue, Bordeaux Clinique Tourny et Bordeaux Polycl. Bordeaux-CaudĂ©ran 33, LodĂšve Clinique Saint-Pierre et SĂšte Polyclinique Sainte-ThĂ©rĂšse 34, Bourgoin-Jal. Clin. St-Vincent-de-Paul et Roussillon Clinique Saint-Charles 38, Aire-sur-l'Adour Polycl. Les ChĂȘnes 40, Gien Polyclinique Jeanne d'Arc 45, Marmande Clinique Magdelaine 47, Vitry-le-François Clin. La Renaissance 51, Saint-Dizier Clinique François Ier 52, Saint-Avold Clinique Saint-Nabor 57, Le Cateau-Cambr. Clin. chir. des HĂȘtres, Somain Clinique chir. ophtalmologique, Tourcoing Clinique du Val de Lys et Villeneuve d'Ascq Clinique Cotteel 59, Flers Clinique Saint-Dominique 61, Issoire Clinique Les Sorbiers 63, Lyon 3 Clinique de la Part-Dieu, Lyon 6 HĂŽpital de la Croix-Rouge, Saint-Priest Polyclinique Pasteuret VĂ©nissieux Polycl. des Minguettes 69, Autun Clinique chirurgicale du Parc et Paray-le-Monial Clinique La Roseraie 71, Paris 7 Clinique de l'Alma, Paris 8 Clinique ElysĂ©e-Montaigne, Paris 12 Clinique du Bien-NaĂźtre, Paris 13 Clinique Jeanne d'Arc, Paris 14 Clinique Sainte-GeneviĂšve, Paris 16 Clinique de la Muette, Paris 16 Clinique Victor-Hugo et Paris 17 Clin. Ste-ThĂ©rĂšse de l'enfant J75, FĂ©camp Clinique de l'Abbaye, Lillebonne Clinique Tous vents, St-Aubin-sur-Scie Clin. Les AubĂ©pines et Yvetot Clinique du Dr ClĂ©ret 76, Aubergenville C. hosp. privĂ© MontgardĂ©, Chatou Centre chirurgical, Mantes-la-Jolie CMC du Mantois, St-Germain-en-Laye Clin. Louis XIV, Versailles Polyclinique Aumont et Versailles Polyclinique La Maye 78, Carmaux Polyclinique Sainte-Barbe 81, Montauban Clin. La Croix-St-Michel et Montauban Clinique du Dr Cave 82, Bourg-la-Reine Clin. Ambroise ParĂ©, Courbevoie Clinique La Montagne et Neuilly/Seine Clin. Sainte-Isabelle 92, Neuilly-sur-Marne Clinique de Neuilly et Noisy-le-Grand Clinique de Noisy 93, Enghien-les-Bains Clin. de Girardin 95, Basse-Terre Clin. St-Pierre Guadeloupe.Deux Ă©tablissements ambulatoires Marconne Clinique Chirurgicale d'Hesdin 62 et Boulogne-Billancourt Institut europĂ©en de chirurgie 92.Nantes un hĂŽpital condamnĂ© pour ne pas avoir dĂ©pistĂ© une trisomie 21Le CHU de Nantes Loire-Atlantique a Ă©tĂ© condamnĂ© aprĂšs la naissance dâun enfant des faits en janvier 1994, un enfant porteur de la trisomie 21 naĂźt dans l'Ă©tablissement. Ce handicap nâa pas Ă©tĂ© dĂ©tectĂ© avant la naissance. Certains examens laissaient prĂ©sager une anomalie, dâautres pas du tout. Les mĂ©decins nâont pas prĂ©venu la patiente de leurs interrogations et ne lui ont pas proposĂ© de rĂ©aliser une lâhĂŽpital sâest vu contraint de verser une rente de 60 euros par nuit passĂ©e par leur fils handicapĂ© au domicile familial depuis le jour de sa naissance et tout au long de sa vie, ainsi que la somme de 106 000 euros environ Ă la Caisse des dĂ©pĂŽts et une compresse oubliĂ©e pendant un accouchementUn fait insolite mais qui aurait pu mal tourner pour une jeune des faits en avril 1993, une jeune femme accouche au CHU de Besançon Doubs. LâĂ©tablissement commet une lourde erreur en oubliant une compresse dans son ventre. Mais aucun praticien ne sâen aperçoit. La victime se plaint de douleurs et de fiĂšvre quelques mois plus tard. Elle subit divers examens au centre hospitalier de Pontarlier Doubs pendant un an mais la compresse reste non identifiĂ©e. Câest en 1998, soit cinq ans plus tard quâelle est finalement rĂ©vĂ©lĂ©e et le CHU de Besançon a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă verser 7926,63 euros Ă la plaignante et 8308,18 euros Ă la CPAM du Jura pour avoir oubliĂ© la compresse. Le centre hospitalier de Pontarlier a dĂ» verser 8725,23 euros au CHU de Besançon pour nâavoir pas dĂ©couvert plus rapidement la compresse.
ExtrĂ©mitĂ©Sud : D431 UFFHOLTZ. La crĂ©ation de la Route des CrĂȘtes s'est effectuĂ©e pendant la PremiĂšre Guerre Mondiale dans un but stratĂ©gique de communication, de logistique et de dĂ©fense du front des Vosges. TracĂ©e constamment au voisinage de la ligne de crĂȘte, cette route magnifique, reliant Sainte-Marie-aux-Mines Ă Cernay, permet 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes Appartement Prix m2 moyen 2 621 ⏠de 1 670 ⏠à 3 391 ⏠Indice de confiance Maison Prix m2 moyen 2 688 ⏠de 1 719 ⏠à 3 491 ⏠Indice de confiance 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes Remarque les prix indiquĂ©s ci-dessous sont ceux du quartier environnant Appartement Loyer mensuel/m2 moyen 9,6 ⏠de 7,0 ⏠à 16,3 ⏠Indice de confiance Maison Loyer mensuel/m2 moyen 10,6 ⏠de 8,7 ⏠à 13,4 ⏠Indice de confiance Le 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres est rattachĂ© Ă 3 parcelles Section cadastrale N° de parcelle Superficie 000KL01 0165 1 652 mÂČ 000KL01 0168 2 401 mÂČ 000KL01 0167 3 799 mÂČ Ă proximitĂ© Rue Antoine Becquerel, Rennes 35700 Consulter le prix de vente, les photos et les caractĂ©ristiques des biens vendus Ă proximitĂ© du 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes depuis 2 ans Obtenir les prix de vente En aoĂ»t 2022 Ă Rennes, le nombre d'acheteurs est supĂ©rieur de 8% au nombre de biens Ă vendre. Le marchĂ© est dynamique. ConsĂ©quences dans les prochains mois *L'indicateur de Tension ImmobiliĂšre ITI mesure le rapport entre le nombre d'acheteurs et de biens Ă vendre. Lâinfluence de lâITI sur les prix peut ĂȘtre modĂ©rĂ©e ou accentuĂ©e par lâĂ©volution des taux dâemprunt immobilier. Quand les taux sont trĂšs bas, les prix peuvent monter malgrĂ© un ITI faible. Quand les taux sont trĂšs Ă©levĂ©s, les prix peuvent baisser malgrĂ© un ITI Ă©levĂ©. 39m2 Pouvoir dâachat immobilier dâun mĂ©nage moyen rĂ©sident 67j DĂ©lai de vente moyen en nombre de jours Par rapport au prix mÂČ moyen allĂ©e de la Croix des HĂȘtres 2 639 âŹ, le mĂštre carrĂ© au N°5 est globalement Ă©quivalent -0,5 %. Il est Ă©galement globalement Ă©quivalent que le prix / mÂČ moyen Ă Rennes +1,6 %. Par rapport au prix mÂČ moyen pour les maisons Ă Rennes 3 082 âŹ, le mĂštre carrĂ© au 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres est plus abordable -12,8 %. Lieu Prix mÂČ moyen 0,5 % moins cher que la rue allĂ©e de la Croix des HĂȘtres 2 639 ⏠/ mÂČ 1,6 % plus cher que le quartier Beaulieu / Baud 2 584 ⏠/ mÂČ 1,6 % plus cher que Rennes 2 584 ⏠/ mÂČ Cette carte ne peut pas sâafficher sur votre navigateur ! Pour voir cette carte, nâhĂ©sitez pas Ă tĂ©lĂ©charger un navigateur plus rĂ©cent. Chrome et Firefox vous garantiront une expĂ©rience optimale sur notre site. LaCroix de KerdutĂ© Kerbocâh Penfrat La Grande BoissiĂšre Rue des HĂȘtres Rue des Hortensias R u e d e s A z a l Ă© e s huyas Rue des PrimevĂšres Rue des Moulins etites Salles erdiaoulig OrvoĂ«n Rue des Chata i gn e r s ihan Rue des Acacias Jardin public a i c 4 D 116 Place Lindenfels D 24 VERS RIEC-SUR-BĂLON VERS QUIMPERLĂ VERS CLOHARS-CARNOĂT Plage de Kerfany Ăglise Angers SMIA Service de SantĂ© au Travail Address 25 rue Carl LinnĂ© â BP 90905 â 49009 ANGERS CEDEX 01 Phone number 02 41 47 92 92 Mail smia Website Annecy AST74 SantĂ© au travail interprofessionnel et BTP Address 44 chemin de la Prairie â CS 90417 â 74013 ANNECY CEDEX Phone number 04 50 45 13 56 Mail santetravail Website Bordeaux AHI 33 â Service de SantĂ© au travail Address 50 cours Balguerie Stuttenberg â 33070 BORDEAUX Phone number 05 57 87 75 75 Mail courrier Website Clermont Ferrand AIST La prĂ©vention active Address 12 avenue Marx Dormoy â BĂątiment Onslow â 3Ăšme Ă©tage â 63000 CLERMONT FERRAND Phone number 04 73 43 46 35 Mail Website Dijon AIST21 PrĂ©vention et santĂ© au travail Address 53 avenue Françoise Giroud, Parc Valmy â CS 37628 â 21076 DIJON Cedex Phone number 03 80 54 18 08 Mail Website Le Havre Santra Plus Gonfreville Address 3 rue des sports 76700 GONFREVILLE LâORCHER Phone number 02 32 74 94 94 Mail Website Lille and Roubaix PĂŽle SantĂ© Travail MĂ©tropole Nord Address 1 rue Denis Godefroy 59000 LILLE Phone number 03 28 52 06 10 Mail cmaryniak Website Lyon AST Grand Lyon Address 100 rue du 4 aoĂ»t 1789 â 69627 VILLEURBANNE CEDEX Phone number 04 72 11 39 08 Mail baly-secretariat2 Website Montpellier AMETRA Address 273 avenue de la Pompignane â BP 2172 â 34027 MONTPELLIER CEDEX 1 Phone number 04 67 84 76 90 Mail bruchon Website Nantes SSTRN â Service de santĂ© au travail de la rĂ©gion nantaise Address 3-5 rue dâAutriche â CS 12426 â 44024 NANTES CEDEX 1 Phone number 02 28 44 40 22 Mail Website Nice CMTI 06 Address 5 et 7 rue Delille 06000 NICE Phone number 04 93 62 74 72 Mail Website Paris CIAMT Address 43 rue de Douai 75009 PARIS Phone number 01 53 53 00 15 Mail Website Reims Reims SantĂ© au Travail Address 28 rue RenĂ© Cassin 51430 BEZANNES Phone number 03 26 77 59 20 Mail contact Website Rennes AST 35 Address 3 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres 35700 RENNES Phone number 02 23 42 89 94 Mail Website Strasbourg AST 67 Address 3 rue de Sarrelouis 67000 STRASBOURG Phone number 03 88 32 96 44 Mail 1341 Website Toulouse Prevaly Address 8-10 rue des 36 Ponts 31400 TOULOUSE Phone number 05 62 13 15 51 Mail contact Website Updated on February 17, 2022 Was this article helpful? Yes No Related Articles Privacy Statement for Employees Labour inspectorate3AllĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes 02 99 12 13 00. Service de la santĂ© au travail. Voir plus. 48.1314601,-1.6812572. MĂ©decine du Travail. Nord - Saint-Martin, 1, AllĂ©e du BĂątiment, 35000 Rennes 02 99 38 27 44. SERV MĂDECINE ENTREP DU BATIM, TRAV PUBLICS ET CARRIĂRES IV. Voir plus . 48.0870591,-1.6738393. MĂ©decine Du Travail D'ille Et Vilaine. Le
RĂ©sumĂ©La souffrance au travail et sa reconnaissance en maladie professionnelle constituent un enjeu de santĂ© publique. Lâavis motivĂ© du mĂ©decin du travail est une piĂšce Ă rechercher obligatoirement et Ă verser au dossier de demande de reconnaissance en maladie professionnelle transmis au CRRMP. Lâobjectif de cette Ă©tude a Ă©tĂ© dâanalyser la pratique de mĂ©decins du travail quant Ă lâimputabilitĂ© professionnelle des psychopathologies, au travers de la rĂ©daction de cet avis motivĂ©. Une analyse descriptive de 91 dossiers issus du CRRMP de Bretagne a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e ainsi quâune analyse de pratique par entretiens semi-dirigĂ©s auprĂšs de 13 mĂ©decins du travail bretons. Il a Ă©tĂ© montrĂ© une concordance forte entre avis du mĂ©decin du travail et dĂ©cision finale du CRRMP et une association statistique entre les arguments dĂ©veloppĂ©s par le mĂ©decin pour appuyer le lien direct mais pas le lien essentiel, et la dĂ©cision de reconnaissance. MalgrĂ© cela, les praticiens interrogĂ©s ont Ă©voquĂ© un certain nombre de freins Ă la rĂ©daction de leur avis motivĂ©. Afin de limiter lâautocensure que ces difficultĂ©s gĂ©nĂšrent, une nouvelle fiche de recueil de cet avis motivĂ© a notamment Ă©tĂ© texte complet de cet article est disponible en at work and its compensation as occupational disease are a matter of public health. The occupational physician's reasoned opinion is systematically looked for and included in the cases for the regional committee of occupational disease compensation CRRMP. The aim of this study was to describe occupational physicians practice with regard to the professional accountability of mental health disorders, through the analysis of the drafting of their reasoned opinion. A descriptive analysis of 91 cases from the CRRMP of Brittany was carried out as well as a practice analysis by semi-structured interviews with 13 occupational physicians. We reported a strong concordance between the opinion of the occupational physician and the final decision of the CRRMP, and a significant statistical association between the arguments developed by the physician to support the direct link but not the essential link, and the compensation decision. Despite this, the physicians interviewed mentioned a number of obstacles to the drafting of their reasoned opinion. In order to limit the self-censorship that these difficulties generate, a new form for collecting this reasoned opinion has been texte complet de cet article est disponible en clĂ©s Affections psychiques, Maladie professionnelle, Avis motivĂ© du mĂ©decin du travail, CRRMPKeywords Mental health disorders, Occupational disease, Reasoned opinion of occupational physicians, Regional committee of occupational disease compensationPlan© 2020 Elsevier Masson SAS. Tous droits rĂ©servĂ©s.
AlléeDécoration et Aménagement du Salon BatiExpo Vannes 2022. Entreprises et Artisans du Morbihan dont les métiers sont: Décoration et Aménagement, Architecte d'Intérieur, Mobilier, Tissus, Idée Déco, Aménagement.