PoĂ©siepour la 4eme Primaire : Dans un coin le sapin – Apprendre ses poĂ©sies autrement Dans un coin, le sapin A des branches toutes blanches. Dans un coin, le sapin Attend NoĂ«l pour demain. Les flocons tournent en rond C’est le manĂšge de la neige Les flocons tournent en rond Mon jardin est en coton. Le traĂźneau, tout lĂ -haut Quelle
Fable de NoĂ«l Nouvelle de NoĂ«l Le Petit Sapin L’arbre de NoĂ«l de Hans Christian Andersen 1844 Contes de fĂ©es de NoĂ«l pour enfants Texte intĂ©gral traduit français LittĂ©rature française Le sapin » ou L’arbre de NoĂ«l » original danois GrantrĂŠet est une histoire de NoĂ«l pour enfants de l’écrivain et poĂšte danois Hans Christian Andersen, publiĂ©e pour la premiĂšre fois en 1844. Le conte de NoĂ«l Le Sapin » ou Le Sapin de NoĂ«l » de Hans Christian Andersen est l’histoire d’un petit sapin qui a hĂąte de devenir aussi grand et majestueux que les sapins adultes qui l’entourent. Le petit sapin, toujours tournĂ© vers les choses du futur et constamment soucieux de grandir, n’arrive jamais Ă  apprĂ©cier les petites choses qui se passent dans le prĂ©sent. MĂȘme le petit sapin, comme les autres, a voulu devenir un sapin de NoĂ«l pour dĂ©corer les maisons de la ville, mais une fois qu’il en devient un
 Ci-dessous, le texte intĂ©gral de la nouvelle de Hans Christian Andersen » Le Petit Sapin » en français. En cliquant ici, vous pouvez lire la nouvelle de Hans Christian Andersen » Le Petit Sapin » traduit en anglais Nuit de NoĂ«l. Dans le menu en haut ou Ă  cĂŽtĂ©, vous trouverez la nouvelle de Hans Christian Andersen » Le Petit Sapin » traduit en d’autres langues allemand, italien, espagnol, chinois, etc. Bonne lecture et bonne famille. Hans Christian Andersen Toutes les histoires > ici Les textes de toutes les chansons, les Nouvelles et les poĂšmes de NoĂ«l > ici Tous les contes et fables de fĂ©es > ici Contes de fĂ©es de NoĂ«l pour enfants Hans Christian Andersen Nouvelle de NoĂ«l Le Petit Sapin L’arbre de NoĂ«l Texte intĂ©gral traduit français Au milieu d’une forĂȘt, en une belle place bien aĂ©rĂ©e et Ă©clairĂ©e par le soleil, croissait un charmant petit sapin. Tout autour de lui se trouvaient une quantitĂ© de camarades plus ĂągĂ©s et par consĂ©quent plus grands que lui des pins altiers et des chĂȘnes Ă©normes. Le plus ardent dĂ©sir du petit sapin Ă©tait d’égaler en hauteur ses voisins. Ce dĂ©sir Ă©tait tel qu’il ne faisait plus attention au brillant soleil et au ciel bleu ; les joyeux enfants du voisinage qui, en chantant et babillant, cueillaient des fraises et des framboises, passaient inaperçus devant lui. Souvent, quand ils avaient fait de fruits ample provision, ils venaient s’asseoir auprĂšs du petit sapin en disant — Comme il est joli et mignon ! Ah ! le beau petit arbre ! Ces paroles, qui auraient dĂ» lui plaire, le remplissaient de dĂ©pit. — Petit, disait-il, toujours petit ! Chaque annĂ©e, au printemps, il faisait une poussĂ©e, et l’annĂ©e suivante, une poussĂ©e encore. Il eĂ»t voulu en faire dix. — Oh ! que je voudrais donc ĂȘtre grand, soupirait-il ; j’étendrais mes branches au loin et de ma cime je dominerais le monde ! Les oiseaux construiraient leurs nids dans mon feuillage, et, lorsque le vent souffle, je saurais m’incliner avec autant de majestĂ© et de grĂące que mes orgueilleux camarades. Ces mauvaises pensĂ©es le rendaient insensible Ă  tout ce qui aurait dĂ» le charmer. Il ne se souciait plus ni des concerts joyeux des oiseaux qui chantaient dans les feuilles, ni des beaux nuages pourprĂ©s qui matin et soir flottaient au-dessus de lui, dans l’azur des cieux. L’hiver arriva et avec lui la neige blanche et Ă©tincelante. Souvent un liĂšvre, poursuivi par les chasseurs, franchissait d’un saut le petit sapin, et cette familiaritĂ© blessait au vif son orgueil. AprĂšs deux hivers, il avait grandi assez pour que les liĂšvres fussent obligĂ©s de passer sous ses branches. Ce progrĂšs Ă©tait trop lent Ă  son grĂ©. Pousser, grandir et devenir vieux, c’est ce qu’il y a au monde de plus beau, pensait l’arbre. En automne vinrent des bucherons qui abattirent quelques-uns des plus grands arbres ; tous les ans ils en firent autant. Le jeune sapin ne les voyait plus qu’avec terreur ; car les grands et magnifiques arbres tombaient avec fracas sous leurs cognĂ©es. On en coupait les branches, et ils avaient alors l’air si nus et si dĂ©charnĂ©s qu’on pouvait Ă  peine les reconnaĂźtre. Puis on les chargeait sur une voiture, et les chevaux les traĂźnaient hors de la forĂȘt. — OĂč allaient-ils ? que devenaient-ils ? Au printemps, lorsque les hirondelles et les cigognes revenaient, l’arbre de leur dire — Ne savez-vous pas oĂč on les a conduits, ne les auriez-vous pas rencontrĂ©s ? Les hirondelles n’en savaient rien, mais une cigogne, rĂ©flĂ©chissant un peu, rĂ©pondit — Je crois le savoir ; en m’envolant de l’Égypte, j’ai rencontrĂ© plusieurs navires ornĂ©s de mĂąts neufs et magnifiques ; je crois que c’étaient eux ils exhalaient une forte odeur de sapin. Comme ils Ă©taient fiers de leur nouvelle position ! — Oh ! si j’étais assez grand pour naviguer sur la mer ! Dites-moi, comment est la mer ? À quoi ressemble-t-elle ? — Ce serait trop long Ă  expliquer, dit la cigogne, et elle s’envola. — RĂ©jouis-toi de ta jeunesse, lui disaient les rayons du soleil. RĂ©jouis-toi de la beautĂ©, et de ta vie pleine de sĂšve et de fraicheur ! Et le vent caressait l’arbre, et la rosĂ©e rĂ©pandait ses larmes sur lui, mais le sapin n’y prenait point intĂ©rĂȘt. Vers la NoĂ«l les bucherons coupaient souvent de jeunes arbres, qui n’étaient pas mĂȘme aussi grands que notre sapin. Comme les autres ils Ă©taient chargĂ©s sur une voiture et traĂźnĂ©s par des chevaux hors de la forĂȘt. — OĂč vont-ils ? demanda le sapin. Il y en a qui sont plus petits que moi ; on leur a laissĂ© toutes leurs branches. OĂč vont-ils ? — Nous le savons bien, nous le savons bien, gazouillĂšrent les moineaux. Nous avons Ă©tĂ© dans la ville, et nous avons regardĂ© Ă  travers les fenĂȘtres. Ils sont arrivĂ©s au plus haut point du bonheur et de la magnificence ; on les a plantĂ©s au milieu d’une belle chambre bien chauffĂ©e pour les orner ensuite de pain d’épices, de bonbons, de joujoux et de cent lumiĂšres. — Et puis
 demanda le sapin en frĂ©missant de toutes ses branches ; et puis qu’est-il arrivĂ© ? — C’est tout ce que nous avons vu, mais c’était bien beau ! — Est-ce que moi aussi je serais destinĂ© Ă  une carriĂšre aussi brillante ? pensa le sapin ; cela vaudrait encore mieux que de naviguer sur la mer. Oh ! que le temps est long ! Quand serons-nous Ă  NoĂ«l, pour que je parte avec les autres ? Je me vois dĂ©jĂ  dans une belle chambre bien chaude, chargĂ© d’ornements. — Et ensuite
 — Oui, ensuite il viendrait probablement quelque chose de mieux encore ; sans cela pourquoi nous parer avec tant de luxe ? Comme je suis curieux de savoir ce qui m’arriverait, je souffre d’impatience ; vraiment je suis bien malheureux ! — RĂ©jouis-toi lui disaient le ciel et les rayons du soleil rĂ©jouis-toi de ta jeunesse qui fleurit au sein de la nature paisible. Toujours inquiet, le sapin, croissait toujours. Son feuillage devenu plus Ă©pais et d’un beau vert attirait les yeux du passant, qui ne pouvait s’empĂȘcher de dire Quel bel arbre ! » NoĂ«l arriva et il fut choisi le premier. La hache le frappa au cƓur. AprĂšs un soupir, il tomba presque Ă©vanoui. Au lieu de penser Ă  son bonheur, il se sentit tout affligĂ© de quitter le lieu de sa naissance. Il savait qu’il ne reverrait plus ses anciens camarades, les petits buissons, les gracieuses fleurs, qui l’avaient entourĂ©, peut-ĂȘtre pas mĂȘme les oiseaux. Son dĂ©part le rendait tout triste. L’arbre ne revint Ă  lui qu’au moment oĂč avec plusieurs autres il fut dĂ©chargĂ© dans une grande cour. Un homme arriva et dit en le dĂ©signant Celui-ci est magnifique ; c’est ce qu’il nous faut. » Vinrent ensuite deux domestiques en superbe livrĂ©e, qui portĂšrent le sapin dans le salon d’un grand seigneur ; partout des tableaux d’un grand prix, sur la cheminĂ©e des porcelaines de Chine ; les meubles Ă©taient d’ébĂšne et garnis de satin ; les tables couvertes d’objets d’art, de livres illustrĂ©s et de magnifiques gravures. — Il y en a pour cent fois cent Ă©cus, disaient les enfants. On planta le sapin dans une grande caisse pleine de sable ; cette caisse Ă©tait recouverte et comme vĂȘtue d’étoffes de mille couleurs. Oh ! comme il tremblait ! que devait-il donc lui arriver ? Les enfants et les domestiques se mirent Ă  l’orner. Ils suspendirent Ă  ses branches de petits cornets de papier dorĂ© remplis de bonbons. Ensuite ils y attachĂšrent des pommes et des noisettes argentĂ©es, toutes sortes de joujoux et plus de cent petites bougies rouges, bleues et blanches. Des poupĂ©es qui ressemblaient Ă  de vĂ©ritables enfants, telles que l’arbre n’en avait jamais vues, se reposaient sur ses branches, et, au sommet de sa couronne, Ă©tincelait une Ă©toile semblable Ă  un diamant. Quel luxe ! quelle splendeur ! — Ce soir, s’écriĂšrent les enfants, comme il sera beau et brillant de lumiĂšres ! — Oh ! pensa l’arbre, je voudrais dĂ©jĂ  ĂȘtre Ă  ce soir, et que toutes les bougies fussent allumĂ©es ; mais qu’arrivera-t-il aprĂšs ? Les autres arbres de la forĂȘt viendront-ils me regarder ; les moineaux me verront-ils Ă  travers la fenĂȘtre ; resterai-je ici, hiver et Ă©tĂ©, toujours parĂ© ainsi ? Pauvre sapin, qu’il devinait mal ! Et cependant ces rĂ©flexions Ă©taient un supplice pour lui. Le soir arriva, et les bougies furent allumĂ©es. Quelle magnificence ! L’arbre tremblait si fort qu’une bougie en tombant mit le feu Ă  l’une de ses branches — Aie ! aie ! s’écria-t-il en frĂ©missant. — Au secours, au secours ! criĂšrent les enfants. Les domestiques accoururent et Ă©teignirent le feu. DĂšs ce moment l’arbre n’osa plus trembler ; il avait peur d’endommager sa parure ; il Ă©tait tout Ă©tourdi de sa splendeur. Tout Ă  coup les portes s’ouvrirent et une joyeuse troupe d’enfants se prĂ©cipita dans le salon. DerriĂšre eux venaient les parents. D’abord les petits restĂšrent muets d’admiration Ă  la vue de l’arbre de NoĂ«l ; mais bientĂŽt ils commencĂšrent Ă  pousser des cris de joie, et se mirent Ă  danser en rond autour de lui. BientĂŽt le tirage des lots commença. Chacun avait son numĂ©ro ; peu Ă  peu l’arbre se dĂ©garnit. À mesure qu’un numĂ©ro Ă©tait appelĂ© il perdait un de ses joyaux, qui, de ses branches, passait aux mains Ă©mues des enfants. — Que font-ils ? pensa l’arbre ; que va-t-il m’arriver ? Cependant tout ce qu’il avait eu de plus prĂ©cieux avait peu Ă  peu Ă©tĂ© dĂ©tachĂ© de ses branches, les bougies aussi se consumĂšrent et furent Ă©teintes l’une aprĂšs l’autre. Alors les parents permirent le pillage des menus objets et des bonbons qui restaient. Les enfants ne se le firent pas dire deux fois. Ils se jetĂšrent sur le sapin avec tant d’impĂ©tuositĂ© qu’il eĂ»t Ă©tĂ© renversĂ©, si son Ă©toile qui le fixait au plafond ne l’eĂ»t retenu. AprĂšs l’avoir complĂštement dĂ©pouillĂ© de ses ornements, les jeunes pillards se remirent Ă  danser et Ă  jouer ; et personne ne fit plus attention Ă  l’arbre, si ce n’est la vieille bonne, qui vint regarder si l’on n’y avait pas laissĂ©, par hasard, une orange ou une figue dont elle pĂ»t faire son profit. — Une histoire ! une histoire ! s’écriĂšrent les enfants, et ils attirĂšrent vers l’arbre un bon et gai vieillard qui s’était fait le compagnon de leurs jeux malgrĂ© son Ăąge, et qui s’assit. — Nous sommes lĂ  sous un arbre, dit-il. Ce pauvre sapin coupĂ© nous reprĂ©sente une forĂȘt et peut-ĂȘtre pourra-t-il profiter de ce que je vais vous raconter. Je ne vous dirai qu’une seule histoire. Voulez-vous celle d’IvĂšde-AvĂšde, ou celle de Cloumpe-Doumpe qui roula en bas d’un escalier ; ce qui ne l’empĂȘcha pas d’arriver plus tard Ă  de grands honneurs, et d’épouser une princesse. — IvĂšde-AvĂšde, criĂšrent les uns ; Cloumpe-Doumpe, dirent les autres. Et le bonhomme raconta l’histoire de Cloumpe-Doumpe qui roula en bas d’un escalier et Ă©pousa une princesse. Les enfants applaudirent en criant Encore une ! encore une ! » Ils voulaient entendre aussi celle d’IvĂšde-AvĂšde ; mais ils furent obligĂ©s de se contenter de Cloumpe-Doumpe. Cependant le sapin restait muet et pensif ; jamais les oiseaux de la forĂȘt ne lui avaient racontĂ© rien de pareil. — Cette histoire doit ĂȘtre vraie, se dit-il, car celui qui l’a racontĂ©e m’a l’air d’un bien honnĂȘte homme. Qui sait si, moi aussi, je ne finirai pas par rouler en bas d’un escalier et par Ă©pouser une princesse. Demain ils vont probablement m’orner de nouveau, me couvrir de lumiĂšres, de joujoux, d’or et de fruits ; je me redresserai fiĂšrement et j’entendrai encore une fois l’histoire de Cloumpe-Doumpe et peut-ĂȘtre celle d’IvĂšde-AvĂšde par-dessus le marchĂ©. Puis il s’abandonna Ă  ses pensĂ©es, et resta toute la nuit sombre et silencieux. Le lendemain matin, les domestiques entrĂšrent dans le salon. — Ils vont me faire une nouvelle toilette, pensa l’arbre. Mais il fut traĂźnĂ© hors de la chambre, montĂ© dans le grenier et jetĂ© dans un coin obscur. — Qu’est-ce que cela signifie, se demanda-t-il ; que vais-je faire ici ? Et il s’appuya contre le mur en rĂ©flĂ©chissant. En vĂ©ritĂ©, il avait le temps de rĂ©flĂ©chir ; car les jours et les nuits se passĂšrent sans que personne entrĂąt dans le grenier lorsqu’on y vint un jour, c’était pour chercher quelques vieilles caisses, le sapin restait oĂč il Ă©tait ; on l’eĂ»t dit complĂštement oubliĂ©. — Maintenant nous sommes en hiver, pensa-t-il, la terre durcie est couverte de neige, il faut qu’on attende le printemps pour me planter ; c’est pour cela sans doute qu’on m’a mis Ă  l’abri ; les hommes sont vraiment bons, et ils savent prendre leurs prĂ©cautions ; seulement, c’est dommage que ce grenier soit triste et si abandonnĂ© pas mĂȘme un petit liĂšvre. C’était pourtant bien gentil, lorsque dans la forĂȘt un petit animal venait jouer sous mon ombre, ou quand des oiseaux babillards venaient se dire leurs secrets sur mes branches. Il est vrai que dans ce temps-lĂ  je m’en fĂąchais ; ah ! que j’avais donc tort. Ici, rien de tout cela ; je m’ennuie horriblement ! Pip ! pip ! firent deux petites souris qui sortaient de leur trou, accompagnĂ©es bientĂŽt d’une troisiĂšme. Elles flairĂšrent le sapin et se glissĂšrent dans ses branches. — Quel terrible froid, dit l’une, n’est-ce pas, mon vieux sapin ? — Je ne suis pas vieux du tout, rĂ©pondit l’arbre, il y en a de bien plus ĂągĂ©s que moi. — D’oĂč viens-tu ? que sais-tu ? as-tu vu les plus beaux pays du monde ? Connais-tu l’office, ce bon endroit oĂč de nombreux fromages sont couchĂ©s sur des planches, oĂč sont suspendus tant de jambons ; lĂ  oĂč l’on danse sur des paquets de chandelles, oĂč l’on entre maigre et d’oĂč l’on sort gras ? — Je ne connais rien de tout cela, mais je connais la forĂȘt oĂč le soleil brille au milieu des arbres, et oĂč les oiseaux chantent gaiement leur refrain. Puis il raconta sa jeunesse ; et les petites souris, qui n’avaient, jamais rien entendu de semblable s’écriĂšrent — Comme tu es heureux d’avoir vu toutes ces belles choses ! — Oui, dit le sapin, dans ce temps-lĂ , il est vrai, j’étais assez heureux. Puis il leur raconta son aventure du soir de NoĂ«l, sans oublier la magnificence avec laquelle on l’avait ornĂ©. Les petites souris l’écoutaient avec plaisir. — Tu sais raconter d’une maniĂšre charmante, dirent-elles. Et la nuit suivante elles revinrent avec quatre de leurs compagnes pour que le sapin leur rĂ©pĂ©tĂąt son histoire. L’arbre raconta de nouveau, et ajouta tout bas cette rĂ©flexion — Oui, c’était un temps bien heureux, et il peut revenir encore. Cloumpe-Doumpe roula bien en bas de l’escalier, ce qui ne l’empĂȘcha pas d’épouser une princesse. Et ce disant, il pensa Ă  une petite aubĂ©pine qui poussait dans la forĂȘt, et qui lui semblait une vĂ©ritable princesse. La nuit suivante, il eut un auditoire encore plus nombreux, et, le dimanche d’aprĂšs, deux gros rats se joignirent aux souris pour l’écouter. — Vous ne savez que cette histoire ? demandĂšrent les rats. — Rien que celle-lĂ , et le soir oĂč je l’entendis pour la premiĂšre fois fut le moment le plus heureux de ma vie. — Elle n’est pourtant pas bien intĂ©ressante ; n’en sauriez-vous pas une autre qui parlĂąt de lard et de chandelle ou qui concernĂąt l’office ? — Non, rĂ©pondit l’arbre. — En ce cas merci et portez-vous bien, dirent les rats, et ils s’en retournĂšrent chez eux. Peu Ă  peu les souris disparurent aussi et l’arbre resta seul de nouveau. — C’était pourtant bien gentil, se dit-il, lorsque les petites souris venaient s’asseoir autour de moi pour m’entendre raconter ; maintenant cela aussi est fini ! Comme je serai content, lorsqu’on me retirera d’ici ! En effet il fut retirĂ© du grenier. Un matin les domestiques arrivĂšrent et le descendirent dans la cour. — Je revis enfin, pensa l’arbre, en sentant le grand air et les rayons du soleil ; et, dans sa joie, il oubliait de se regarder lui-mĂȘme. La cour aboutissait Ă  un jardin magnifique. Les roses et le chĂšvrefeuille se montraient Ă  travers le grillage, l’air Ă©tait embaumĂ© de leurs doux parfums. Sous les tilleuls les hirondelles volaient en chantant Quiirrevire vite ! mon mari est venu ! » Mais en chantant ainsi elles ne pensaient guĂšre au sapin. — Je me sens revivre, disait-il toujours, en Ă©tendant ses branches, sans s’apercevoir qu’elles Ă©taient jaunies et dessĂ©chĂ©es, et que lui-mĂȘme se trouvait dans un coin au milieu des orties. Cependant il avait conservĂ© Ă  son sommet l’étoile dorĂ©e, qui brillait au soleil. Dans la cour jouaient quelques-uns de ces joyeux enfants, qui, dans la soirĂ©e de NoĂ«l, avaient dansĂ© autour de l’arbre ; le plus petit courut vers lui et arracha l’étoile. — Regardez ce que j’ai trouvĂ© sur ce vilain vieux sapin, s’écria-t-il, en marchant sur les branches qu’il faisait craquer sous ses pieds. L’arbre se regarda et soupira. Ah ! qu’il se trouva laid en effet Ă  cĂŽtĂ© des arbres et des fleurs qui vivaient, fleurissaient et verdissaient Ă  quelques pas de lui. Il eĂ»t voulu se cacher dans le coin obscur du grenier ; il pensait Ă  sa vivante et calme jeunesse dans la forĂȘt, aux gloires de la NoĂ«l, et aux aimables visites des petites souris qui Ă©taient venues entendre l’histoire de Cloumpe-Doumpe. — HĂ©las ! hĂ©las ! dit-il, j’ai Ă©tĂ© heureux, j’ai tenu le bonheur et je n’ai pas su en jouir. Tout est fini pour moi. BientĂŽt vint un homme qui coupa le sapin en petits morceaux, en fit un fagot, le porta dans la cuisine, et le mit sous la marmite. En se sentant dĂ©vorĂ© par le feu, il poussa, en pĂ©tillant, soupirs sur soupirs. Il se rappelait les beaux jours d’étĂ© dans la forĂȘt, les nuits d’hiver lorsque les Ă©toiles Ă©tincelaient au ciel ; toute sa vie passa dans sa mĂ©moire comme un rĂȘve. — Quelques instants aprĂšs l’arbre n’était plus que cendres et poussiĂšre. Cependant les enfants jouaient toujours au jardin et le plus jeune avait attachĂ© sur sa poitrine l’étoile dorĂ©e que le sapin vaniteux avait portĂ©e pendant la soirĂ©e la plus brillante de sa vie. C’était lĂ  tout ce qui restait du pauvre arbre. 
 .. . Conte de fĂ©es de NoĂ«l Le Petit Sapin – L’arbre de NoĂ«l de Hans Christian Andersen 1844 Contes de fĂ©es de NoĂ«l pour enfants Nouvelle fantastique – Fable de NoĂ«l Texte intĂ©gral traduit français LittĂ©rature danoise Le Petit Sapin version anglaise > ici Tous les contes et fables de fĂ©es > ici Toutes les fĂ©es de NoĂ«l et du Nouvel An > ici Hans Christian Andersen Toutes les histoires > ici Hans Christian Andersen Hans Christian Andersen Odense, 2 avril 1805 – Copenhague, 4 aoĂ»t 1875 est un romancier, dramaturge, conteur et poĂšte danois, cĂ©lĂšbre pour ses nouvelles et ses contes de fĂ©es ». Les contes les plus connus Le Vilain Petit Canard La Petite Fille aux allumettes Le Petit Sapin Les Habits neufs de l’empereur ou Les Habits neufs du Grand-Duc, Le Nouveau Costume de l’Empereur Le StoĂŻque Soldat de plomb ou L’IntrĂ©pide Soldat de plomb La BergĂšre et le Ramoneur dont est tirĂ© le dessin animĂ© Le Roi et l’Oiseau de Paul Grimault et Jacques PrĂ©vert La Reine des neiges La Princesse au petit pois ou La Princesse sur le pois, la princesse au pois, La Princesse sur un pois, ou encore, La Vraie Princesse Les Cygnes sauvages La Malle volante ou Le Coffre volant La Petite Poucette La Petite SirĂšne Le Briquet dont l’adaptation en dessin animĂ© date de 1946. Grand Claus et Petit Claus Le Crapaud L’Heureuse Famille La Grosse Aiguille Les Fleurs de la petite Ida Une semaine du petit elfe Ferme-l’ƒil Le Compagnon de voyage Les Chaussons rouges La PĂąquerette Le Rossignol et l’Empereur de Chine Le ScarabĂ©e vaniteux La Colline aux Lutins Le Jardin du Paradis La Princesse et le Porcher Le Bonhomme de Neige
Dansun coin, le sapin Trois petits sapins Et dans mes bottes Petits lutins Le NoĂ«l du sapin: Je serai PĂšre NoĂ«l Dans la hotte du pĂšre NoĂ«l Le pĂšre NoĂ«l est enrhumĂ© Qu'est-ce qui te prend PĂšre NoĂ«l? Petits lutins. Chroniques 2013. A Pierre Bastide, Jaco reconnaissant. ForcĂ©ment, ce blog qui ne tient que sur la saveur du terroir et un JamarbĂ«r Marko PubliĂ© le 11 Septembre 2007 par SIMBAD dans PoĂ©sie albanaise Poezi shqipe JamarbĂ«r Marko Photo de DiplĂŽmĂ© en littĂ©rature et journalisme en 1974 Ă  Tirana, il fut condamnĂ© Ă  sept ans de prison l'annĂ©e suivante, pour avoir exprimĂ© son mĂ©contentement envers le Parti Communiste Albanais. Mais surtout pour ĂȘtre le fils... Lire la suite PoĂštes albanais PubliĂ© le 16 Avril 2007 par SIMBAD dans PoĂ©sie albanaise Poezi shqipe Albana Melyshi - Lifschin VOL D'AME Un verre de vin J'ai bu hier soir Avec un poĂšte Et j’ai vu comment Magiquement son Ăąme Il a versĂ© dans son verre. Et comme un voleur Les verres j’ai changĂ© Et son Ăąme j’ai volĂ© 
 13 avril 2007 Traduit de l’albanais... Lire la suite Primo Shllaku PubliĂ© le 31 Mars 2007 par SIMBAD dans PoĂ©sie albanaise Poezi shqipe UNE PLAIE VoilĂ , ceci Ă©tait mon sang. L'instant d'avant il courait dans mon coeur. Prend ce sang et mets-le sur ton ciel comme un soleil. Si ça ne marche pas, mets-le comme une lune. Si ça ne marche toujours pas, mets-le tel qu'il est, comme du sang qui... Lire la suite PoĂšsie albanaise PubliĂ© le 24 FĂ©vrier 2007 par SIMBAD dans PoĂ©sie albanaise Poezi shqipe kolec traboini poĂšte albanais aqu are lle je dessinerai l’arcade de ta porte le coin de la rue ou ce matin tu es passĂ©e, le vert sapin ou tu as couchĂ© ton regard la flamme d’un Ă©clair qui nous a embrasĂ©. je jetterai sur l’aquarelle les gouttes de... Lire la suite

Progressionannuelle poésies : 2eme Primaire - Apprendre ses poésies autrement L'école est fermée George Jean Vent d'automne Pierre Menanteau Le cancre Jacques Prévert Dans un coin le sapin Ch. Gloasgen & A-M. Grosser Le bonhomme de neige Corinne Albaut La cigale et la fourmi Jean de La Fontaine Un peintre Michel Beau Voir les fiches Télécharger les documents

À partir de 2 ans 32 pages Dans son genre, c’était un loup vraiment rusĂ©, il attendait au coin de ma rue. Tout velours. Il connaissait mon chemin prĂ©fĂ©rĂ©, par cƓur. Et personne ne l’a vu s’approcher de moi. Pourtant, c’était le plein jour. LĂ , il n’a pas grognĂ©, pas hurlĂ©, il a juste souri des dents avant de m’avaler. Sous la plume unique de Thomas Scotto et les illustrations enjouĂ©es de Carmen Mok. ThĂ©matiques loup, conformisme, entraide Pour les enseignants Comment faire Ă©quipe et contrer le malheur. Renseignements supplĂ©mentaires ISBN 978-2-924645-51-2 DistribuĂ© au Canada par et en Europe par Harmonia Mundi Livre 21,95 $ Dans son genre, c’était un loup vraiment rusĂ© [
] Il connaissait mon chemin prĂ©fĂ©rĂ©, par cƓur. Et personne ne l’a vu s’approcher de moi. Pourtant, c’était le plein jour. LĂ , il n’a pas grognĂ©, pas hurlĂ©, il a juste souri des dents avant de m’avaler. » Une fillette se retrouve ainsi parachutĂ©e dans le ventre du loup oĂč, aprĂšs un long moment Ă  regarder le noir, elle dĂ©couvre les AvalĂ©s. D’autres, comme elle, prisonniers du canidĂ©. S’amorce alors une aventure pendant laquelle l’étrange douceur de ce petit monde se mĂȘle Ă  l’envie de retrouver la lumiĂšre. Avec Dans le ventre du loup, Thomas Scotto revisite le mythique conte en insistant sur la dĂ©brouillardise de la petite, offrant une perspective lumineuse de ce personnage si souvent mise en scĂšne. Le style teintĂ© de spontanĂ©itĂ© et de poĂ©sie ajoute Ă  la singularitĂ© et Ă  la beautĂ© de l’histoire. Les illustrations rondouillettes et candides de Carmen Mok assurent quant Ă  elles un effet enveloppant Ă  l’ensemble. Mignon. Marie Fradette Le devoir Thomas Scotto revisite ici librement un conte bien cĂ©lĂšbre mais en optant pour un autre point de vue une fois que la petite fille vĂȘtue de rouge se fait avaler par le loup. Dans le conte classique, on assiste Ă  l’arrivĂ©e du chasseur et de son idĂ©e pour ouvrir le ventre du loup. Ici, l’auteur se place du point de vue de la fillette. Que se passe-t-il une fois dans le ventre ? On continue d’exploiter ici l’image du grand mĂ©chant loup toujours affamĂ© et prĂ©sentant un danger pour les enfants dans l’idĂ©e d’avertir sur les prĂ©dateurs. Mais cette fois-ci ce qui change, c’est qu’on propose une petite fille dĂ©brouillarde, force de proposition, et capable de fĂ©dĂ©rer un groupe afin d’unir ses forces pour s’en sortir. Ensemble on va plus loin. Ensemble on est plus fort. A force de discours persuasif, elle y arrive. J’ai apprĂ©ciĂ© ce changement de point de vue et cette volontĂ© de prouver que la solidaritĂ© porte ses fruits ainsi que la spontanĂ©itĂ© de la jeune fille. Le texte de Thomas Scotto est emprunt de poĂ©sie dans sa forme. Le texte est rythmĂ©, Ă©nergique. Les illustrations de Carmen Mok retranscrit bien la fraĂźcheur de l’hĂ©roĂŻne. Le trait est dynamique et les couleurs dans des tons doux accompagnent l’ambiance poĂ©tique du texte. Dans le ventre du loup » est une sorte de réécriture du cĂ©lĂšbre conte Le Petit Chaperon Rouge », qui n’est pas sans rappeler par ailleurs un Ă©pisode de Pinocchio » souvenez-vous, celui-ci est Ă  un moment donnĂ© avalĂ© par une baleine. En plus moderne et plus colorĂ©e, notre hĂ©roĂŻne se fait manger toute crue par un loup qui l’attendait au coin de la rue ; une maniĂšre de faire qui ressemble bien aux prĂ©dateurs d’aujourd’hui. SignĂ© Thomas Scotto et Carmen Mok aux Ă©ditions d’Eux, Dans le ventre du loup » est une façon ludique de faire de la prĂ©vention, d’expliquer aux enfants de ne pas faire confiance aux inconnus et d’apprendre Ă  rĂ©agir. Avec cette nouvelle Ă©dition nous allons voyager dans le ventre du loup... Une revisite du cĂ©lĂšbre conte insistant sur la dĂ©brouillardise de la petite fille.. Les illustrations et l’histoire sont d’une beautĂ© L’histoire ne fait pas peur du tout... C’est un loup trĂšs rusĂ©, personne ne le remarque... Aucun grognement, hurlement juste un sourire et il avala la petite fille.. Une premiĂšre lecture nous fait penser Ă  une histoire banale du petit chaperon rouge , la petite fille qui se fait manger par le loup . Mais un autre regard nous porte Ă  identifier diffĂ©remment le loup qui reste un prĂ©dateur mais pas celui du conte 
.. la petite fille va se montrer courageuse pour se sauver et sauver les autres avalĂ©s ». Elle va les pousser Ă  s’entraider et ne pas accepter leur sort . Une histoire d’entraide et de courage . J'ai mis des jours pour parvenir Ă  mettre des mots sur cet album... Il m'a complĂštement chamboulĂ©. J'y ai vu plusieurs niveaux de lectures et le mien, celui de l'adulte, Ă©tait difficile, tourmentĂ©. Je l'ai donc fait lire Ă  ma grande pioute, ĂągĂ©e de 7 ans. Voici son avis. Je vous livrerais ensuite le mien. ă€°ïž "C'est l'histoire d'une petite fille qui est observĂ©e par un loup rigolo. Mais en fait il ne l'est pas. Il va la suivre et lui donner des bonbons pour l'emmener avec lui. Comme les mĂ©chants dans la rue. Les inconnus. Ensuite elle est avalĂ©e par le loup et il y en a plein d'autres avec elle. Elle a peur la petite fille. Et le loup il est tranquille. Elle est trĂšs courageuse et va se sauver avec les autres. Tous ensemble. Et le loup c'est bien fait pour lui !". ă€°ïž Pour ma part, j'ai eu lu et ressenti une vĂ©ritable prĂ©vention, sensibilisation contre "les prĂ©dateurs/prĂ©datrices" Ă  l'affĂ»t. J'y ai lu l'enlĂšvement, la sĂ©questration et l'innommable puis la rĂ©silience, le courage, la solidaritĂ©. Avec du recul, je suis tellement admirable et reconnaissante qu'un tel album existe. C'est brillant et plein de finesse. La comprĂ©hension enfantine est beaucoup plus douce mais questionne tout de mĂȘme. C'est toute son originalitĂ© d'ailleurs. Les adultes pourront accompagner cette lecture Ă©tonnante, voire dĂ©stabilisante, afin de mettre des mots et de la prudence dans l'esprit des plus jeunes. J’adore les contes dĂ©tournĂ©s ! Que se passe-t-il une fois le petit chaperon rouge avalĂ© ? Et bien, croyez-moi, ça dĂ©mĂ©nage dans cet estomac ! Pour les jeunes lecteurs, ce sera l’occasion de retrouver des personnages qu’ils connaissent bien mais Ă  un moment passĂ© sous silence et pour cause. Mais il y a, dans cet album, un double niveau de lecture. Je me trompe peut-ĂȘtre mais j’y ai vu une mise en valeur de la parole. Si on te fait du mal, il faut parler, ne pas se laisser faire, avancer avec ceux qui ont vĂ©cu la mĂȘme situation. Ensemble, vous serez forts, vous serez libres, enfin, de laisser le mal derriĂšre vous. Mise en garde contre les prĂ©dateurs, valorisation de la parole, combativitĂ©, entraide et rĂ©silience, voilĂ  tout ce que contient ce petit album plein de finesse. J’ai adorĂ© ce texte Ă  mi-chemin entre le langage enfantin et la poĂ©sie. Les illustrations m’ont complĂštement charmĂ©e. Et ce message implicite, mĂȘme s’il n’est pas consciemment compris par les plus jeunes, restera gravĂ© en eux. Un message important, essentiel. Toujours parler
 Un trĂšs bel album, intelligent Ce n’est pas un Ă©niĂšme conte revisitĂ© du Petit Chaperon rouge que je vous propose aujourd’hui pour le mercredicestlejourdulivredesenfants de jenaipasdelivreprefere, c’est une trĂšs belle histoire d’entraide, de courage et de combativitĂ© ! DerriĂšre d’adorables illustrations se cache une thĂ©matique forte, un petit Chaperon intelligent et dĂ©brouillard, prĂȘt Ă  soulever des montagnes pour obtenir ce qu’elle veut, en renonçant au conformisme ! J’aurais du mal Ă  vous parler de ce superbe album sans aborder un autre niveau de lecture, celui de la combativitĂ© face Ă  une maladie insidieuse qui surgirait d’un coup, en tout cas, c’est ce que moi j’ai ressenti en tant qu’adulte mais le loup peut reprĂ©senter bien d’autres situations comme l’esclavage ou la sĂ©questration. Cela en fait un trĂšs bel album pour valoriser l’entraide et le courage et avec une hĂ©roĂŻne rĂ©solument moderne, dĂ©terminĂ©e et combative ! On ne perd que lorsque l’on renonce » Monika Feth Thomas Scotto se fait conteur. Et les habituĂ©s savent combien se rĂŽle lĂ  lui va comme un gant. Il reprend ici l’histoire si terrible du Petit Chaperon Rouge en nous permettant d’explorer les entrailles du prĂ©dateur. Celles oĂč les victimes sont rĂ©duites au silence, celles oĂč les souvenirs tout doux sont Ă©touffĂ©s et oubliĂ©s Ă  jamais. Mais loin d’ĂȘtre passive face Ă  cette injonction au silence, la jeune hĂ©roĂŻne s’agite et remue pour bouleverser l’ordre des choses et rĂ©affirmer sans plus attendre, le pouvoir des mots. Face Ă  cette nouvelle voix Ă  faire entendre aux lectrices et lecteurs, les crayons de Carmen Mok font naĂźtre une histoire qui voit se confronter le monde colorĂ© et joyeux de l’enfance et l’obscuritĂ© grise et noire du monstre qui sera bien mal en point au fil des pages. Une jolie maniĂšre d’adoucir la rĂ©alitĂ© cruelle de ce conte qui ne cesse de mettre en garde contre ceux et celles qui font dĂ©testablement usage de leur force et de leur pouvoir. Une belle alliance des mots et des images faisant se cĂŽtoyer la naĂŻvetĂ© et la maturitĂ© qui insufflent les plus grandes rĂ©voltes. Cette belle allĂ©gorie montre qu’il ne faut pas se laisser abattre et que l’union fait la force. Les illustrations de Carmen Mok, aux couleurs Ă©clatantes et aux personnages expressifs, rendent l’histoire encore plus prenante. Les illustrations sont adorables, teintĂ©es de jolies couleurs. J’ai adorĂ© le message autour de l’entraide mais aussi du fait de croire en soi pour rĂ©ussir Ă  atteindre son objectif. Un album qui montre simplement que parfois, un seul grain de sable peut tout changer. J’ai adorĂ© ! Qu'il est joli avec ses illustrations si touchantes et les nombreux messages sur le fait qu'on peut faire une mauvaise rencontre mais que rien ne nous empĂȘche de remonter si on en a la volontĂ©... L'union fait la force, ou encore le poids des mots etc... VĂ©ritablement un bel album ! Qui rejoint les recommandations Ă  glisser sous le sapin AvalĂ©e par le loup, l’hĂ©roĂŻne organise la rĂ©volte avec les autres victimes un peu blasĂ©es et dĂ©faitistes. Un conte dĂ©tournĂ© rĂ©jouissant. Sous des airs de Chaperon rouge, la petite hĂ©roĂŻne de Dans le ventre du loup » de Thomas Scotto, livre par exemple une forme d’appel Ă  la rĂ©bellion. Elle est Ă©tonnante cette version du petit chaperon rouge, dont elle est inspirĂ©e au dĂ©but, un mĂ©lange de ce conte et d’autres comme celui des sept chevreaux qui comme les hĂ©ros de ce livre finiront par sortir du ventre de ce petit loup glouton. Les images enfantines et douces, cachent cependant une histoire Ă  plusieurs degrĂ©s qui disent les dangers des inconnus mĂȘme et peut ĂȘtre surtout quand ils ont l’air gentils et la vigilance nĂ©cessaire qu’il faut garder. Une histoire, qui pourrait ĂȘtre cruelle mais qui au final se termine bien pour le plaisir de tous. Histoire et illustrations se combinent pour notre plus grand plaisir. RĂ©interprĂ©tation du conte classique du Petit Chaperon rouge, Dans le ventre du loup est Ă©crit Ă  hauteur d’enfant. En effet, les tournures de phrases sont malicieuses et rigolotes mais jamais puĂ©riles !, et une certaine poĂ©sie s’en dĂ©gage. Si les mots semblent tout droit sortis de la bouche d’une petite fille, il met en lumiĂšre des thĂ©matiques importantes Ă  aborder avec les plus jeunes l’entraide, le courage et la nĂ©cessitĂ© de s’exprimer lorsque l’on n’est pas d’accord ou lorsque l’on assiste Ă  une scĂšne qui nous rĂ©volte. Car ici, la fillette n’est pas que la simple victime passive de l’histoire originelle, elle quitte ce rĂŽle pour s’emparer des rĂȘnes de son propre sort et de celui des autres personnages, les sauvant tous sans hĂ©sitation ! L’illustratrice crĂ©e des ambiances tranchĂ©es entre la prison des croquĂ©s et le dehors. Par exemple, la premiĂšre est sombre, triste et vide, sans promesse d’avenir heureux tandis que le second est Ă©clatant de soleil et de vie. Le texte enjouĂ© de Thomas Scotto et les images rondes et aux couleurs vives de Carmen Mok mettent de cĂŽtĂ© l’aspect effrayant du fauve dĂ©voreur d’enfants, faisant de Dans le ventre du loup un moment de lecture amusant et plein de rebondissements ! J’adore les contes revisitĂ©s et celui ci rĂ©pond exactement Ă  la question que je me posais enfant si le petit chaperons rouge et sa mamie sont vivantes dans le ventre elle font quoi? » La rĂ©ponse mise en scĂšne, dans cet ouvrage pleins de spontanĂ©itĂ© et de poĂ©sie. Ûn joli message d’entraide et de persĂ©vĂ©rance un ouvrage aussi unique que la plume de son auteur thomas_scotto_auteur. Une revisite inattendue et lumineuse du conte classique, Ă  l'image des illustrations de carmenmokstudio. Entraide, courage et combativitĂ© sont au cƓur de cet album aux multiples interprĂ©tations. Le loup est-il un agresseur ? Un harceleur ? Une peur ? Ou encore une maladie ? Cet ouvrage permet de parler aux enfants de l'importance de ne pas se fier aux apparences, de ne jamais se taire et de ne jamais supporter l'insupportable. Voici un ouvrage trĂšs intelligent, qui offre deux niveaux de lectures, diamĂ©tralement opposĂ©s. Un premier, revisite le cĂ©lĂšbre conte du petit chaperon rouge. Bien que les illustrations de Carmen mok m'ont fait beaucoup sourire, notamment l'organisation d'un grand banquet des avalĂ©s, dans le ventre du loup, cette lecture n'en fĂ»t pas moins assez dĂ©routante par le second degrĂ© de lecture vers lequel nous tendons forcĂ©ment en tant qu'adulte. Ce deuxiĂšme niveau, vous l'aurez devinĂ©, est celui du prĂ©dateur d'enfant, qui guette jour aprĂšs jour sa proie, pour trouver le bon moment pour la kidnapper et la sĂ©questrer, pendant des jours, voire des annĂ©es. C'est un niveau de lecture qui est difficile je dois dire, surtout lorsque l'on relis cet ouvrage, puisque chaque passage est encore plus parlant. Le style est toutefois trĂšs poĂ©tique et spontanĂ©, et Thomas Scotto, met ici en lumiĂšre, la dĂ©brouillardise d'une petite fille, et l'Ă©lan de solidaritĂ© qu'elle rĂ©ussit Ă  provoquer grĂące Ă  son caractĂšre dĂ©jĂ  bien affirmĂ©. Une dĂ©couverte diffĂ©rente mais et qui peut ĂȘtre vraiment trĂšs utile. L’auteur, Thomas SCOTTO dit revisiter le mythique conte du petit chaperon rouge en insistant sur la dĂ©brouillardise de la petite fille. Est-ce par crainte d’effrayer les acheteurs car ce livre aborde les agressions sexuelles dans l’entourage proche des victimes, le silence des enfants Fais plus doucement
 tu l’énerves et c’est pas bon
 et finalement pour apporter de la lumiĂšre Ă  cette histoire, la rĂ©silience de la petite fille au bonnet rouge et des avalĂ©s. Ce sujet sensible est abordĂ© avec dĂ©licatesse en utilisant le conte du petit chaperon rouge et les illustrations apportent de la douceur pour ne pas effrayer les enfants. Il a adorĂ© l'histoire dans le ventre du loup, lui qui est en ce moment fan des histoires avec des loups. Une aventure drĂŽle qui marque l'entraide et comment faire Ă©quipe pour rĂ©ussir. Dans ce livre, l’auteur revisite le mythique conte avec un style plein de spontanéité et de poésie. Ideal Layette 193, p. 27 Un album trĂšs Ă©mouvant qui se termine sur une note d’espoir et deux pages en couleur aprĂšs des illustrations en nuances de gris et plutĂŽt rĂ©alistes qui font froid dans le dos. Un livre trĂšs fort. Je l’avais dĂ©jĂ  lu il y a quelques annĂ©es, la couverture Ă©tait diffĂ©rente et c’est une nouvelle traduction. Il s’appelait alors “L’étoile d’ Erika” Milan – 2003. Je ne l’ai pas sous la main, difficile donc de savoir si la traduction est trĂšs diffĂ©rente ou non En fait, vous pourrez trouver l’ancienne version sur Youtube. Je trouve la nouvelle version un peu plus “dynamique”. Dans cet album, le proverbe l’union fait la force » est mis Ă  l’honneur et dĂ©livre un vĂ©ritable message de courage. Bien sĂ»r, les rĂ©fĂ©rences au Petit Chaperon rouge sont nombreuses et le lecteur attentif saura retrouver les clins d’Ɠil nichĂ©s au creux des pages. Aussi, les illustrations toutes en rondeurs permettent de garder un climat apaisĂ© du dĂ©but et Ă  la fin, mĂȘme dans l’obscuritĂ© du ventre du loup, de quoi rassurer les plus jeunes et leur permettre de se focaliser sur l’humour et les dĂ©bats des personnages. Car, dans les Ă©changes, se comprend une autre rĂ©flexion celle du choix de combattre
 ou l’envie d’abandonner. L’album s’adresse ainsi Ă  tous, et mieux vaut tenter de lutter que de s’avouer perdant sans ne rien essayer. Dans le ventre du loup propose une lecture plurielle, qui permet d’ĂȘtre relu encore et encore pour en saisir Ă  chaque fois de nouvelles subtilitĂ©s. Deborah Mirabel Un album qui me laisse perplexe ... qui me laisse une sensation Ă©trange dans le ventre ... qui me bouleverse ! Une histoire qui ressemble au conte du petit chaperon rouge revisitĂ© ... les filles l'ont plus vu comme cela. En revanche moi je le vois comme l'histoire d'un prĂ©dateur d'enfants ... Un livre qui, du coup, est pour moi prĂ©ventif, qui peut ouvrir au dialogue, qui apporte ici un message rĂ©ellement important, malheureusement. Cette histoire Ă©voque aussi la force, la solidaritĂ© et l'entraide. Cependant j'aime beaucoup le coup de crayon de l'illustratrice ! CanidĂ© affamĂ© ? PrĂ©dateur ? Quel genre d’agresseur est vĂ©ritablement le loup du Petit Chaperon rouge ? Thomas Scotto revisite le fameux conte en nous plongeant dans une perspective et un point de vue diffĂ©rents, proposant ainsi une nouvelle lecture. Deux niveaux de lecture coexistent dans ce rĂ©cit. On y lit tout d’abord une réécriture dĂ©tournĂ©e du cĂ©lĂšbre conte, modernisĂ© et teintĂ© d’humour, dans laquelle on rencontre un Petit Chaperon Rouge combative, forte, dĂ©brouillarde et qui parvient Ă  fĂ©dĂ©rer tous les autres AvalĂ©s » du loup pour s’en libĂ©rer. Cette premiĂšre lecture, Ă©crite Ă  hauteur d’enfants, au style poĂ©tique mais spontanĂ©, met en garde ces derniers contre les dangers d’ĂȘtre face Ă  des personnes inconnues -ou pas-, prĂŽne l’entraide, le courage et l’importance de la parole. Un second niveau de lecture, plus profond mais bien plus difficile Ă  chaque relecture, parle des prĂ©dateurs d’enfants et des agressions sexuelles commises par l’entourage des victimes. Les illustrations douces, quelque peu enfantines et aux couleurs Ă©clatantes permettent d’attĂ©nuer le cĂŽtĂ© effrayant de l’histoire et la difficultĂ© des propos en en faisant une lecture amusante et pleine d’entrain. La fillette dĂ©borde d’énergie et de combativitĂ© et nous rappelle qu’il ne faut jamais perdre espoir et continuer Ă  se battre, toujours. Conte dĂ©tournĂ©, Dans le ventre du loup conserve sa vocation premiĂšre de conte en nous avertissant des dangers qui nous entourent. Sa double lecture permet de l’apprĂ©hender diffĂ©remment selon l’ñge du lecteur. Ce livre est un remake du petit chaperon rouge par un autre point de vue, on vit surtout l’histoire de ce qui ce passe Ă  l’intĂ©rieur du ventre du loup. Dans l’histoire on dĂ©couvre que la petite fille dĂ©couvre d’autres personnes dans le ventre et ils vont l’inviter Ă  grignoter quelques petites choses mais la petite fille ne supportait pas de rester dans ce ventre alors elle a dĂ©cidĂ© de se battre jusqu’au bout pour se sortir du ventre elle et ses nouveaux amis. Un livre trĂšs bien Ă©crit qui change de l’histoire traditionnelle, il fait beaucoup moins peur, il est aussi plus moderne, et les illustrations sont trĂšs belles. C’est une chouette histoire pour enfants pleine d’humour et qui change des histoires de loup plus classiques. Ici, la petite fille prend les devants, elle prend son courage Ă  deux mains, pour renverser la situation, sauver sa peau et celle des autres animaux coincĂ©s ici. Une petite hĂ©roĂŻne donc trĂšs courageuse, qui n’a pas froid aux yeux et qui prend son destin en main. Un modĂšle Ă  suivre pour tous les jeunes lecteurs ! C’est une histoire vraiment sympa et originale Ă  lire. Je pense qu’elle plaira beaucoup Ă  tous les jeunes enfants dĂšs 4 ans environ. Elle n’est pas trĂšs compliquĂ© Ă  comprendre, et elle est surtout inspirante ! De plus, les jeunes enfants pourront aussi faire le rapprochement entre cette histoire et les histoires de loup plus classiques comme Le Petit Chaperon rouge, ou Les trois petits cochons, par exemple. Les illustrations sont aussi trĂšs sympas et j’ai aimĂ© la tĂȘte du loup trĂšs expressive. L’ensemble est vraiment joli, avec de belles couleurs et un trait soignĂ©. C’est un plaisir pour tous les lecteurs ! Le Loup, source de rĂ©flexion Plus classique mais nĂ©anmoins rĂ©vĂ©lateur, Dans le ventre du loup, utilise l’image du vilain pour mettre l’accent sur la bravoure et la dĂ©termination dont peuvent faire preuve les enfants. Une chouette histoire oĂč le courage est au centre de tout ! Cette petite fille est un exemple ! Elle prend les choses en mains en se tirant d'une situation oĂč peu de choses semblent rĂ©alisables. Mais tout est possible avec du courage et de la dĂ©termination ! ⁠ Un album avec de jolies illustrations et un texte trĂšs agrĂ©able pour les jeunes lecteurs dĂšs 4 ans, et les plus grands Ă©galement ! ⁠ Dans ce livre, le mythe du Chaperon Rouge est revisitĂ©, insistant sur la dĂ©brouillardise de la petite. Pourtant dans son genre, le loup Ă©tait vraiment rusĂ© il connaissait son chemin par cƓur. En plein jour, sans hurlement, il s’est approchĂ© de la demoiselle, il lui a souri et l’a avalĂ©e. Personne ne l’a vu ! Que faire quand on est projetĂ© dans l’inconnu ? Sans force, on regarde le noir en se souvenant du dehors. Puis on apprivoise les ombres ! Et alors, un sentiment de colĂšre et surtout d’entraide vous aide Ă  sortir de cette situation. La derniĂšre phrase du livre parlera Ă  tous les enfants qui ont subi un traumatisme. À mĂ©diter ! Le Journal de l’Animation ‱ MARS 2022 ‱ N° 227 En voilĂ  une jolie histoire de loup. Dans cet album, notre petite hĂ©roĂŻne se fait avaler toute crue et se rend compte qu’elle n’est pas seule dans le ventre du loup. A partir de lĂ , ce petit monde va s’entraider afin de tenter de sortir de lĂ . Les illustrations son adorables, teintĂ©es de jolies couleurs. J’ai adorĂ© le message autour de l’entraide mais aussi du fait de croire en soi pour rĂ©ussir Ă  atteindre son objectif. Un album qui montre simplement que parfois, un seul grain de sable peut tout changer. J’ai adorĂ© ! Une jolie revisite du cĂ©lĂšbre conte du petit chaperon rouge qui insiste sur la dĂ©brouillardise de la fillette. Nous aimons les coloris qui viennent apporter une jolie lumiĂšre dans cette histoire qui se passe dans le ventre du loup TĂ©nacitĂ© et dĂ©brouillardise sont au menu de ce joli album aux dessins colorĂ©s qui envoient une bonne dose de peps. Avec son petit bonnet rouge, sa robe et ses collants de la mĂȘme couleur, ce personnage fait bien vite Ă©cho Ă  un autre bien cĂ©lĂšbre. J’ai beaucoup aimĂ© la réécriture moderne de ce conte bien connu, mettant en avant ici une petite fille forte, courageuse et dĂ©terminĂ©e, qui rĂ©ussira par la force des mots Ă  rassembler ses camarades. Car si la solidaritĂ© et l’entraide sont mises en avant, on trouve Ă©galement la force de la parole, de celle qui libĂšre, de celle qui unit les victimes ou les proches, de celle qui permet de tourner la page, d’avancer, de trouver de nouveaux chemins prĂ©fĂ©rĂ©s et de l’espoir. On peut voir plusieurs choses derriĂšre ce personnage du Loup, mais dĂšs les premiĂšres lignes, il m’a fait pensĂ© Ă  un prĂ©dateur, du genre de ceux qui enlĂšvent les enfants pour trop souvent leur infliger des horreurs innommables. C’est ce que j’aime dans les albums jeunesse la pluralitĂ© des interprĂ©tations, les diffĂ©rents niveaux de lecture. Un enfant y verra sans doute une réécriture du petit Chaperon Rouge entre la tenue de la petite fille et la prĂ©sence d’un loup, c’est vite fait, quand un adulte y verra un prĂ©dateur d’enfants, une mise en garde, un avertissement rĂ©el, avec surtout la piste d’un dĂ©but de discussion. J’ai, enfin, beaucoup aimĂ© les belles illustrations de Carmen Mok, ce petit quelque chose d’innocent dans le trait, de naĂŻf qui colle super bien Ă  cette histoire oĂč l’enfant est finalement trĂšs trop facilement tombĂ©e dans le piĂšge d’un ĂȘtre animĂ© de mauvaises intentions. Quant Ă  la plume de l’auteur je l’ai trouvĂ© subtile et poĂ©tique, un plaisir Ă  lire. Voici donc un album surprenant par sa double lecture, mais Ă  mon sens essentiel Un texte terrible, Ă©crit pourtant avec une grande dĂ©licatesse. Nos partenaires
Dansun coin, le sapin Dans un coin, le sapin A des branches toutes blanches. Dans un coin, le sapin Attend NoĂ«l pour demain. Les flocons tournent en rond C’est le manĂšge de la neige Les flocons tournent en rond Mon jardin est en coton. Le traĂźneau, tout lĂ -haut Quelle merveille, PĂšre NoĂ«l Le traĂźneau, tout lĂ -haut Apportera des cadeaux.

Poésiepour la 4eme Primaire : Dans un coin le sapin - Apprendre ses poésies autrement Dans un coin, le sapin A des branches toutes blanches. Dans un coin, le sapin Attend Noël pour demain. Les flocons tournent en rond C'est le manÚge de la neige Les flocons tournent en rond Mon jardin est en coton. Le traßneau, tout là-haut Quelle merveille, PÚre Noël Le traßneau, tout là-haut

Stances ThĂ©ophile GAUTIER. Recueil : "España". Maintenant, dans la plaine ou bien dans la montagne, ChĂȘne ou sapin, un arbre est en train de pousser, En France, en AmĂ©rique, en Turquie, en Espagne, Un arbre sous lequel un jour je puis passer. Maintenant, sur PoĂ©siepour le cm1: Dans un coin le sapin - Apprendre ses poĂ©sies autrement Dans un coin, le sapin A des branches toutes blanches. Dans un coin, le sapin Attend NoĂ«l pour demain. Les flocons tournent en rond C'est le manĂšge de la neige Les flocons tournent en rond Mon jardin est en coton. Le traĂźneau, tout lĂ -haut Quelle merveille, PĂšre NoĂ«l Le traĂźneau, tout lĂ -haut Dansun coin, le sapin. Dans un coin, le sapin A des branches toutes blanches. Dans un coin, le sapin Attend NoĂ«l pour demain. Les flocons tournent en rond C’est le manĂšge de la neige Les flocons tournent en rond Mon jardin est en coton. Le traineau, tout lĂ -haut Quelle merveille, PĂšre NoĂ«l Le traineau, tout lĂ -haut Apportera des cadeaux. Ă©cole #noĂ«l #français PoĂ©sie "Dans un coin, le sapin" de Ch. Gloasgen et A.M. Grosser pour travailler avec les Ă©lĂšves de l'Ă©cole maternelle, accessible pour la fin du cycle 1 et tout au long du .
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