Table des matières Quelques instants après l'explosion et les premières pensées de Leia Où sont les chiens perdus dans l'explosion de Beyrouth ? Enfin, un signe sur Bunduq Autre problème comment s'y rendre ? Les explosions consécutives et dévastatrices à Beyrouth début août ont laissé quelque 300 000 personnes sans abri en un clin d'œil. De nombreuses familles ont perdu leurs proches, mais cette catastrophe n'a pas seulement affecté les personnes, mais aussi leurs animaux de compagnie. Aujourd'hui, nous allons découvrir l'incroyable histoire de Leia et de ses chiens perdus dans l'explosion de Beyrouth. Après le désastre et les premières minutes de confusion, tous les voisins ont essayé de s'entraider. Au milieu d'un chaos de verre brisé, de sang, de fumée et de désespoir, la communauté s'est réunie pour se réfugier de ce qu'elle pensait au début être une autre guerre comme celle de 2006. A aucun moment, personne n'a pensé à abandonner ses animaux de compagnie, mais comme les humains, eux aussi étaient effrayés et avec nous cette histoire d'effort et d'amélioration, qui montre que l'amour d'un gardien pour son chien ne connaît pas de barrières. Quelques instants après l'explosion et les premières pensées de Leia Personne n'imaginait ce qu'ils gardaient stocké dans le port de Beyrouth. Selon le gouvernement libanais, la cause de l'explosion était de 2 750 tonnes de nitrite d'ammonium. Ce composé est utilisé de nombreuses fois comme engrais, mais aussi pour créer des bombes. L'arsenal a été saisi sur un navire russe en 2014 et stocké dans le port de Beyrouth. Bien que les hauts fonctionnaires des douanes aient tenté d'en extraire le nitrate et de le donner à l'armée libanaise, ils n'ont jamais obtenu les permis. Malheureusement, des travaux de soudure dans l'entrepôt attenant ont déclenché un incendie qui s'est soldé par une terrible explosion. Résultat 135 victimes tuées sur le coup, 5 000 disparus et 300 000 déplacés. Ce dernier groupe comprend l'histoire de Leia et de ses chiens perdus dans l'explosion de Beyrouth. Selon Leia, une lumière blanche l'a jeté dans un coin de sa chambre, alors qu'il ne pouvait voir que du verre brisé et du bois éclaté. Sa première pensée quand il revint à lui, malgré les bourdonnements dans ses oreilles, fut sa famille. Pas sa famille biologique qui était en sécurité loin de Beyrouth, mais sa famille adoptive. La première chose à laquelle Leia a pensé, ce sont ses petits à fourrure qu'elle a adoptés au fil des ans. Quelqu'un est venu à ce qui était autrefois sa porte et lui a dit que ses chiens allaient bien. Alors il a attrapé sa colocataire Lizzie et ils se sont dirigés à travers une mer de débris urticants dangereux. Où sont les chiens perdus dans l'explosion de Beyrouth ? Craignant une nouvelle explosion et un souvenir vivace de la guerre du Liban en 2006, Leia et ses voisins se sont réfugiés sous une échelle. À sa grande surprise, il y avait Fred, le chien le plus âgé. Mais le petit Bunduq, qui était venu à Leia lorsque sa famille l'a abandonné par peur du COVID-19, il n'était pas. Pendant les jours suivants, Fred ne s'est pas séparé de son tuteur. Il a défendu les ruines de ce qui avait été sa maison alors qu'ils attendaient avec espoir que Bunduq retrouve le chemin du retour. Pour Leia, ses chiens adoptés sont le sentiment de stabilité dans sa vie. Ils font partie de votre maison, votre famille choisie. Comme elle le dit "Je n'ai pas choisi mon animal de compagnie, elle m'a choisi." Mouvement social pour retrouver les chiens perdus Comme Fred et Bunduq, de nombreux chiens ont été perdus après les explosions de Beyrouth. Dans un groupe de WhatsApp où Leia, appelée "mère chien", a participé, et à travers les réseaux sociaux, tous les chiens ont été retrouvés petit à petit. Malheureusement, Leia ne pouvait pas aller se promener à la recherche de Bunduq, parce que ses pieds ont été totalement détruits par les coupures et qu'il a dû rester à l'hôpital pendant des jours. Cependant, il n'a pas cessé de publier des nouvelles sur la disparition de son chien et a prié pour qu'il sache comment retrouver le chemin du retour. Pendant ce temps, ses amis n'arrêtaient pas de parcourir les rues à la recherche de Bunduq, alors qu'ils accrochaient des affiches et demandaient aux voisins. Aussi, un organisme de bienfaisance local qui aide les animaux sans-abri a lancé un appel pour rechercher la boîte. Malheureusement, il n'y avait aucun signe de lui. Enfin, un signe sur Bunduq Les jours passèrent et Leia commença à perdre espoir. Son chien disparu pourrait avoir été heurté par une voiture, ou il a peut-être subi de terribles blessures dues à l'explosion, l'empêchant de rentrer chez lui. Un jour, alors que Leia écrivait un Blog À propos de chiens renifleurs recherchant des personnes dans les décombres, l'écran de son mobile s'est allumé et a affiché un message Vous avez perdu un chien ? Je pense que je l'ai. La personne qu'il a contactée avait retrouvé Bunduq à Beyrouth après l'explosion et l'avait emmené à Tripoli, à plus de 50 kilomètres. Son sauveteur a tout perdu dans les explosions et a dû déménager. Toutefois, Je n'allais pas laisser un pauvre chiot effrayé abandonné, alors il n'a pas réfléchi à deux fois et l'a mis dans sa voiture. Autre problème comment s'y rendre ? Leia n'avait pas de voiture pour se déplacer et elle a également dû subir plusieurs interventions chirurgicales pour guérir tous les tendons sectionnés de ses pieds. A sa grande surprise, une association appelée "Les amoureux des animaux du Liban" ont élaboré un plan pour ramener Bunduq. C'est ainsi qu'à deux heures du matin le même jour, le chiot était de retour sur les genoux de Leia. Des histoires comme celle-ci, où un réseau d'êtres humains travaille ensemble pour les autres en ramenant un être perdu et seul dans les bras de sa famille, redonnent espoir à l'espèce humaine. En tout cas, nous ne pouvons oublier que Beyrouth est toujours détruite. De nombreuses personnes ont été déplacées vers les montagnes ou d'autres villes pour recommencer. Le réseau de santé n'est toujours pas à 100% après la guerre et, malgré tout, les habitants continuent de s'entraider.MMO Dofus. Le Forum des Bêtes à Test. [Quête 2.7] A la recherche des Instants Perdus.
>> Pour des recherches sur le seul texte d'A la recherche du temps perdu, sans l'anthologie, les études, ni les autres textes du site utiliser notre autre site Marcel Proust A la recherche du temps perdu 001 1. Du Côté de Chez Swann Longtemps, je me suis couché de bonne heure 002 À Combray, tous les jours 003 Ma seule consolation, quand je montais me coucher 004 Pendant bien des années 005 Mais le seul d’entre nous pour qui la venue de Swann 006 Mais regrettant de s’être laissé aller à parler 007 L’angoisse que je venais d’éprouver 008 Maman passa cette nuit-là dans ma chambre 009 C’est ainsi que, pendant longtemps 010 Combray II Combray, de loin, à dix lieues à la ronde 011 La cousine de mon grand-père – ma grand-tante 012 Je n’étais pas avec ma tante depuis cinq minutes 013 Pendant que ma tante devisait ainsi avec Françoise 014 L’abside de l’église de Combray 015 En rentrant de la messe, nous rencontrions souvent M. Legrandin 016 Enfin ma mère me disait 017 Sur la table, il y avait la même assiette de massepains 018 Aussi je n’entrais plus dans le cabinet de repos 019 Cette obscure fraîcheur de ma chambre 020 Quelquefois j’étais tiré de ma lecture 021 J’avais entendu parler de Bergotte 022 Un jour, ayant rencontré dans un livre de Bergotte 023 Tandis que je lisais au jardin 024 Le curé avait tellement fatigué ma tante 025 Quand je dis qu’en dehors d’événements très rares 026 Si la journée du samedi, qui commençait une heure plus tôt 027 À cette heure où je descendais apprendre le menu 028 Hélas ! nous devions définitivement changer d’opinion sur Legrandin 029 Je dînai avec Legrandin sur sa terrasse 030 Nous rentrions toujours de bonne heure de nos promenades 031 Quand on voulait aller du côté de Méséglise 032 La haie laissait voir à l’intérieur du parc 033 Léonie, dit mon grand-père en rentrant 034 Une fois dans les champs, on ne les quittait plus 035 Comme la promenade du côté de Méséglise était la moins longue 036 Mes promenades de cet automne-là furent d’autant plus agréables 037 C’est peut-être d’une impression ressentie aussi auprès de Montjouvain 038 S’il était assez simple d’aller du côté de Méséglise, c’était une autre affaire d’aller du côté de Guermantes 039 Je m’amusais à regarder les carafes que les gamins mettaient dans la Vivonne 040 Un jour ma mère me dit 041 Combien depuis ce jour, dans mes promenades du côté de Guermantes 042 Pendant toute la journée, dans ces promenades, j’avais pu rêver au plaisir 043 C’est ainsi que je restais souvent jusqu’au matin à songer au temps de Combray 044 Un amour de Swann Pour faire partie du petit noyau 045 Certes le petit noyau n’avait aucun rapport avec la société où fréquentait Swann 046 Mais, tandis que chacune de ces liaisons 047 Mon grand-père avait précisément connu 048 En disant aux Verdurin que Swann était très smart 049 L’année précédente, dans une soirée 050 Aussi quand le pianiste eut fini, Swann 051 Si l'on n'avait pas arrangé une partie au-dehors c'est chez les Verdurin 052 Mais il n'entrait jamais chez elle 053 Une seconde visite qu'il lui fit eut plus d'importance 054 Rien qu'en approchant de chez les Verdurin 055 Sur le palier, Swann avait été rejoint par le maître d'hôtel 056 Il monta avec elle dans la voiture 057 Maintenant, tous les soirs, quand il l'avait ramenée chez elle 058 Chaque baiser appelle un autre baiser 059 Et en effet elle trouvait Swann intellectuellement inférieur 060 Comme tout ce qui environnait Odette 061 Il y avait à ce dîner, en dehors des habitués 062 Mme Cottard qui était modeste et parlait peu 063 Saniette 064 En réalité il n'y avait pas un fidèle qui ne fût plus malveillant que Swann 065 Le soir, quand il ne restait pas chez lui à attendre l'heure de retrouver Odette 066 Un soir où Swann avait accepté de dîner avec les Verdurin 067 Il ne lui parla pas de cette mésaventure 068 Quand il voulut dire adieu à Odette pour rentrer 069 Un mois après le jour où il avait lu la lettre adressée par Odette à Forcheville 070 Alors ce salon qui avait réuni Swann et Odette devint un obstacle 071 Il avait eu un moment l'idée, pour pouvoir aller à Compiègne 072 Il est vrai qu'un jour Forcheville 073 Après ces tranquilles soirées les soupçons de Swann 074 Ainsi, par le chimisme même de son mal 075 Certes l'étendue de cet amour, Swann n'en avait pas une conscience directe 076 Mon oncle conseilla à Swann de rester un peu sans voir Odette 077 Même quand il ne pouvait savoir où elle était allée 078 Il arrivait encore parfois, quand, ayant rencontré Swann, elle voyait 079 Le baron lui promit d'aller faire la visite 080 Swann s'était avancé, sur l'insistance de Mme de Saint-Euverte 081 Le pianiste ayant terminé le morceau de Liszt 082 Le pianiste qui avait à jouer deux morceaux de Chopin 083 Swann, habitué quand il était auprès d'une femme 084 Mais le concert recommença et Swann comprit 085 Il y a dans le violon – si, ne voyant pas l'instrument 086 Swann n'avait donc pas tort de croire que la phrase de la sonate existât réellement 087 À partir de cette soirée, Swann comprit que le sentiment qu'Odette 088 Un jour il reçut une lettre anonyme, qui lui disait qu'Odette 089 Un jour, étant dans la période de calme la plus longue 090 Swann avait envisagé toutes les possibilités. La réalité est 091 Ce second coup porté à Swann était plus atroce 092 Une fois elle lui parla d'une visite que Forcheville 093 Certains soirs elle redevenait tout d'un coup avec lui d'une gentillesse 094 Le peintre ayant été malade, le docteur Cottard lui conseilla un voyage 095 Il se trompait. Il devait la revoir une fois encore 096 Noms de pays le nom Parmi les chambres dont j'évoquais le plus souvent l'image 097 Le nom de Parme, une des villes où je désirais le plus aller 098 Mais je n'étais encore qu'en chemin vers le dernier degré de l'allégresse 099 Le premier de ces jours – auxquels la neige 100 Mais au moment même, je ne pouvais apprécier la valeur de ces plaisirs nouveaux 101 J'avais toujours à portée de ma main un plan de Paris 102 Les jours où Gilberte m'avait annoncé qu'elle ne devait pas venir 103 Je rejoignis les bords du lac 104 2. A l'Ombre des Jeunes Filles en Fleurs Ma mère, quand il fut question 105 Le premier dîner que M. de Norpois 106 Hélas ! cette première matinée fut une grande déception 107 Enfin éclata mon premier sentiment d'admiration 108 Mon père avait pour mon genre d'intelligence un mépris 109 Quant à Vaugoubert, vous savez qu'il avait été fort attaqué 110 Ce changement n'était peut-être pas aussi extraordinaire 111 Atterré par ce que M. de Norpois venait de me dire 112 Ma mère ne parut pas très satisfaite que mon père 113 Quand vint le 1er janvier 114 Peut-être aussi cette activité de tous les sens à la fois 115 Mes suffocations ayant persisté 116 Bien plus, les goûters eux-mêmes que Gilberte offrait 117 Quand Mme Swann était retournée auprès de ses visites 118 La faculté de dire de telles choses 119 Ces dispositions nouvelles du kaléidoscope 120 Ce ne fut pas seulement à ces goûters 121 Au reste, le plus souvent, nous ne restions pas à la maison 122 Pendant ces minutes où Gilberte, partie se préparer 123 Au jardin d'Acclimatation, que j'étais fier 124 Swann ne tenait plus en place 125 Aussi – de même que la diction de Bergotte 126 Si, pourtant, malgré tant de correspondances 127 Cependant Gilberte qu'on avait déjà priée deux fois 128 Mon Dieu, mais comme votre présence élève le niveau 129 La malveillance avec laquelle Bergotte parlait 130 Cette Rachel, que j'aperçus sans qu'elle me vît 131 La dernière fois que je vins voir Gilberte 132 À cette acceptation, je finis pourtant par arriver 133 Dès la fin d'octobre Odette 134 Comme Odette n'allait pas tarder à le faire, Mme Verdurin 135 Et moi aussi, il fallait que je rentrasse 136 Cependant comme, presque chaque fois que j'allais la voir, Mme Swann 137 Dans la confusion du salon 138 Par association, ce souvenir en ramena un autre dans ma mémoire 139 Dès son arrivée, je saluais Mme Swann 140 Noms de pays le pays J'étais arrivé à une presque complète indifférence à l'égard de Gilberte 141 Ma grand-mère concevait naturellement notre départ 142 Ma mère, voyant que j'avais peine à contenir mes larmes 143 Les levers de soleil sont un accompagnement des longs voyages 144 Ce que j'ai vu jusqu'ici c'était des photographies de cette église 145 Il n'est peut-être rien qui donne plus l'impression de la réalité 146 Quand Swann m'avait dit à Paris 147 J'avais beau avoir appris que les jeunes gens qui montaient 148 M. de Stermaria n'était pas ce jour-là à Balbec 149 Comme un coiffeur, voyant un officier qu'il sert 150 Or, en sortant du concert, comme, en reprenant le chemin 151 Nous fûmes étonnés, ma grand-mère et moi, de voir 152 Comme je quittais l'église, je vis devant le vieux pont des filles du village 153 Nous apercevions déjà l'hôtel, ses lumières si hostiles 154 Une après-midi de grande chaleur j'étais 155 En revanche par moments ma pensée démêlait en Saint-Loup 156 Et puis chaque vice, comme chaque profession, exige et développe un savoir 157 Saint-Loup me parla de la jeunesse, depuis longtemps passée 158 Je reconnaissais maintenant dans le regard dur 159 Cependant ma grand-mère m'avait fait signe de monter me coucher 160 Un certain nombre d'autres infimes indices 161 J'allai voir Bloch à la suite de ce dîner 162 Ce jour-là comme les précédents, Saint-Loup avait été obligé d'aller à Doncières 163 Si nous pensions que les yeux d'une telle fille 164 Je ne sais pourquoi je me dis dès le premier jour que le nom de Simonet 165 J'entendais le grondement de mes nerfs 166 Je ne connaissais aucune des femmes qui étaient à Rivebelle 167 Célèbre, Elstir ne l'était peut-être pas encore à cette époque 168 À partir de cet après-midi-là 169 Parfois à ma fenêtre, dans l'hôtel de Balbec 170 Mon hésitation entre les diverses jeunes filles de la petite bande 171 Le rebord de la fenêtre fut bientôt rose 172 Le soir tombait ; il fallut revenir ; je ramenais Elstir 173 C'est dans ces pensées silencieusement ruminées à côté d'Elstir 174 Si l'incarnation de nous-même en ce qui nous en semblait le plus différent 175 Pensant que si je connaissais leurs amis j'aurais plus d'occasions de voir ces jeunes filles 176 Je rentrai à l'hôtel, ma grand-mère n'y était pas 177 Autrefois j'eusse préféré que cette promenade eût lieu par le mauvais temps 178 Étendu sur la falaise je ne voyais devant moi 179 Les yeux d'Albertine n'avaient cessé d'étinceler 180 Étourdi de chagrin, je lâchai la ficelle 181 Je voyais de côté les joues d'Albertine 182 Plaisant plus qu'elle ne voulait et n'ayant pas besoin de claironner ses succès, Albertine 183 Puis les concerts finirent, le mauvais temps arriva, mes amies quittèrent Balbec 184 3. Le Côté de Guermantes Le pépiement matinal 185 Dans la maison que nous étions venus habiter 186 Malgré l'air de morgue de leur maître d'hôtel 187 Mon père avait au ministère un ami 188 Cependant mes regards furent détournés de la baignoire de la princesse de Guermantes 189 Au moment où cette seconde pièce commença 190 Maintenant tous les matins, bien avant l'heure où elle sortait 191 Je n'aurais pas senti moi-même que Mme de Guermantes était excédée 192 Saint-Loup arriva, remuant dans tous les sens 193 Ah ! Robert, qu'on est bien chez vous 194 Si je voulais sortir ou rentrer sans prendre l'ascenseur ni être vu 195 Mais un peu plus tard j'allai souvent voir le régiment 196 Et précisément à l'hôtel où j'avais rendez-vous avec Saint-Loup 197 Je me plaisais surtout à causer avec ce jeune homme 198 Ces théories de Saint-Loup me rendaient heureux 199 Je n'arrivais pas tous les soirs au restaurant de Saint-Loup 200 Tous les amis de Robert me dirent 201 Un matin, Saint-Loup m'avoua qu'il avait écrit à ma grand-mère 202 À ma demande d'aller voir les Elstir de Mme de Guermantes 203 Mon père nous avait raconté qu'il savait maintenant 204 Ayant quitté Paris où, malgré le printemps commençant 205 J'aurais aimé que nous puissions, toi et moi 206 À ce moment on vint dire à Aimé qu'un monsieur le priait 207 Un numéro du programme me fut extrêmement pénible. Une jeune femme 208 À ce moment, je vis Saint-Loup lever son bras verticalement 209 Puis le talent n'est pas un appendice postiche 210 Mon Dieu, les ministres, mon cher Monsieur 211 Bonjour Alix, dit Mme de Villeparisis 212 Le visiteur importun entra 213 L'excellent écrivain G*** entra 214 Un regard du baron de Guermantes 215 Bloch s'était montré enchanté de l'idée de connaître M. de Norpois 216 J'ai entendu que vous refusiez l'amie de Robert, dit Mme de Guermantes 217 Mais si, c'est très mystérieux, l'amour 218 M. de Norpois leva les yeux au ciel 219 Je vous trouve tous aussi assommants les uns que les autres avec cette affaire 220 Bloch ne put arriver à le faire parler de la question de la culpabilité de Dreyfus 221 Comme Bloch s'approchait d'elle pour lui dire au revoir 222 Ils causèrent un instant ensemble et sans doute de moi 223 C'est ainsi que le prince de Faffenheim avait été amené 224 J'ai raconté bien auparavant ma stupéfaction 225 Qui sait, peut-être en voyant que j'agis ainsi 226 M. de Charlus s'interrompit pour me poser des questions sur Bloch 227 Pour ma part, à peine rentré à la maison 228 Ta grand-mère pourrait peut-être aller s'asseoir 229 La marquise reprit un ton plus doux 230 Le Côté de Guermantes II - 1 Nous retraversâmes l'avenue Gabriel 231 il semblait, de même que la méchanceté aime à exagérer 232 Dans un de ces moments où, selon l'expression populaire 233 Le sixième jour, Maman, pour obéir aux prières de grand-mère 234 Quelques jours plus tard, comme je dormais, ma mère vint m'appeler 235 Le Côté de Guermantes II - 2 Depuis plusieurs nuits 236 Depuis le matin on avait allumé le nouveau calorifère 237 Tout cela est tiré du trésor social. Mais justement le milieu d'Albertine 238 Si vraiment vous permettez que je vous embrasse 239 Albertine m'avait tant retardé 240 Cependant je dois dire qu'une surprise d'un genre opposé 241 Albertine me parlait peu, car elle sentait que j'étais préoccupé 242 J'ai dit et précisément c'était, à Balbec, Robert de Saint-Loup 243 Car, le soir du brouillard, les nobles du café 244 Cependant je regardais Robert et je songeais à ceci 245 La duchesse ne m'ayant pas parlé de son mari 246 Comme le duc se gênait fort peu avec ses invités 247 Ensuite je demandai au duc de me présenter 248 Le même génie de la famille présentait à Mme de Guermantes 249 Un certain nombre de réalités bonnes ou mauvaises 250 Quand le salon devenait trop plein 251 Ainsi grâce, une fois à Taquin le Superbe 252 M. de Guermantes, à cette époque de sa vie 253 Cependant, en se mettant à table, la princesse de Parme 254 À tant de raisons de déployer son originalité locale, les écrivains préférés 255 Malgré l'extrême fatigue qu'elle commençait à éprouver, la princesse était ravie 256 Puisque nous parlions de votre famille, Oriane, dit la princesse 257 La commode sur laquelle la plante est posée 258 Après avoir gravi les hauteurs inaccessibles du nom de Guermantes 259 Dans les familles bourgeoises on voit parfois naître des jalousies 260 À plusieurs reprises déjà j'avais voulu me retirer 261 Pour toutes ces raisons, les causeries avec la duchesse 262 Si vous voulez me dire, monsieur, qui m'a perfidement calomnié 263 Mais enfin je ne puis vous donner d'éclaircissements 264 Ce fut le duc seul qui me reçut dans sa bibliothèque 265 Je n'avais pas vu Swann depuis très longtemps 266 S'il y avait tout le temps des querelles 267 4. Sodome et Gomorrhe On sait que bien avant d'aller ce jour-là 268 J'avais perdu de vue le bourdon 269 Dès le début de cette scène une révolution, pour mes yeux dessillés 270 Pour les uns, ceux qui ont eu l'enfance la plus timide 271 Au reste j'exagérais beaucoup alors, devant cette révélation première 272 Sodome et Gomorrhe II - 1 Comme je n'étais pas pressé d'arriver 273 Je fus à ce moment arrêté par un homme assez vulgaire 274 La distance qui me séparait de l'entrée des jardins 275 Tellement distrait dans le monde que je n'appris 276 On ne cessa de trouver à ce salut toutes les qualités 277 On vit passer une duchesse fort noire 278 J'avais grande envie de savoir ce qui s'était exactement passé entre le prince et Swann 279 J'allais traverser le fumoir et parler à Swann 280 Comme ces deux jeunes gens ont un air étrange 281 Nous allâmes nous asseoir 282 Quand Swann fut parti, je retournai dans le grand salon 283 Je revois toute cette sortie 284 Ces pittoresques études de géographie linguistique 285 Je fis semblant d'être en train d'écrire 286 Certes le petit clan des Verdurin avait actuellement un intérêt autrement vivant 287 Les Intermittences du coeur Ma seconde arrivée à Balbec 288 Quant à l'oubli de ma grand-mère où j'avais vécu jusqu'ici 289 Sur la carte qu'on me remit, Mme de Cambremer 290 Maman qui avait rencontré Albertine 291 Sodome et Gomorrhe II - 2 Dans ma crainte que le plaisir trouvé 292 Avec l'orgueil démocratique qui le caractérisait 293 Quelques jours après, à Balbec, comme nous étions dans la salle de danse du casino 294 Le Sidaner était l'artiste élu par l'ami des Cambremer 295 Oh ! elles s'envolent, s'écria Albertine 296 Sur un signe de sa belle-fille, Mme de Cambremer 297 Comme si Albertine avait dû avoir de la peine à croire 298 Non seulement les jeunes filles étaient peu nombreuses 299 je montais au contraire dans la chambre de deux soeurs 300 Nous étions, Albertine et moi, devant la station Balbec 301 Tout en causant avec lui, mais brièvement 302 Pendant les premières secondes où le petit groupe se fut engouffré dans le wagon 303 Cottard disait beaucoup plus souvent 304 C'est en silence et sans plaisanteries de mauvais goût 305 Oubliant qu'elle tenait à son coin, Mme Sherbatoff 306 Le sculpteur fut très étonné d'apprendre que les Verdurin 307 Je venais de transmettre à Mme Verdurin le message 308 Enfin, un jardin de curé 309 Un philosophe qui n'était pas assez moderne pour elle, Leibniz 310 Saniette voyait avec joie la conversation prendre un tour si animé 311 Vous comprenez que je ne regrette pas Elstir 312 Je ne saurais dire aujourd'hui comment Mme Verdurin 313 Est-ce que vous comptez rester longtemps sur la côte 314 Des rafraîchissements étaient servis 315 On distinguait à peine la mer 316 Sodome et Gomorrhe II - 3 Je tombais de sommeil 317 Quand j'avais croisé M. de Charlus 318 Arrivée au bas de la route de la corniche, l'auto monta 319 Il peut sembler que mon amour pour les féeriques voyages en chemin de fer 320 Quand Albertine trouvait plus sage de rester à Saint-Jean-de-la-Haise pour peindre 321 Après le dîner l'auto ramenait Albertine 322 Pour revenir au mécanicien 323 Il faisait déjà nuit quand nous montions dans l'omnibus 324 Albertine ne pouvait le gêner 325 Quand M. de Charlus ne parlait pas de son admiration pour la beauté de Morel 326 Quand, pour une raison quelconque, on introduit 327 Si M. de Charlus en jetant sur le papier cette lettre 328 Cottard arriva enfin quoique mis très en retard 329 Cependant le soir où Morel devait être absent était arrivé 330 Les relations des Cambremer ne tardèrent pas 331 Le jour du dîner venu, on attendait dans le grand salon de Féterne 332 Il suffit de la sorte qu'accidentellement 333 Sodome et Gomorrhe II - 4 Je n'attendais qu'une occasion pour la rupture 334 Peu à peu le ciel éteint s'allumait 335 Deux ou trois fois, pendant un instant 336 5. La Prisonnière Dès le matin, la tête encore tournée contre le mur 337 Malgré tout et même en dehors de la question convenance 338 Sans me sentir le moins du monde amoureux d'Albertine 339 Françoise venait allumer le feu 340 Mais déjà la journée finissait et j'étais envahi par la désolation du soir 341 Bien souvent, par exemple, ce n'était pas pour donner le change 342 Charlie avait d'autant moins écouté ces éloges 343 Ainsi, à la fin de son séjour à Balbec, il avait perdu 344 Dès que la jalousie est découverte, elle est considérée par celle 345 Albertine n'avait-elle pas été devant l'hôtel comme une grande actrice de la plage en feu 346 Mais ce plaisir de la voir dormir 347 J'avais promis à Albertine que, si je ne sortais pas avec elle 348 Ce soir-là, le projet qu'Albertine avait formé 349 D'ailleurs, Albertine m'effrayait en me disant 350 La souffrance dans l'amour cesse par instants, mais pour reprendre 351 Je ne trouvais nullement répréhensible 352 Le lendemain de cette soirée où Albertine m'avait dit 353 Dans ces divers sommeils, comme en musique encore 354 J'étais en tout cas bien content qu'Andrée accompagnât Albertine 355 Je me mis à lire la lettre de maman 356 N'importe, cela revenait au même. Il fallait à tout prix empêcher 357 D'abord il fallait être certain que Léa allât vraiment au Trocadéro 358 Mais malgré la richesse de ces oeuvres 359 J'avais à peine le temps d'apercevoir 360 Parfois, dans les heures où elle m'était le plus indifférente, me revenait le souvenir 361 Pour lui faire paraître sa chaîne plus légère 362 La Prisonnière - 2 Je devinai longtemps après 363 La mort de Swann m'avait, à l'époque, bouleversé 364 C'est comme ça, Brichot, que vous vous promenez la nuit avec un beau jeune homme 365 Oui, elle sait se vêtir 366 Mais il est temps de rattraper le baron 367 Si nous n'avions que des membres 368 Ces exclusions de M. de Charlus 369 Mme Verdurin attendait donc les invitées du baron 370 Ce qui perdit M. de Charlus ce soir-là fut la mauvaise éducation 371 Vinteuil était mort depuis nombre d'années 372 Cependant le septuor qui avait recommencé 373 Pour cette fête-ci, les éléments impurs qui s'y conjuguaient 374 Les invitées de M. de Charlus s'en allèrent 375 Or, comme je sortais du salon appelé salle de théâtre 376 J'avais été frappé en apprenant que le nom Villeparisis 377 Je vis que M. de Charlus allait nous dire 378 Déjà dans son esprit rusé avait germé une combinaison 379 Ainsi M. de Charlus, pour anticiper 380 La Prisonnière - 3 On pourrait croire, avec le caractère terrible de M. de Charlus 381 Albertine ne m'avait jamais dit qu'elle me soupçonnât d'être jaloux 382 Mais pendant qu'elle me parlait, se poursuivait en moi 383 Cette crainte vague éprouvée par moi chez les Verdurin, qu'Albertine me quittât 384 Il n'y eut qu'un moment où j'eus pour elle une espèce de haine 385 Ce matin-là, pendant qu'Albertine dormait et que j'essayais de deviner ce qui était caché en elle 386 Tout avait péri de ce temps, mais tout renaissait 387 Les phrases de Vinteuil me firent penser à la petite phrase 388 Par instants, dans les yeux d'Albertine 389 Mais enfin du moins, Andrée allait partir 390 Je savais bien qu'elle ne pouvait me quitter sans me prévenir 391 Nous nous arrêtâmes dans une grande pâtisserie 392 6. Albertine disparue Mademoiselle Albertine est partie 393 Certes, ce coup physique au coeur que donne une telle séparation 394 Devant la porte d'Albertine, je trouvai une petite fille pauvre 395 Saint-Loup, que je savais à Paris, fut mandé par moi 396 Saint-Loup devait être à peine dans le train 397 Puis la concurrence des autres formes de la vie rejetait dans l'ombre 398 J'écrivis à Albertine 399 En faisant la chambre d'Albertine, Françoise, curieuse 400 Mais en somme la lettre d'Albertine n'avançait en rien 401 Pour que la mort d'Albertine eût pu supprimer mes souffrances 402 D'ailleurs, au souvenir des heures même purement naturelles 403 Ce qui remplissait mon coeur maintenant 404 Comme elle accourait vite me voir à Balbec 405 Ma séparation d'avec Albertine 406 Je n'avais pas encore reçu de nouvelles d'Aimé 407 Aimé alla loger à côté de la villa de Mme Bontemps 408 Ce qui vint à mon secours contre cette image de la blanchisseuse 409 Si encore ce retrait en moi des différents souvenirs d'Albertine 410 Aussi la lecture des journaux m'était-elle odieuse 411 Les romanciers prétendent souvent 412 Je ramenais avec moi les filles qui m'eussent le moins plu 413 Mademoiselle de Forcheville Ce n'était pas que je n'aimasse encore Albertine 414 Quelques jours après, ma mère entrant dans ma chambre 415 Aussi après le déjeuner, quand j'allai chez Mme de Guermantes 416 La duchesse finissait d'ailleurs par éprouver de sa persévérance 417 Quand M. de Guermantes eut terminé la lecture de mon article 418 Nous étions dans ma chambre pour une autre raison 419 En ce qui concerne le jeune homme sportif, neveu des Verdurin 420 Quand Andrée fut partie 421 Je lui montrai le papier 422 Séjour à Venise Ma mère m'avait emmené passer 423 Plusieurs des palais du Grand Canal étaient transformés en hôtels 424 Parfois au crépuscule en rentrant à l'hôtel je sentais que l'Albertine d'autrefois 425 Après le déjeuner, quand je n'allais pas errer seul dans Venise 426 Le soir je sortais seul, au milieu de la ville enchantée où je me trouvais 427 Nouvel aspect de Robert de Saint-Loup Oh ! c'est inouï 428 Dans la maison de femmes – où on procurait de plus en plus des hommes 429 Ces deux mariages dont nous parlions avec ma mère 430 Une autre erreur encore que tout jeune lecteur peu au courant 431 Je compris qu'une séparation avait failli se produire entre Robert et sa femme 432 Dans une soirée où j'avais rencontré Robert 433 Je n'aurais d'ailleurs pas à m'arrêter sur ce séjour que je fis à côté de Combray 434 7. Le Temps retrouvé Toute la journée, dans cette demeure 435 J'eus du reste l'occasion, pour anticiper 436 Je ne voulus pas emprunter à Gilberte sa Fille aux yeux d'or 437 Je m'arrêtai là, car je partais le lendemain 438 M. de Charlus pendant la guerre Cette disposition-là, les pages de Goncourt 439 Le salon Saint-Euverte était une étiquette défraîchie 440 Tous ces téléphonages de Mme Verdurin 441 Quarante-huit heures n'étaient pas passées que certains faits que j'appris 442 Je parlai à Saint-Loup de mon ami le directeur du Grand Hôtel de Balbec 443 Ils n'étaient pas restés à Tansonville 444 C'est ainsi qu'ayant voulu aller chez Mme Verdurin 445 Au temps où je croyais ce qu'on disait, j'aurais été tenté 446 La guerre se prolongeait indéfiniment 447 C'est comme au théâtre quand on dit 448 Que cette parenthèse sur Mme de Forcheville 449 Je pensai aussitôt à Combray 450 Après le raid de l'avant-veille, où le ciel avait été plus mouvementé que la terre 451 Mais il faut revenir en arrière. Je descends les boulevards 452 Tout d'un coup le patron entra, chargé de plusieurs mètres de grosses chaînes de fer 453 Je descendis et rentrai dans la petite antichambre où Maurice 454 Comme il est simple ! jamais on ne dirait un baron 455 Tout en me rapprochant de ma demeure, je songeais 456 Dans ce livre où il n'y a pas un seul fait qui ne soit fictif 457 Matinée chez la princesse de Guermantes La nouvelle maison de santé 458 Quand Jupien eut aidé le baron à descendre 459 Mais c'est quelquefois au moment où tout nous semble perdu 460 Mais le souvenir douloureux d'avoir aimé Albertine 461 Un rayon oblique du couchant me rappela instantanément un temps 462 L'idée d'un art populaire comme d'un art patriotique 463 Comment la littérature de notations aurait-elle une valeur 464 Il n'est pas certain que, pour créer une oeuvre littéraire, l'imagination et la sensibilité 465 Certes nous sommes obligé de revivre notre souffrance particulière 466 Si je m'étais toujours tant intéressé aux rêves 467 Le Bal de têtes À ce moment le maître d'hôtel 468 Certes, dans les coulisses du théâtre 469 Presque aussitôt après quelqu'un parla de Bloch 470 En plusieurs, je finissais par reconnaître, non seulement eux-mêmes 471 Il y avait des hommes que je savais parents d'autres 472 Chose curieuse, le phénomène de la vieillesse semblait dans ses modalités 473 Mais après cette anticipation, revenons trois ans en arrière 474 Encore la sensation du temps écoulé et d'une petite partie disparue de mon passé 475 Du reste, il faut bien dire que cette ignorance des situations réelles 476 Plus d'une des personnes que cette matinée réunissait 477 Une dame sortit, car elle avait d'autres matinées 478 Je regardais Gilberte, et je ne pensai pas 479 Or pendant ce temps avait lieu à l'autre bout de Paris 480 Cependant je remarquai, sans aucune satisfaction d'amour-propre 481 Bloch s'étant approché de nous 482 La vie de la duchesse ne laissait pas d'ailleurs d'être très malheureuse 483 Par moments, sous le regard des tableaux anciens réunis par Swann 484 Mais comment puis-je vous parler de ces sottises 485 Enfin cette idée du Temps avait un dernier prix pour moi 486 Maintenant, me sentir porteur d'une oeuvre 487 Fin Ce serait un livre aussi long que Les Mille et Une Nuits
.